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Djendeure

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« GENDER », SUICIDE ! « Observatoire du laxisme à l'école. S’il ne s’agissait que d’une histoire de désir , le « mariage pour tous » ne serait pas grave. Bien malin celui qui pourrait normaliser les fantasmes. En l’occurrence, chacun ou chacune, pour le plaisir, y met du sien ! Non. Ce qui est en jeu est plus fondamental; et d’abord étymologique. . « Déconstruisons! Ainsi du « mariage pour tous » au « gender », le lien est fou mais logique . « Moi Antonin Artaud, je suis mon père et ma mère. » ; « on dit que je suis le fils de l’homme et de la femme; cela m’étonne, je croyais être plus ! Kirilov, dans Les Possédés de Dostoïevski, désirait aussi cette liberté d’être maître et créateur de lui-même, être Dieu. Rappelons fortement ce bon sens : un homme n’est pas une femme; une femme n’est pas un homme.

Daniel Faivre. The solution to MRA problems? More feminism. Men’s rights activists—a loose coalition mostly comprised of men embittered that they’re not getting as much tail as they believe they’re due and men embittered after having their wives up and leave against their wishes—irritate feminist bloggers for many reasons, from blaming feminists for problems they clearly brought on themselves, to the Russian bride weirdness, to their dogged trolling and grudge-holding of feminists that criticize them.

But, honestly, all that pales in comparison to the most irritating thing of all about MRAs: They’re just so wrong. All that pales in comparison to the most irritating thing of all about MRAs: They’re just so wrong. When you believe that we live in a female-dominated world where straight men are the most oppressed class, it tends to make you wrong about pretty much everything. They’re so wrong about everything, they’re wrong even when they’re right. 1) Men are more often the primary or even sole breadwinners of nuclear-family households MRA explanation.

Qu’est-ce que le genre ? Le genre est un concept qui fait l’objet de théorisations variées dans un champ de recherches pluriel, qu’on désigne le plus souvent comme les « études de genre » (traduction de l’anglais gender studies). On peut définir les études de genre, de façon très large, comme « l’ensemble des recherches qui prennent pour objet les femmes et les hommes, le féminin et le masculin ». Les auteur·e·s de l’Introduction aux études de genre (de Boeck) mettent en évidence quatre dimensions fondamentales du concept, que l’on peut reprendre ici pour clarifier le propos. On trouvera ensuite d’autres définitions du concept. Dimensions fondamentales du concept 1: Le genre est une construction sociale. 2: Le genre est un processus relationnel.Les caractéristiques évoquées ci-dessus ne sont pas construites ni apprises de manière indépendante mais dans une relation d’opposition entre masculin et féminin. 3: Le genre est un rapport de pouvoir. 4: Le genre est imbriqué dans d’autres rapports de pouvoir.

Cahiers de doléances : Touche pas à mon genre ? D’une « théorie du genre » qu’ils font semblant de mal comprendre… Le Figaro s'en frotte les mains, que dis-je, s'en lèche les babines, ce matin : les agité-es de la Manif Pour Tous reviennent en "saison 2" avec un "nouveau cheval de bataille" et ça promet : à la rentrée, ils entreront officiellement en guerre, milices de parents outrés et "comités de vigilance" en ordre de marche contre ce qu'ils appellent la "diffusion subreptice" de la "théorie du genre" dans les crèches et les écoles.

Non, non, ce n'est pas une "diffusion subreptice", c'est un projet assumé de société Pourquoi "subreptice", d'abord? La volonté politique est claire, et on ne va pas s'en plaindre. "Tu sais ce que ce sera? " "Un enfant, j'espère! " Homme ou femme? "Et tu sais ce que c'est? " Distinguer le sexe du genre, pour distinguer le prétendu "naturel" des constructions socio-culturelles Voilà, c'est juste ça, mesdames et messieurs les hérissé-es d'une "théorie du genre" que vous faites semblant de mal comprendre!

Le sexisme, une perte de chance Le sexisme ne fait de bien à personne. J’en ai ras le bol qu’on doive s’excuser à cause de la «théorie du genre» D’habitude, je suis partisane de l’idée selon laquelle pour se faire comprendre, il faut expliquer calmement et ne pas monter les gens les uns contre les autres. Mais là, basta. Aujourd’hui, ça me saoûle. Ça me saoûle de devoir prendre des gants avec des abrutis pour ne pas les choquer dès qu’on émet une idée sortie d’ailleurs que du Moyen-Age. (Je m’excuse auprès du Moyen-Age, je sais que tu ne mérites pas l’image qu’on a de toi.) Là, j’en ai ras le bol. Je n’ai pas envie de prétendre que la notion de genre n’a pas été une révolution intellectuelle et qu’il ne faut surtout pas en tenir compte dans l’éducation de nos enfants sous prétexte qu’on doit rassurer les gens qui ont peur.

Oui, les présentations dans les manuels scolaires qui disent que l’identité sexuelle ne se construit pas seulement sur le sexe biologique mais aussi selon un contexte socio-culturel, ce sont bien un apport intellectuel des gender studies. Ces gens ont peur et ils ont raison. C’est quoi le problème dans le fond? La théorie du genre (djendeure). | IV. Mais pour avoir la réponse à cette question, il faudrait pouvoir disséquer un militant de La Manif Pour Tous, et vous savez que je suis résolument opposée à la vivisection. D’ailleurs il manque encore quelques signatures pour l’Initiative Citoyenne Européenne contre la vivisection, dépêchez-vous d’aller la signer avant le 1er novembre, ou vous aurez la mort de millions de chiots et chatons sur la conscience: Articles à lire sur la théorie du genre, le sexisme… Ca fait genre Petits rappels sur le genre D’une théorie du genre qu’ils font semblant de mal comprendre… Le sexisme, ça se soigne Sexismes Avant de commenter veuillez vérifier que vous n’entrez pas dans une case du bingo féministe.

Mais pour avoir la réponse à cette question, il faudrait pouvoir disséquer un militant de La Manif Pour Tous, et vous savez que je suis résolument opposée à la vivisection. Articles à lire sur la théorie du genre, le sexisme… Ca fait genre Petits rappels sur le genre Le sexisme, ça se soigne Sexismes.