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Weapon industry

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Nexter. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. GIAT, ancien nom de Nexter, ne doit pas être confondu avec la commune de Giat Nexter Logo de Nexter Nexter est un groupe industriel de l'armement appartenant à l'État français. Histoire[modifier | modifier le code] L'histoire ancienne de l'entreprise est marquée par la création des manufacture d'armes de Manufacture d'armes de Saint-Étienne (1764), de Tulle (1777), de Toulouse (1792), de Rennes (1793), de Bourges (1866), de Puteaux (1866), de Tarbes (1870), de l'Arsenal de Roanne (1918), du Mans (1927), de Salbris (1933) et d'Issy-les-Moulineaux (1936)[3]. Dès 1945, les arsenaux se regroupent au sein de la DEFA (Direction des Études et Fabrications d'Armements)[4]. En 1965, la DEFA devient la DTAT (Direction Technique des Armements Terrestres), incluse dans la DMA (Direction Ministérielle des Armements)[3]. Le 1er juillet 1990, ce groupement devint une compagnie nationale sous le nom de Giat Industries SA.

Organisation[modifier | modifier le code] Conjoncture : Nexter passe à l'offensive au Canada. Le groupe français d'armements terrestres est en lice pour fournir à l'armée de terre 138 blindés de combat. Nexter veut trouver des relais de croissance à l'international. Dans sa ligne de mire, la future commande de l'armée de terre canadienne, qui a lancé un appel d'offres pour 108 véhicules de combat rapproché (VCR), assorti d'une option sur 30 autres blindés.

Un contrat estimé à 2,2 milliards d'euros pour lequel Nexter concourt avec le Véhicule blindé de combat et d'infanterie (VBCI), actuellement en service au sein de l'armée française, en Afghanistan et au Liban. S'il remporte le contrat, Philippe Burtin, PDG de Nexter, est prêt à créer 1600 emplois au Canada. La décision d'Ottawa est attendue à la fin du premier semestre 2012. Baisse des coûts de 25% Pour le moment, Roanne et ses sous-traitants honorent la commande de l'armée française qui porte sur 630 VBCI, dont 350 ont déjà été livrés (108 prévus en 2012).

Mais cela fait longtemps que le groupe n'a pas signé un gros contrat. Sociétés : Gérard Longuet rassure les salariés de Nexter. Les employés du fabricant de chars, canons et autres matériels militaires s'inquiètent d'une privatisation de la société depuis que Thales a entamé des discussions en vue d'un rapprochement. Gérard Longuet s'est employé, jeudi, à rassurer les salariés de Nexter, le fabricant de chars, canons et autres matériels militaires terrestres, au cours d'un déplacement à Roanne, le premier d'un ministre de la Défense depuis 1982.

Les salariés craignent une privatisation de la société depuis que Thales a annoncé, mi-décembre, avoir entamé des discussions en vue d'un rapprochement. «Il s'agit d'apporter TDA, le pôle munitions de Thales, à Nexter afin d'en élargir les compétences dans ce domaine, de créer un groupe qui ait la taille critique et qui gagne en visibilité à l'international.

L'État aura un interlocuteur unique», a expliqué le ministre aux syndicats du site, le plus important du groupe. Matériels de nouvelle génération » Thales devient le pivot de la défense française. Sociétés : DCNS prévoit de livrer le premier Mistral russe fin 2014. Le leader du naval militaire a débuté le transfert de technologie au chantier de l'amirauté de Saint-Pétersbourg. Signé en juin, le contrat de livraison de deux bâtiments de projection et de commandement (BPC) à la marine russe, pour plus de 1 milliard d'euros, vient d'entrer en vigueur. Sa mise en œuvre pérennise 1000 emplois sur quatre ans à Saint-Nazaire chez STX, en charge de la coque, et chez DCNS, maître d'œuvre et fournisseur du système de missions de ces gros navires multifonctions de 21.500 tonnes. Thales livre pour sa part les ­systèmes de communication, notamment les radars. Moscou a versé le premier acompte début novembre. Et la construction a débuté.

«Nous travaillons sur l'adaptation de la plate-forme du navire aux spécificités russes, en particulier aux conditions climatiques et de navigation plus rudes avec par exemple le dégivrage partiel du pont d'envol. «Couteau suisse» de la mer Parallèlement, DCNS a débuté le transfert de technologie qui comporte trois volets. Sociétés : Thales devient le pivot de la défense française. Il monte au capital de DCNS, leader du naval, et négocie avec Nexter, leader du terrestre. Double mouvement stratégique dans l'industrie française de la défense. À l'issue de son conseil d'administration, Thales a annoncé jeudi un renforcement de sa présence au capital de DCNS, le fabricant français de porte-avions, sous-marins et autres frégates.

Mais aussi le démarrage de discussions avec Nexter, le champion tricolore de l'armement terrestre, en vue d'un rapprochement dans les métiers des munitions. Concrètement, la participation du groupe de défense et de technologie dans le capital de DCNS passera de 25 à 35% à la faveur de la réduction de celle de l'État, de 74 à 64%. Les 12.500 salariés du leader européen du naval militaire conservent le solde (1%). Luc Vigneron, PDG de Thales, a décidé de lever l'option de montée au capital, avant son échéance de mars 2012.

La transaction valorise les 10% de DCNS autour de 260 millions d'euros. Cette montée en puissance dans le naval est logique. Sociétés : Grâce aux «yeux» de Thales, Mexico veut devenir plus sûre. La ville a inauguré mercredi le centre de commandement de son système de surveillance urbaine fourni par le français. Mexico est désormais surveillée par 8088 caméras. C'est une première mondiale. Mexico est désormais dotée «d'un des tout premiers systèmes de surveillance» high-tech développé pour les besoins spécifiques d'une mégalopole. Le C4, le centre de commandement central, qui fédère 5 centres locaux répartis dans les quartiers de cette ville géante de 22 millions d'habitants, a été inauguré mercredi par son maire, Marcello Ebrard. Il s'agit de la dernière étape dans le déploiement du système de surveillance, qui sera totalement opérationnel début 2012.

Le contrat avait été signé fin 2008 pour près de 200 millions de dollars par Thales dans le cadre d'un partenariat avec Telmex, l'opérateur télécoms national mexicain. Des «boutons de panique» Mexico veut devenir une «Ciudad Segura» (une ville sûre), nom de baptême du projet. iCloud - Retrouvez vos amis et votre appareil Apple égaré.