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Paul Antoine Rey Lescure

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La ruée vers le phosphate dans les cavernes du Midi de la France Bernard GEZE. TRAVAUX DU COMITÉ FRANÇAIS D'HISTOIRE DE LA GÉOLOGIE - Troisième série - T.VIII (1994) Bernard GEZE La ruée vers le phosphate dans les cavernes du Midi de la France COMITÉ FRANÇAIS D'HISTOIRE DE LA GÉOLOGIE (COFRHIGEO) (séance du 30 novembre 1994) Les successives "ruées vers l'Or" qui sévirent dans les Amériques ont fait l'objet d'innombrables écrits et films célèbres. A peu près au même moment que la dernière de ces "ruées" au siècle dernier, il y eut en Europe une intense prospection du phosphate de chaux qui, toutes proportions gardées, offrit un peu le même caractère de folie, de fortunes subites et de désastres financiers.

Dans cette frénésie de recherche de l'un des principaux engrais chimiques utiles à l'agriculture, la France eut un bon quart de siècle de retard, notamment sur l'Angleterre et l'Allemagne. 1.- Découverte et exploitation. Malgré les petites contradictions que l'on peut relever, il semble que J. Fig.1 - Carte des gouffres à phosphate du Quercy. 1887. 1903. 1908. Gallica.bnf. Titre : Bulletin archéologique ["puis" et historique ; historique et artistique] publ. sous la dir. de la Société archéologique de Tarn-et-Garonne...

Auteur : Société archéologique et historique de Tarn-et-Garonne Éditeur : [s.n.?] (Montauban) Date d'édition : 1869-1957 Type : texte, publication en série imprimée Langue : Français Format : application/pdf Identifiant : Source : Société archéologique et historique de Tarn-et-Garonne, 2008-266977 Relation : Description : Appartient à l’ensemble documentaire : MidiPyren1 Provenance : bnf.fr Thème : 06 Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. Il a été généré par O.C.R. Le taux de reconnaissance obtenu pour ce document est de 99.98 %. BULLETIN ET HISTORIQUE PUBLIE SOUS LA DIRECTION DE LA SOCIÉTÉ ARCHÉOLOGIQUE DE TARN-ET-GARONNE. Tome VII. PREMIER TRIMESTRE 1879. ASNAT - Dossiers. Les premières notes de géologie écrites par ces deux érudits originaires de la région parurent entre 1863 et 1875. Paul-Antoine Rey-Lescure (1830 – 1896), avocat et receveur de l’Enregistrement, appartenait à une famille bourgeoise calviniste de Montauban.

Alfred Caraven-Cachin (1839 – 1903), lui, était catholique et fils d’un commerçant castrais. Sa mère, Zélie Vaissière, qu’Alfred qualifie de « femme de lettres », était petite-fille d’une sœur du baron Joseph Cachin, dont la famille avait été protégée par Mgr de Barral, évêque de Castres. Contrairement à ce qui a été écrit (Durand-Delga, in « Les Tarnais », 1996, p.69), Alfred Caraven – qui ajouta après 1866 le nom de Cachin au sien propre – était donc bien arrière-petit-neveu, par sa mère, du célèbre ingénieur. On aurait pu s’imaginer que le montalbanais Rey-Lescure se serait consacré au Tarn-et-Garonne et que le castrais Caraven-Cachin se serait réservé le Tarn. 2. Retour Page suivante : géologues du XXème siècle. Histoire de Montauban - Henry Le Bret, Marcellin.

Bulletin archéologique et historique de la Société archéologique de Tarn-et. Gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55180748/texteBrut. Halshs.archives-ouvertes.fr/docs/00/93/76/14/PDF/1994_05.pdf. P.165-6. Annales des Sciences Géologiques. "Une objection, dit-il, d'ailleurs toute-puissante, se pr"sente imm"diatement contre l'hypoth"se que nous combattons. Pourquoi, si le phosphore est d" " des causes " des "manations de l'int"rieur, le produit de ces "manations est-il strictement cantonn" dans les limites qu'ont atteintes les eaux tertiaires? Pourquoi les causses de et par exemple, qui ne sont s"par"s de ceux de que par l'"troite coupure de qui sont compos"s de m"mes couches inclin"es, et qui sont, comme eux, sem"s de poches et de crevasses, ne contiennent-ils pas des tandis que leurs voisins en sont si riches?

Une diff"rence d'une cinquantaine de m"tres dans l'altitude suffirait elle " expliquer cette exclusion, et quelle influence cette diff"rence de niveau pourrait-elle avoir sur une cause productive venant des profondeurs du globe? Pourquoi les phosphates de chaux se seraient-ils d"pos"s pr"cis"ment sur les plateaux les moins et toujours dans le voisinage des terrains tertiaires et des amas d'ossements? M. Antonin REY-LESCURE (1830 - 1896) - Société Genevoise de Généalogie. Biographie. Paul-Antoine REY-LESCURE, géologue (Montauban, 1830-1896) Le cursus de Rey-Lescure nous est inconnu. Amateur, il est avocat, receveur de l’Enregistrement, issu d’une famille bourgeoise, calviniste, de Montauban. On ne sait s’il a suivi un cursus universitaire, mais il parle de « son savant maître M. Hébert… », alors véritable pape de la géologie française dans sa chaire de la Sorbonne.

Peu connus à l’extérieur du département du Tarn-et-Garonne, les travaux de P.A. Il est difficile d’expliquer pourquoi, Rey-Lescure s’intéresse parallèlement au Tarn (dès 1872, d’après M. Mais Rey-Lescure est allé vite ! Aucune trace d’activité géologique de Rey-Lescure ne nous est connue après 1886. Travaux de P.A. REY-LESCURE P. (1874-1875) – Carte agro-géologique, hydrologique, statistique et itinéraire du département de Tarn et Garonne. REY-LESCURE P. (1875) – Note sur les phosphatières de Tarn-et-Garonne et sur l'Hydrologie des environs de Montauban.

REY-LESCURE P. (1886) – Géologie du Tarn. Sources :