background preloader

Vers de nouveaux modèles ?

Facebook Twitter

Patrick Zelnik : "à l'étranger, Hadopi n'est pas considérée comme une loi répressive" Jeudi, le gouvernement a finalement lancé la Carte Musique Jeune après des mois de retard. Destiné aux jeunes de 12 à 25 ans, le dispositif doit les aiguiller vers les plates-formes légales en doublant systématiquement l'argent investi, avec un plafond final de 50 euros. Ainsi, un internaute qui achète une carte à 25 euros recevra 25 euros supplémentaires financés par le contribuable. À cette occasion, TF1 a pu s'entretenir avec Patrick Zelnik, dont le rapport sur le développement de l'offre légale culturelle en ligne contenait justement cette proposition. Malgré l'apparition des premiers couacs, l'ancien responsable de la mission Zelnik a défendu son système, expliquant que "l'objectif est avant tout de donner une opportunité au téléchargement légal" quitte à "jouer sur le prix à destination des consommateurs".

Pourtant, la loi a été diversement appréciée à l'étranger. En avril dernier, ce fut au tour du ministre de l'Intérieur italien de critiquer la loi Hadopi. Beezik lève 2,5 millions d’euros. Creative Commons. Creative Commons (CC) est une association à but non lucratif dont la finalité est de proposer une solution alternative légale aux personnes souhaitant libérer leurs œuvres des droits de propriété intellectuelle standard de leur pays, jugés trop restrictifs[1]. L’organisation a créé plusieurs licences, connues sous le nom de licences Creative Commons. Ces licences, selon leur choix, ne protègent aucun ou seulement quelques droits relatifs aux œuvres.

Le droit d'auteur (ou « copyright » dans les pays du Commonwealth et aux États-Unis) est plus restrictif. Licences[modifier | modifier le code] Six possibilités existent, combinaisons de quatre pôles définissant les différents usages[2] : Exemple de combinaison : Creative Commons BY-NC-SA, qui est la licence Attribution-Non Commercial-Partage à l'identique. Adaptation aux législations[modifier | modifier le code] Le CRID a adapté les licences dans le droit belge, ces licences belges existent en français, néerlandais et anglais. Copyleft. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le symbole du copyleft, avec un C « inversé » (tourné à gauche), est l'« opposé » du copyright (C tourné à droite). En 2009, il n'est pas reconnu comme symbole légal.

Le copyleft[Note 1] est l'autorisation donnée par l'auteur d'un travail soumis au droit d'auteur (œuvre d'art, texte, programme informatique ou autre) d'utiliser, d'étudier, de modifier et de diffuser son œuvre, dans la mesure où cette même autorisation reste préservée. L'auteur refuse donc que l'évolution possible de son travail soit accompagnée d'une restriction du droit à la copie, à l'étude, ou à de nouvelles évolutions. De ce fait, le contributeur apportant une modification (correction, ajout, réutilisation, etc.) est contraint de redistribuer ses propres contributions avec les mêmes libertés que l'original. Jeu de mots et traductions[modifier | modifier le code] Le terme copyleft est un jeu de mot construit par opposition au terme copyright. . — Richard Stallman. Jacques Attali répond aux artistes. Bien des artistes ne semblent pas admettre que l’Internet leur ouvre de formidables potentialités créatrices, que le projet de loi dite Hadopi, qui vise à interdire le téléchargement gratuit, ne vise pas à les protéger, mais à réserver l’essentiel de la valeur produite à quelques entreprises, et qu’un autre système de rémunération, fondé sur la nature profonde de l’Internet, leur assurerait un meilleur revenu et une bien meilleure reconnaissance sociale, s’ils s’en emparent avant que ne s’y rallient les entreprises qui la combattent aujourd’hui. 1.

Le commerce de la musique et du cinéma sur l’Internet obéit au même modèle économique qu’à la radio ou à la télévision. publicité Quand la radio est apparue, bien des artistes refusèrent d’y parler, ou de laisser leurs disques y passer, de peur de perdre des spectateurs pour leurs concerts. La gratuité des échanges est aussi dans la nature de l’Internet, comme elle est dans celle de la radio et de la télévision. 2. 3. 4. 5. 6. Jacques Attali. Après 7 ans de piratage, je suis prêt à payer.

J’ai 24 ans et après 7 ans dans l’illégalité, je m’apprête à régulariser ma situation. Depuis 2002, je n’ai pratiquement pas dépensé un seul centime dans l’achat de musique. Je dois bien confesser quelques écarts — il était tard, j’avais bu, le groupe était insistant pour vendre ses CD — mais pour l’essentiel, je m’en étais tenu à cette règle simple: la musique est gratuite et illimitée, pourquoi la payer? Quand mes parents se sont raccordés à l'ADSL, j’ai commencé à télécharger sur le logiciel Kazaa avant de divaguer sur divers concurrents aux interfaces tout aussi imbuvables comme Soulseek ou eDonkey.

A l’époque, mon investissement personnel pour la fabrication d’un CD valait assez largement les 15 euros que j’économisais. Je téléchargeais les chansons piste par piste, avec les inévitables aléas que ça comporte (fichiers brouillés, contenu porno caché...). Je gravais le CD et réalisais ensuite une pochette faite main. La peur du gendarme, le frisson du streaming publicité 1. 2. Les américains se détournent du téléchargement illégal, et de l’achat de musique - Peer2peer - ElectronLibre. Les internautes américains sont de moins en moins nombreux à télécharger de la musique sur les réseaux P2P, selon le cabinet d’études NPD, mais ils sont également moins nombreux à en acheter. Selon une étude de NPD Group présentée lors du Digital Music East Forum, de moins en moins d’internautes américains téléchargent de la musique sur les réseaux peer-to-peer.

La proportion de ceux qui ont téléchargé au moins un titre illégalement dans l’année est passée de 19 % en 2006 à 14 % en 2009, soit une baisse de 25 %. Parmi les raisons invoquées par les personnes interrogées, pour justifier le fait qu’elles se détournent désormais du téléchargement illégal, figure en premier lieu la crainte d’attraper un cheval de Troie ou un virus informatique. Vient ensuite celle de faire l’objet de poursuites, alors que la RIAA (Recording Industry Association of America) a cessé de traîner des particuliers en justice.

Nouveaux modèles économiques. Les débats sur la musique et le piratage sont très passionnés, et virent rapidement au clash entre ceux qui défendent l'idée que la musique doit être achetée par ceux qui veulent l'écouter, et ceux qui prétendent que la musique doit pouvoir s'échanger librement, sans rémunération directe. Il est donc rafraichissant, dans ce contexte exacerbé par la loi Hadopi, de lire chez nos confrères de PC INpact les propos du groupe Kassav, qui écrit au député Christian Paul. Plutôt que d'invectiver les pirates, le groupe pose beaucoup de questions. On pourrait les trouver parfois naïves ("nous ne voyons pas la différence entre écouter un de nos morceaux sur un iPod ou sur un tourne-disque à l'époque"), mais toutes sont significatives de ce qu'un groupe qui a vécu 30 ans de carrière dans l'industrie musicale peut ressentir en voyant ses œuvres massivement copiées.

"Pourquoi réguler Internet est-il inimaginable ? La question est pertinente et légitime, et méritera une réponse détaillée. Nouvelles offres légales. Nouvelles lois ? Je vous recommande vivement de jeter un oeil à cette vidéo d’une conférence de Lawrence Lessig, consacrée à l’évolution de la propriété intellectuelle face aux nouvelles technologies. J’ai rarement entendu quelque chose d’aussi constructif et brillant à ce sujet. Lawrence Lessig est professeur de droit à l’Université de Stanford, célèbre pour être le père des licences Creative Commons et l’une de figures les plus saillantes du mouvement de la Culture Libre.

Dans cette intervention (sous titrée en français), il parle des nouvelles formes de créativité favorisées par les technologies numériques, de l’importance des contenus produits par les amateurs, de la culture du remix et de l’impact que ces nouvelles moeurs culturelles devraient avoir sur un système juridique complètement dépassé par les évènements. Je veux finir avec une chose bien plus importante que l’aspect économique : comment tout cela touche nos enfants. WordPress: J'aime chargement… Sur le même thème 29 août 2009 5 août 2017. Solution indienne, inadaptable mais efficace... Historically, the home video market in India has been highly fragmented. Before 2007, no single company had been able to capture a significant share as none had the distribution capability or a large content base in multiple languages.

Also, rampant piracy was eating into the market share of brands. The 'legal' players used to price home VCD/DVDs at a large premium and stress the quality difference compared to pirated videos. Though this created a profitable channel, home viewing formed a much smaller share of film industry revenues than it did in markets like the US.

With many small players competing and using essentially the same strategy, the opportunity to use innovation for breaking out of the pack was potentially very large. But it takes courage to challenge the dominant orthodoxies and not every company is willing to contradict the prevailing wisdom. Moser Baer, which is today the world's secondlargest producer of blank optical disks, was willing to do so. 1. 2. 3. 4. 5. 6.