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Vocabulaire philosophique

Vocabulaire philosophique Chapitres Bonjour, Afin de vous aider dans votre étude, vous trouverez ci-contre les définitions brèves des principaux termes et concepts propres à la philosophie. Bonne continuation! Objectifs Les objectifs de cette leçon sont : Afin de véritablement parler de philosophie, il faut avoir en tête le vocabulaire philosophique. Dictionnaire de Philosophie. Axiologie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Axiologie

L’axiologie (du grec : axia ou axios, valeur, qualité) peut définir, soit la science des valeurs morales, soit, en philosophie, à la fois une théorie des valeurs (axios) ou une branche de la philosophie s'intéressant au domaine des valeurs. Philosophie axiologique[modifier | modifier le code] C'est surtout dans l'Allemagne de la fin du XIXe que sont apparus des philosophes se revendiquant de l'axiologie (tels Heinrich Rickert ou Wilhelm Windelband). En France, un courant axiologique « spiritualiste » se développa plus tard autour notamment de Louis Lavelle.

Pour certains, l’axiologie doit être considérée comme une recherche pour établir une hiérarchie entre les valeurs (comme chez le Nietzsche de la Généalogie de la morale ou dans les travaux de Max Scheler). Concept. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Concept

Les différents philosophes ne sont pas nécessairement d'accord sur ce qu'est exactement un concept, au-delà de cette définition générale, bien que des lignes centrales puissent être dessinées. Ainsi, un concept est souvent une idée générale (le concept de chien rassemble tous les chiens existants et possibles), mais pas nécessairement (chez Leibniz, la notion complète exprime la substance individuelle et ne correspond qu'à elle ; par ailleurs, un nom propre peut être considéré, selon certaines théories philosophiques, comme exprimant le concept d'un individu[1]). Dialectique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Dialectique

La dialectique (appelée aussi méthode ou art dialectique) est une méthode de discussion, de raisonnement, de questionnement et d'interprétation qui occupe depuis l'Antiquité une place importante dans les philosophies occidentales et orientales. Le mot « dialectique » trouve son origine dans le monde grec antique (le mot vient du grec dialegesthai : « converser », et dialegein : « trier, distinguer », legein signifiant « parler »). Elle aurait été inventée par le penseur présocratique Zénon d'Élée[1], mais c'est surtout son emploi systématique dans les dialogues de Platon qui a popularisé l'usage du terme. La dialectique s'enracine dans la pratique ordinaire du dialogue entre deux interlocuteurs ayant des idées différentes et cherchant à se convaincre mutuellement.

Épistémologie

Eudémonisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Eudémonisme

L’eudémonisme (du grec : εὐδαιμονία / eudaimonía, « béatitude ») est une doctrine posant comme principe que le bonheur est le but de la vie humaine. Le bonheur n'est pas perçu comme opposé à la raison, il en est la finalité naturelle. Pour Aristote « Le bonheur, [eudaimonia] est un principe ; c’est pour l’atteindre que nous accomplissons tous les autres actes ; il est bien le génie de nos motivations[1]. » L'eudémonisme qualifie les doctrines éthiques qui font du bonheur la valeur suprême et le critère ultime de choix des actions humaines : Aristote, Épicure, Montaigne, Spinoza, Diderot…. Essence et accident. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Essence et accident

Pour les articles homonymes, voir Essence. Le concept d'essence (du latin essentia, du verbe esse, être, parent du grec ousia) désigne en métaphysique une distinction de l'être. Il désigne « ce que la chose est », par opposition au concept d'existence qui lui définit "l'acte d'exister". La distinction entre essence et existence est souvent confondue avec celle entre substance et accidents. Finalisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Finalisme

Le finalisme est une théorie qui affirme l'existence d'une cause finale de l'univers, de la nature ou de l'humanité. Elle présuppose un dessein, un but, une signification, immanents ou transcendants, présents dès leur origine. Le finalisme se retrouve souvent dans l'évocation de processus d'évolution biologique, dont le but serait par exemple l'apparition de l'espèce humaine. Cette perspective est aussi dite téléologique. Causes efficientes et cause finale[modifier | modifier le code] Le problème du finalisme et du déterminisme se pose dès l'Antiquité, dans les mêmes termes à peu près où il se pose encore aujourd'hui. . « Qui empêche, dit-on, que la nature agisse sans avoir de but (...) ?

Les êtres naturels s'expliquent ainsi par le hasard et la nécessité, plus précisément par la naissance aléatoire des formes naturelles et la sélection des seules qui sont viables : Hédonisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Hédonisme

L’hédonisme (du grec ancien : ἡδονή / hēdonḗ, « plaisir » et du suffixe -ισμός / -ismós) est une doctrine philosophique grecque selon laquelle la recherche du plaisir et l'évitement du déplaisir constituent l'objectif de l'existence humaine. Acceptions possibles[modifier | modifier le code] Pensée philosophique[modifier | modifier le code] Herméneutique. L'herméneutique (du grec hermeneutikè, ἑρμηνευτική [τέχνη], art d'interpréter, hermeneuein signifie d'abord « parler », « s'exprimer »[1] et du nom du dieu grec Hermès, messager des dieux et interprète de leurs ordres) est la théorie de la lecture, de l'explication et de l'interprétation des textes.

Herméneutique

L'herméneutique ancienne est formée de deux approches complètement différentes : la logique d'origine aristotélicienne (à partir du Peri hermeneia ou De l'interprétation d'Aristote) d'une part, l'interprétation des textes religieux (orphisme ou exégèse biblique par exemple) et l'hermétisme d'autre part. L'herméneutique moderne se décline en sous-disciplines : HERMÉNEUTIQUE. Prise de vue Le mot «herméneutique», du grec `ermcne´ia qui signifie interprétation, caractérise la discipline, les problèmes, les méthodes qui ont trait à l’interprétation et à la critique des textes.

HERMÉNEUTIQUE

Le terme est utilisé surtout à propos des œuvres de prose ou de poésie pour désigner l’ensemble des problèmes de lecture et de compréhension de celles-ci, mais il est employé aussi à propos de toutes les catégories d’œuvres d’art, des récits mythologiques, des rêves, des diverses formes de littérature et du langage en général. C’est le but de l’herméneutique de dépasser la simple critique et l’interprétation des textes et de viser à constituer une théorie générale de l’inspiration. Le mot a sa portée majeure dans le cas de l’exégèse biblique ; c’est à cette dernière qu’on se référera le plus souvent ici. Idées. Les études scientifiques de la perception effectuées à partir du dix neuvième siècle justifient amplement la méfiance de Descartes vis-à-vis de la perception ; c’est cette méfiance qui l’a conduit à l’affirmation qu’il existe deux types d’idées : celles qui nous viennent des sens, idées obscures et confuses mais utiles pour faire face aux circonstances de la vie du corps (voir la sixième Méditation) et idées innées que Dieu a mis en nous pour connaître la réalité telle qu’elle est.

Ce sont les idées innées, en particulier les idées d’étendue, de mouvement, les idées des êtres mathématiques qui permettent la connaissance vraie des lois de la nature c'est-à-dire qui justifient la physique scientifique naissante de Galilée (1564-1642), Képler (1571-1630), Copernic (1473-1543). Ajoutons qu’il y a chez Descartes également une autre conception de l’idée lorsqu’il s’interroge dans la 2ème Méditation : « Mais qu’est-ce donc que je suis ? Une chose qui pense. Qu’est-ce qu’une chose qui pense ? Métaphysique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La métaphysique est une branche de la philosophie et de la théologie qui porte sur la recherche des causes, des premiers principes[1]. Elle a aussi pour objet la connaissance de l'être absolu comme première cause, des causes de l'univers et de la nature de la matière.

Elle s'attache aussi à étudier les problèmes de la connaissance, de la vérité et de la liberté[2]. Monade. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Monade. Le mot « monade », qui relève de la métaphysique, signifie, étymologiquement, « unité » (μονάς monas). Noumène. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le noumène désigne : La philosophie traite ensuite de la possibilité pour le noumène d'être entièrement expérimenté, extrémité envisageable pour Edmund Husserl mais pas pour Kant. Définition et premières occurrences[modifier | modifier le code] Le noumène (en grec ancien νοούμενoν / nooúmenon) est un terme employé à l'origine par Platon pour désigner les « Idées », c'est-à-dire la réalité intelligible (par opposition au monde sensible), accessible à la connaissance rationnelle.

Au contraire, chez Emmanuel Kant, auquel le terme de « noumène » est le plus souvent renvoyé, il s'agit de tout ce qui existe et que la sensibilité ne peut atteindre, restreignant par là les prétentions de la raison quant à la connaissance. « Noumène » est parfois considéré comme synonyme de chose en soi, faisant référence aux faits tels qu'ils sont absolument et en eux-mêmes, par opposition au terme de phénomène, faisant référence à ce qui est connaissable.

Ontologie L'Etre Philosophie

Phénomène. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un phénomène est une chose, un fait du monde physique (objet, action…) ou psychique (émotion, pensée…) tel qu'il se présente à notre esprit (conscient ou non), par opposition à ce qu'est en soi la chose réellement existante (das Ding an sich). Positivisme. Cet article contient une ou plusieurs listes(juin 2016). Cet article contient une ou plusieurs listes. Ces listes gagneraient à être rédigées sous la forme de paragraphes synthétiques, plus agréables à la lecture, les listes pouvant être aussi introduites par une partie rédigée et sourcée, de façon à bien resituer les différents items.

Il construit une philosophie des sciences qui part des mathématiques pour aller jusqu'à la sociologie et la science politique, ainsi qu'une philosophie de l'histoire qui conçoit le processus historique comme une avancée vers davantage de rationalité scientifique (« positive ») et moins de théologie et de spéculation métaphysique sur les réalités transcendantes (« la loi des trois états »).

Origines[modifier | modifier le code] Le courant philosophique du positivisme commença à se structurer en France dans la première moitié du XIXe siècle. Principe. Raison. Par Raymond-Robert Tremblay, du cégep du Vieux Montréal. Syllogisme. Solipsisme. Définition[modifier | modifier le code] Le doute chez Descartes[modifier | modifier le code] Sujet. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Sujet.

Le mot sujet a plusieurs sens selon le domaine où on l'emploie : Le présent article traite de ce dernier sens, bien que tous ces sens soient liés au point que l'on puisse faire la critique du sujet en l'assimilant à un être purement logique voir à une fiction logique, fiction elle-même dérivée d'une habitude grammaticale trompeuse : par exemple, le fait de dire je dans une phrase ne serait en aucun cas la preuve que nous sommes un item auquel on prédique une qualité. Cet examen critique de la notion de sujet trouvera naturellement sa place plus loin dans cet article. Sujet. Téléologie. Théorie de la connaissance. Vérificationnisme.