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1 : Y a-t-il un profil type de la NDE ? 2 : Y a-t-il un profil type de la NDE ? Le premier réflexe d'un chercheur scientifique, lorsqu'il tombe sur un fait aussi troublant, est de chercher des corrélations. Qui donc a le plus chance de vivre une NDE ? À sa grande surprise, le philosophe-psychiatre Raymond Moody ne trouve rien. Ses premières statistiques sont insuffisantes et sa collecte de cas suspecte, puisqu'il interroge quasiment à la cantonnade, de conférence en conférence et de bouche à oreille. Mais déjà, il tient le bout d'une énigme que, trente ans plus tard, les plus sérieux des chercheurs n'auront toujours pas résolue : la NDE semble aléatoirement distribuée et n'est pas prévisible.

La publication de Life after life provoque un engouement dans le grand public, mais aussi auprès de nombreux jeunes chercheurs, surtout américains. Et pourtant... Pas deux cas identiques Les profils types, avec leurs courbes de Gauss, sont utiles, n'importe quel scientifique vous le dira. De l'utilité du profil-type... 3 : Y a-t-il un profil type de la NDE ? Le premier réflexe d'un chercheur scientifique, lorsqu'il tombe sur un fait aussi troublant, est de chercher des corrélations. Qui donc a le plus chance de vivre une NDE ? À sa grande surprise, le philosophe-psychiatre Raymond Moody ne trouve rien. Ses premières statistiques sont insuffisantes et sa collecte de cas suspecte, puisqu'il interroge quasiment à la cantonnade, de conférence en conférence et de bouche à oreille. Mais déjà, il tient le bout d'une énigme que, trente ans plus tard, les plus sérieux des chercheurs n'auront toujours pas résolue : la NDE semble aléatoirement distribuée et n'est pas prévisible.

On ne peut la corréler à rien. La publication de Life after life provoque un engouement dans le grand public, mais aussi auprès de nombreux jeunes chercheurs, surtout américains. Et pourtant... Pas deux cas identiques Les profils types, avec leurs courbes de Gauss, sont utiles, n'importe quel scientifique vous le dira. De l'utilité du profil-type...

4 : Y a-t-il un profil type de la NDE ? Le premier réflexe d'un chercheur scientifique, lorsqu'il tombe sur un fait aussi troublant, est de chercher des corrélations. Qui donc a le plus chance de vivre une NDE ? À sa grande surprise, le philosophe-psychiatre Raymond Moody ne trouve rien. Ses premières statistiques sont insuffisantes et sa collecte de cas suspecte, puisqu'il interroge quasiment à la cantonnade, de conférence en conférence et de bouche à oreille. Mais déjà, il tient le bout d'une énigme que, trente ans plus tard, les plus sérieux des chercheurs n'auront toujours pas résolue : la NDE semble aléatoirement distribuée et n'est pas prévisible. On ne peut la corréler à rien. Vous pouvez être homme ou femme, jeune ou vieux, croyant ou athée, accidenté ou cancéreux, ignorant le phénomène ou ayant lu des livres dessus... la probabilité de vivre l'expérience demeure la même.

Et pourtant... Pas deux cas identiques Les profils types, avec leurs courbes de Gauss, sont utiles, n'importe quel scientifique vous le dira. 1 : Expliquer la NDE ? 2 : Expliquer la NDE ? Que les modernes soient finalement des humains comme les autres, consubstantiellement habités par le questionnement religieux, c'est-à-dire assoiffés d'horizons métaphysiques, nous le savons fort bien en ce début de troisième millénaire.

La naïveté matérialiste scientiste s'est depuis peu fatiguée. L'homme est un animal qui se nourrit autant de symboles que de pain et d'eau. Que cette soif se manifeste à la limite de ce que nous appelons la vie - les études sur le désir charnel des personnes mourantes ne font que commencer - ne remet d'abord en cause que la nature de cette limite elle-même. Loin de constituer une glissade automatique vers la déshumanisation, comme peuvent le suggérer les apparences parfois momifiées des agonisants, l'approche de la frontière apporte - à qui sait écouter attentivement et sans peur - une exacerbation des qualités humaines. Mais l'EMA/NDE pousse cette limite jusque... de l'autre côté du miroir !

Les premières théories arrivent de la neurochimie. 3 : Expliquer la NDE ? 4 : Expliquer la NDE ? Que les modernes soient finalement des humains comme les autres, consubstantiellement habités par le questionnement religieux, c'est-à-dire assoiffés d'horizons métaphysiques, nous le savons fort bien en ce début de troisième millénaire. La naïveté matérialiste scientiste s'est depuis peu fatiguée. L'homme est un animal qui se nourrit autant de symboles que de pain et d'eau. Que cette soif se manifeste à la limite de ce que nous appelons la vie - les études sur le désir charnel des personnes mourantes ne font que commencer - ne remet d'abord en cause que la nature de cette limite elle-même. Loin de constituer une glissade automatique vers la déshumanisation, comme peuvent le suggérer les apparences parfois momifiées des agonisants, l'approche de la frontière apporte - à qui sait écouter attentivement et sans peur - une exacerbation des qualités humaines.

Mais l'EMA/NDE pousse cette limite jusque... de l'autre côté du miroir ! Les premières théories arrivent de la neurochimie. 5 : Expliquer la NDE ? Que les modernes soient finalement des humains comme les autres, consubstantiellement habités par le questionnement religieux, c'est-à-dire assoiffés d'horizons métaphysiques, nous le savons fort bien en ce début de troisième millénaire. La naïveté matérialiste scientiste s'est depuis peu fatiguée. L'homme est un animal qui se nourrit autant de symboles que de pain et d'eau. Que cette soif se manifeste à la limite de ce que nous appelons la vie - les études sur le désir charnel des personnes mourantes ne font que commencer - ne remet d'abord en cause que la nature de cette limite elle-même. Loin de constituer une glissade automatique vers la déshumanisation, comme peuvent le suggérer les apparences parfois momifiées des agonisants, l'approche de la frontière apporte - à qui sait écouter attentivement et sans peur - une exacerbation des qualités humaines.

Mais l'EMA/NDE pousse cette limite jusque... de l'autre côté du miroir ! Les premières théories arrivent de la neurochimie. 6 : Expliquer la NDE ? Que les modernes soient finalement des humains comme les autres, consubstantiellement habités par le questionnement religieux, c'est-à-dire assoiffés d'horizons métaphysiques, nous le savons fort bien en ce début de troisième millénaire. La naïveté matérialiste scientiste s'est depuis peu fatiguée. L'homme est un animal qui se nourrit autant de symboles que de pain et d'eau. Que cette soif se manifeste à la limite de ce que nous appelons la vie - les études sur le désir charnel des personnes mourantes ne font que commencer - ne remet d'abord en cause que la nature de cette limite elle-même.

Loin de constituer une glissade automatique vers la déshumanisation, comme peuvent le suggérer les apparences parfois momifiées des agonisants, l'approche de la frontière apporte - à qui sait écouter attentivement et sans peur - une exacerbation des qualités humaines. Les premières théories arrivent de la neurochimie. On sort là du symbolique... “ Pourquoi pas ? La confirmation de la science. 7 : Expliquer la NDE ? Que les modernes soient finalement des humains comme les autres, consubstantiellement habités par le questionnement religieux, c'est-à-dire assoiffés d'horizons métaphysiques, nous le savons fort bien en ce début de troisième millénaire.

La naïveté matérialiste scientiste s'est depuis peu fatiguée. L'homme est un animal qui se nourrit autant de symboles que de pain et d'eau. Que cette soif se manifeste à la limite de ce que nous appelons la vie - les études sur le désir charnel des personnes mourantes ne font que commencer - ne remet d'abord en cause que la nature de cette limite elle-même. Loin de constituer une glissade automatique vers la déshumanisation, comme peuvent le suggérer les apparences parfois momifiées des agonisants, l'approche de la frontière apporte - à qui sait écouter attentivement et sans peur - une exacerbation des qualités humaines.

Les premières théories arrivent de la neurochimie. On sort là du symbolique... “ Pourquoi pas ? La confirmation de la science. 8 : Expliquer la NDE ? Que les modernes soient finalement des humains comme les autres, consubstantiellement habités par le questionnement religieux, c'est-à-dire assoiffés d'horizons métaphysiques, nous le savons fort bien en ce début de troisième millénaire. La naïveté matérialiste scientiste s'est depuis peu fatiguée. L'homme est un animal qui se nourrit autant de symboles que de pain et d'eau. Que cette soif se manifeste à la limite de ce que nous appelons la vie - les études sur le désir charnel des personnes mourantes ne font que commencer - ne remet d'abord en cause que la nature de cette limite elle-même. Loin de constituer une glissade automatique vers la déshumanisation, comme peuvent le suggérer les apparences parfois momifiées des agonisants, l'approche de la frontière apporte - à qui sait écouter attentivement et sans peur - une exacerbation des qualités humaines.

Mais l'EMA/NDE pousse cette limite jusque... de l'autre côté du miroir ! Les premières théories arrivent de la neurochimie. 1 : Voir la mort et revenir. C’est une expérience que vous trouvez relatée dans les plus anciens récits du monde. Parlant d’Er le Pamphylien, apparemment ressuscité après une bataille, Platon l’a nommée deuteropotmos (Er s’est "évanoui et réveillé deux fois" - In La République, X, 613e-621b). Guru Nanak aussi l’a vécue. Le fondateur de la religion sikh – qui introduisit des valeurs d’une modernité inouïe dans le nord de l’Inde – se noya dans un lac et en ressortit au bout de trois jours, en s’écriant : « J’ai vu la lumière du saint nectar !

» Un observateur attentif retrouve partout l’expérience de mort imminente (lire encadré p. 98), ce que les Anglo-Saxons nomment une near death experience (NDE). Mythologie à l’hôpital En créant une sorte de zone intermédiaire entre la vie et la mort, les progrès fulgurants de la médecine moderne vont propulser cette expérience rarissime et apparemment mythique dans le champ de notre réel. L’étude moderne de la NDE commence dans les années 1970, aux Etats-Unis. Dire l’indicible. 2 : Voir la mort et revenir.

Médecins et familles ont du mal à comprendre les changements profonds qui les touchent, dont deux sont frappants. Les experiencers ont l’impression d’avoir vécu jusque-là dans l’illusion des rôles sociaux et du paraître. Les épisodes qu’ils considéraient comme de grandes fiertés ou de grandes hontes ont perdu de leur importance. Pour eux, les chemins de la liberté passent désormais par les détails de chaque instant, qu’ils découvrent avoir tragiquement négligés. Ceux qui relatent une « revue de vie », phase de la NDE où l’intégralité de l’existence revient en mémoire, en tirent une morale « au-delà du bien et du mal ». Ils disent avoir connu une sorte d’autojugement, où ils ont revécu toute leur vie, mais aussi les conséquences de leurs actes et de leurs pensées sur autrui.

En somme, la société moderne, confrontée au plus universel : notre mortalité, semble retrouver expériences et états de conscience que les grandes traditions spirituelles ont explorés. Philippe Labro Euphorie au retour. 3 : Voir la mort et revenir. En 1991, âgé de 75 ans, il subit deux opérations du cœur. Au deuxième jour postopératoire, il connaît une expérience dont il se souvient avec une étonnante clarté, treize ans plus tard. « J’étais dans mon lit, quand je me suis retrouvé dans un paysage admirable que traversait un arc-en-ciel. Celui-ci s’est lentement rétréci, jusqu’à devenir un pont, enjambant un fleuve énorme qui s’est mis à rouler vers moi.

Mais je n’éprouvais aucune peur. Puis je me suis aperçu que ce fleuve était constitué d’humains marchant côte à côte. Quand ils m’ont atteint, j’ai été submergé et je me suis laissé faire. Et presque tout de suite, je me suis mis à sangloter. Un amour inconcevable se dégageait de ces gens. Quand tout s’est arrêté et que j’ai rouvert les yeux, dans mon lit d’hôpital, j’ai encore pleuré pendant des heures.

Dominique Bromberger « A aucun moment je n’ai eu conscience d’être proche de la mort. Je ne prétendrais pas en être sorti transformé, mais cet accident fut également une chance. Voir la mort et revenir : Les 5 étapes4 : Voir la mort et revenir. Les sciences aux portes de l'au-delà (EMI) A quoi ressemble l'ultime instant ? Faute de pouvoir faire parler les morts, les scientifiques décortiquent les récits d'expérience de mort imminente (EMI). Des témoignages troublants qui pourraient permettre de mieux comprendre les mécanismes de la conscience.

La mort est paradoxale. Personne n'y échappe mais, pour des raisons évidentes, c'est probablement l'expérience humaine la moins documentée. Certes, on a de bonnes idées de ce qui la précède. Impression de sortie du corps ou "décorporation", sensation d'extase, intégration de détails ahurissants de l'environnement par des personnes censément inconscientes...

Relevant les similitudes entre ces manifestations et certaines représentations religieuses du passage de vie à trépas, certains ont interprété les EMI comme la preuve de l'existence d'une vie après la mort. DES EXPÉRIENCES INÉDITES lN SITU Un taux élevé de dioxyde de carbone dans l'air expiré et dans le sang a été observé chez des patients ayant vécu une EMI.

Le cerveau : la source des expériences de mort imminente ? - Expérience de mort imminente - L'Internaute Science. Les neurologues ont cherché à expliquer les expériences de mort imminente par des déficiences neurologiques. Stimulation du cerveau Le premier à s'y essayer est le Docteur Michael Persinger en 1955. Ce neurologue canadien a soumis plusieurs de ses patients à diverses expériences. Il a stimulé plusieurs parties de leur cerveau et a réussi pour certains à leur déclencher des phénomènes comparables à ceux vécus pendant les EMI. En stimulant une zone de lobe temporal, il constata que le patient revivait des brides de souvenirs sauf que dans ce cas précis, ces images se présentaient sous forme de flashs continus mais incohérents, ce qui n'est pas le cas dans les témoignages d'EMI. En activant électriquement une autre zone du lobe temporal, il leur déclencha des visions mystiques ou encore des sensations de décorporation.

La paralysie du sommeil Le Docteur Jean-Michel Jourdan explique très bien ce phénomène dans son livre "Deadline". La sortie est complète. La décorporation : un phénomène inexpliquable - Expérience de mort imminente - L'Internaute Science. La sortie hors du corps est l'expérience la plus relatée par les personnes ayant survécu à un fort traumatisme surtout chez les personnes ayant fait un arrêt cardiaque.De nombreux sceptiques tentent d'expliquer par tous les moyens les causes scientifiques de ce phénomène. C'est ce qu'a effectué Olaf Blanke en 2002. Sortie du corps : une simple hallucination ? Il opère une patiente de 43 ans atteinte d'épilepsie ; au cours de son intervention, elle est totalement éveillée donc consciente.

Il procède à des stimulations électriques de différentes intensités dans le lobe temporal droit. L'IRM indiquait que l'épilepsie était due à un dysfonctionnement à cet endroit. Un témoignage contradictoire Jean-Pierre Jourdan raconte dans son livre l'histoire de cette femme opérée en 2001 d'un anévrisme. Cette histoire indique que malgré un cerveau inactif, la patiente inconsciente a pu assister à la scène et surtout s'en souvenir. D'autres témoignages de ce genre ont été rapportés.

En savoir plus - Expérience de mort imminente - L'Internaute Science. La vie après ? - Expérience de mort imminente - L'Internaute Science. Classement des NDE et contacts avec l'au-delà... - Après la vie, la vie. La vie après la mort. Témoignages de NDE / EMI. Anges, deuil, images de condoléances,... Les souvenirs d’expériences de mort imminente (NDE) : plus réels que la réalité ? Robert Lanza: la physique quantique prouve qu'il ya une vie après la mort. The Founding of IANDS: John Audette.