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Les conséquences de notre aveuglement

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Risque de ‘génocide’ au Brésil. Fuite sur la plateforme Total: "beaucoup de pétrole" sur la mer selon Greenpeace. "Nous sommes au milieu d'une nappe irisée huileuse. Il y a une grande quantité de pétrole sur l'eau. Il y en a partout. Cela fait plusieurs kilomètres de long et je dirais, plusieurs centaines de large", a assuré Christian Bussau par téléphone à l'AFP. "C'est vraiment un grave accident. Greenpeace a mis un canot pneumatique à l'eau pour effectuer des prélèvements d'eau et d'air, afin de les transmettre à un laboratoire pour déterminer exactement "ce qu'était cette irisation", a-t-il encore rapporté.

Total a pour sa part démenti la présence de pétrole: "il s'agit de condensat de gaz, un condensat léger qui ne pose pas de risque significatif pour les oiseaux marins ou le reste de la vie sauvage", a déclaré une porte-parole. Juste après la découverte de la fuite il y a huit jours, Total avait indiqué que lorsque celle-ci s'était produite, du liquide s'était échappé d'abord, entraînant la formation d'une nappe fine d'hydrocarbures d'environ 12 km2. Source AFP. Le syndrome du larbin.

Une nouvelle paire de baskets provoque des scènes d'émeutes aux Etats-Unis. The Edukators (extrait) Bagatelle sur notes de frais. L’affaire du Carlton l’a révélé au grand jour : les sociétés ont parfois recours à des professionnelles pour divertir leurs clients. Voici comment elles s’y prennent. « Hey, you look beautiful…» Elle se prénomme Amanda et elle a le compliment facile. On la connaît depuis à peine deux minutes, le temps d’évoquer sa Hongrie natale et ses études de psychologie, mais elle veut déjà passer aux choses sérieuses. «Toi venir avec moi salon privé», propose-t-elle en jouant avec la bretelle de son bustier. Ses tarifs : 35 euros la danse topless. 70 euros «sans la koulotte». Et 570 euros pour faire durer le spectacle une demi-heure, avec une bouteille de champagne à disposition.

Abonnez vous à l'édition digitale. Drame de la crise: l'histoire déchirante de nombreux enfants grecs. La crise frappe l’Europe de plein fouet. La Grèce est particulièrement touchée. De plus en plus de familles prennent la décision, toujours douloureuse, d’abandonner leur(s) enfant(s). La plupart d’entre elles sont des familles monoparentales, des mères seules, qui ont perdu leur travail dans le sillage de la crise de l’euro. Sombrant dans une pauvreté extrême, elles espèrent qu’en abandonnant leurs petits, ils pourront manger à leur faim. Des familles monoparentales "Il y a encore deux ans, 95 % des admissions dans nos centres d'accueil concernaient des cas de mineurs maltraités", explique Marine, qui travaille depuis dix-neuf ans dans un centre d'accueil pour enfants en détresse à nos confrères du site internet Courrier International. Les parents les conduisent au centre ou les abandonnent sans rien dire Certains parents n’ont pas le courage de dire à leurs enfants qu’ils vont s’en défaire et laissent simplement un petit mot dans leur cartable.

Les cœurs d’enfants brisés.