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Vulgarisation

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Ceci n'est pas un gène de l'intelligence. (Agence Science-Presse) Oubliez l’idée d’une bosse des maths ou d’un talent «naturel» pour les sciences. L’impact le plus fort que puisse avoir un gène sur le Q.I. vient d’être trouvé —et cet impact est minuscule. Cliquer sur la photo pour agrandir Vingt et un mille personnes dont le cerveau a été passé au «scanner» —l’imagerie par résonance magnétique— et de qui on a analysé l’ADN: une très grosse étude internationale, impliquant 207 chercheurs d’une centaine d’institutions, dans le but était de savoir si on serait enfin capable, une fois pour toutes, de détecter une corrélation entre l’intelligence et les gènes.

Résultat: chou blanc... ce qui, en soi, est déjà une découverte. Le gène en question, HMGA2 avait jadis été associé à... la taille d’une personne. Cette recherche tend par contre à démontrer —encore— que l’intelligence, bien qu’elle dépende indéniablement de facteurs génétiques, s’appuie sur l’action de centaines de gènes, et peut-être plus encore. Best evidence yet that a single gene can affect IQ - health - 16 April 2012.

By Andy Coghlan A massive genetics study relying on MRI brain scans and DNA samples from over 20,000 people has revealed what is claimed as the biggest effect yet of a single gene on intelligence – although the effect is small. There is little dispute that genetics accounts for a large amount of the variation in people’s intelligence, but studies have consistently failed to find any single genes that have a substantial impact. Instead, researchers typically find that hundreds of genes contribute. Following a brain study on an unprecedented scale, an international collaboration has now managed to tease out a single gene that does have a measurable effect on intelligence.

“It seems like the biggest single-gene impact we know of that affects IQ,” says Paul Thompson of the University of California, Los Angeles, who led the collaboration of 207 researchers. Two teaspoons The variant is in a gene called HMGA2, which has previously been linked with people’s height. C-ing double Brain ager. Races et génétique, c’est reparti. Cliquez sur l’image Bon alors on a droit à ce débat à intervalles réguliers : tous les humains ne sont pas identiques, donc y a-t-il du vrai dans la notion de races humaines ? Si vous dites « non », vous êtes surement un horrible censeur de la science au nom du politiquement correct.

Si vous dites « oui », vous êtes un surement un affreux eugéniste, prêt à réveiller les mânes d’Hitler. La discussion est repartie récemment suite à des billets sur plusieurs blogs scientifiques anglophones. (OK récemment c’est tout relatif, j’ai eu un peu de boulot ces derniers temps, alors cette note a pris du retard. Bref.) Le point de départ est un article dans American Scientist, qui commente très positivement deux livres récents sur la notion de race et le racisme à la lumière de la génétique moderne. The subject of human races, or even the idea that they exist, has become taboo. Pour un tabou, je trouve que c’est fou ce qu’on en parle souvent. Donc l’argument de Coyne, c’est que : Coyne note que : Born nice? Peoples' niceness may reside in their genes, study finds. It turns out that the milk of human kindness is evoked by something besides mom's good example. Research by psychologists at the University at Buffalo and the University of California, Irvine, has found that at least part of the reason some people are kind and generous is that their genes nudge them toward it.

Michel Poulin, PhD, assistant professor of psychology at UB, is the principal author of the study "The Neurogenics of Niceness," published in this month in Psychological Science, a journal of the Association for Psychological Science. The study, co-authored by Anneke Buffone of UB and E. Alison Holman of the University of California, Irvine, looked at the behavior of study subjects who have versions of receptor genes for two hormones that, in laboratory and close relationship research, are associated with niceness. In fact, they are known to make us nicer people, at least in close relationships. "We aren't saying we've found the niceness gene," he adds. Two Genes Do Not Make a Voter | Sanford School of Public Policy. Voting behavior cannot be predicted by one or two genes as previous researchers have claimed, according to Evan Charney, a Duke University professor of public policy and political science. In "Candidate Genes and Political Behavior," a paper published in the February 2012 American Political Science Review, Charney and co-author William English of Harvard University call into question the validity of all studies that claim that a common gene variant can predict complex behaviors such as voting.

They use as an example a 2008 study by James H. Fowler and Christopher T. Dawes of the University of California, San Diego which claimed that two genes predict voter turnout. Charney and English demonstrate that when certain errors in the original study are corrected -- errors common to many gene association studies -- there is no longer any association between these genes and voter turnout. "The study of Fowler and Dawes is wrong," Charney said. "Two genes do not predict turnout. Génétique médicale : plus c'est gros, moins c'est beau. Sur l'excellent blog Genomes Unzipped, plusieurs scientifiques des génomes (génomiciens ?) Ont eu une discussion d'un effet curieux et intéressant de génétique médicale et surtout psychiatrique. Il n'y a pas si longtemps, ces études se basaient sur des échantillons tout petits, pour des raisons pratiques.

Et il se publiait régulièrement des corrélations très fortes entre gènes (ou plutôt variants génomiques) et maladies psychiatriques. Plus les tailles d'échantillons ont augmenté, grâce aux progrès techniques, et plus les effets sont devenus faibles, jusqu'à être non significatifs dans toutes les études sérieuses récentes. Le graphe ci-dessous montre cet effet, avec des effets très fortement positifs ou négatifs pour les petits échantillons à gauche, et des effets presque nuls (rapport de 1 pour la fréquence de symptômes entre personnes avec et sans une mutation) pour les gros échantillons à droite. MIND Reviews: Someone Else's Twin: The True Story of Babies Switched at Birth. "Générosité" de Richard Powers : la littérature des gènes | Rue89.

« Générosité » de Richard Powers (éd. Le Cherche-Midi). En 2008, Richard Powers est devenu la neuvième personne au monde à voir son génome entièrement séquencé. Il en a tiré un roman, « Générosité », où il poursuit une voie qu’il est le seul à sillonner : le roman scientifique pur et dur. Entretien.Les lecteurs français l’ont découvert avec « Trois fermiers s’en vont au bal » et « Le Temps où nous chantions », romans lyriques sur la destinée (le premier) ou sur le racisme et la création musicale en Amérique (le second). Dès les premières pages de « Générosité », une voix vous envoûte. Une voix qui présente Russel Stone, professeur à l’université de Chicago, puis Thassa Amzwar, jeune femme kabyle dont les parents ont disparu.

Toujours souriante malgré sa tragédie, la jeune femme intrigue tous les chercheurs du campus, qui croient déceler chez elle un gène spécifique. Rue89 : En 2008, vous avez vu votre génome entièrement séquencé. . “ La science n’est pas du domaine du contrôle. Better brain wiring linked to family genes. How well our brain functions is largely based on our family's genetic makeup, according to a University of Melbourne led study. The study published in the international publication the Journal of Neuroscience provides the first evidence of a genetic effect on how 'cost-efficient' our brain network wiring is, shedding light on some of the brain's make up. Lead author Dr Alex Fornito from the Melbourne Neuropsychiatry Centre at the University of Melbourne, Australia said the findings have important implications for understanding why some people are better able to perform certain tasks than others and the genetic basis of mental illnesses and some neurological diseases.

He said how the brain's network is organized has been a mystery to scientists for years. "The brain is an extraordinarily complex network of billions of nerve cells interconnected by trillions of fibres," he said. Across the entire brain, more than half (60%) of the differences between people could be explained by genes. The human genome project, 10 years in: Did they oversell the revolution? It was billed as one of the pivotal moments in the history of medicine. A decade ago this month, researchers published their long-awaited results of deciphering the human genome – providing the genetic blueprint of our species. Many experts claimed the new knowledge would spark a genetic revolution. They said doctors would soon be able to accurately predict who among their patients was most at risk of developing certain diseases. And patients, in turn, would be able to take corrective action – either by adjusting their behaviour or using new gene-based therapies.

But a retrospective paper, which will be published Friday in the journal Science, points out the “revolution” has not lived up to expectations – at least not yet. “The predictive value of so much of this genetic risk information is really quite low,” Prof. Or, simply put, just because you are born with a certain group of genes, it doesn’t mean you are going to get a particular disease or steer clear of it either. Dr. Dr. En amitié, on partage tout… même les gènes ! Les réseaux d'amitié peuvent être déterminés par des raisons génétiques. © Dolarz, Flickr, CC by-nc-sa 2.0 En amitié, on partage tout… même les gènes ! - 1 Photo Des amis au sein d’un groupe partageraient bien plus de choses que simplement du temps, des activités ou une façon de s’habiller. Selon une étude parue dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), la ressemblance irait même… jusqu’aux gènes !

En effet, beaucoup d’études tendent à montrer que les individus auraient tendance à s’associer à des personnes qui leur ressemblent, selon un processus baptisé « homophilie » et opposé au terme « hétérophilie ». Des études qui confirment donc le vieil adage disant « qui se ressemble s’assemble ». Ce processus qui s’observe au niveau phénotypique (l’apparence extérieure), n’a jamais été étudié au niveau génotypique (l’ADN) dans des relations d’amitié. Les processus de sélection génotypique Le premier serait expliqué par la mobilité géographique des individus. Resurrecting the so-called 'depression gene': new evidence that our genes play a role in our response to adversity. University of Michigan Health System researchers have found new evidence that our genes help determine our susceptibility to depression. Their findings, published online in the Archives of General Psychiatry, challenge a 2009 study that called the genetic link into question and add new support to earlier research hailed as a medical breakthrough.

In the summer of 2003, scientists announced they had discovered a connection between a gene that regulates the neurotransmitter serotonin and an individual's ability to rebound from serious emotional trauma, such as childhood physical or sexual abuse. The journal Science ranked the findings among the top discoveries of the year and the director of the National Institute of Mental Health proclaimed, "It is a very important discovery and a real advance for the field. " That excitement was dampened in 2009, however, after the research was called into question by a study published in the Journal of the American Medical Association.

La dictature du gène. J’avais remarqué l’info dans les Lu, Vu & Entendu de Slate.fr, sans y accorder plus d’importance que cela : on aurait découvert un gène de l’infidélité et du “petit coup d’un soir bonsoir”. Je me suis dit : “Encore une ânerie” et j’ai tourné une page dans mon cerveau. Puis l’info est revenue ailleurs, notamment sur des sites anglo-saxons, qui titraient sur le “slut gene”, littéralement “le gène de la salope” (là, là, là, là, là, etc).

Cette fois-ci, au lieu de tourner une nouvelle fois la page, j’ai fait “pause”. Depuis que je fais ce métier, combien de fois ai-je vu ce genre d’information, le gène du comportement bidule, de l’habitude machin ? La réponse est : beaucoup. Et c’est bien pratique. J’imagine qu’un jour prochain, on trouvera le gène qui explique pourquoi on croit au tout génétique. Malheureusement, ces précautions de langage disparaissent souvent dans les comptes-rendus des médias ou dans l’assimilation des notions par le grand public. Pierre Barthélémy. Mauvais gènes. (Agence Science-Presse) L’humain est décidément une machine moins fiable qu’il en a l’air. Nous héritons à la naissance, en moyenne, de 250 à 300 gènes défectueux. Cliquer sur la photo pour agrandir Les uns peuvent augmenter le risque de cancer, les autres le diabète, et ainsi de suite.

Mais on aurait tort de croire que cette découverte soit une surprise : la vaste recherche qui est derrière — appelée le Projet 1000 génomes — a précisément pour but de rechercher les variations dans le code génétique, d’une personne à l’autre. Les chercheurs espèrent entre autres trouver des variations qui ne sont présentes que dans moins de 5 % de la population, et identifier la cause génétique d’une maladie, ou bien remonter son « arbre généalogique », si besoin jusqu’à la préhistoire. Combien de gènes déterminent Bertrand Delanoë ? ou la contre-attaque de la “whiz-génétique” » Article » OwniSciences, Société, découvertes et culture scientifique.

Gène de l'homosexualité masculine, gène du gauchiste, de la croyance religieuse ou de l’addiction au jeu, la génétique du comportement, ou “whiz-génétique”, reçoit une attention disproportionnée, alors que la plupart de ses “découvertes” résistent rarement à un examen plus attentif. L’homosexualité est un choix. En tous cas, c’est ce que les conservateurs religieux veulent nous faire croire. Mais voter à gauche serait génétique. Enfin c’est ce que des chercheurs de l’Université de Californie à San Diego (UCSD) et d’Harvard voudraient nous faire croire. Oui, l’inévitable est arrivé. Juste avant les élections américaines du 2 Novembre – coïncidence ? – des chercheurs auraient démontré un lien entre des vues politiques de gauche et DRD4, un gène produisant un récepteur pour la dopamine, un neurotransmetteur. L’auteur principal, James Fowler, de l’UCSD, s’est focalisé sur DRD4 car ce gène avait été précédemment relié à la “recherche de nouveauté”. Frénésie de gènes du comportement.

L’influence de la nutrition sur les gènes. Understanding Genetics: Human Health and the Genome. -A curious adult from California November 4, 2010 Yes, Gardner's syndrome (GS) is definitely genetic. And it can have some pretty severe effects too. People with GS tend to have lots of growths called polyps in different parts of the body.

In fact, one of the first signs that a person may have GS is when a doctor finds intestinal polyps. These growths run a high risk of turning cancerous and spreading. If left untreated, most patients end up with tumors in many parts of the body. Luckily, though, GS isn't very common -- only about one in a million Americans has it. Usually for someone to end up with GS, one of his or her parents has to have it too. About 20% of cases happen without any family history. What I'll do for the rest of the answer is focus on how GS is passed down and how it can just suddenly appear in some people. Differences in Genes can Cause Disease We've all heard an aunt or grandparent say things like, "You have your father's hair" (or mother's eyes or grandfather's nose).

Les bases génétiques de la différence. “Paris japonica” : la fleur au plus grand génome - En quête de sciences - Blog LeMonde.fr. Le fichier ADN financé par les assureurs - POLICEtcetera - Blog LeMonde.fr. The Brain, From Womb To Tomb. Epigenetics arise! | Gene Expression. Le stress vécu pendant l’enfance modifie le cerveau. Vous êtes un doberman. Mom tells daughters of her BRCA gene. Heritability and genetic test essay. Where does the myth of a gene for things like intelligence come from? | Dorothy Bishop | Science. Personal genomes: The case of the missing heritability.