
Ces scénarios que les voitures autonomes ont encore du mal à gérer, Automobile Tandis que les premiers taxis sans chauffeur commencent à circuler dans les rues de Singapour, constructeurs automobiles premium, marques généralistes et géants du numériques partagent le même objectif : être les premiers à commercialiser massivement les voitures autonomes. S'ils n'ont pas les mêmes stratégies pour y arriver, ils misent tous beaucoup sur cette nouvelle technologie. Mais peut-on vraiment se fier aux voitures autonomes ? Ces véhicules sont-ils pour l'heure réellement capables d'affronter tous les dangers de la route ? La semaine dernière, Ronan Carrolaggi, chef d'entreprise, expliquait dans Le Cercle des Echos pourquoi " la voiture autonome [resterait] encore longtemps un mythe". Aucun système de navigation n'est capable de fonctionner en situation dégradée, selon lui. Un constat que partage Business Insider qui, dans un article publié ce jeudi 25 août, met en avant six scénarios que les voitures autonomes ont encore beaucoup de mal à appréhender.
Intelligence artificielle : Ford privilégie les voitures semi-autonomes Le véhicule autonome promet de révolutionner le secteur automobile, mais quand ? Au Mobile World Congress 2016, Ford s'est montré candide quant aux perspectives à court terme de la technologie. "Pour le moment nous avons des technologies de freinage automatisé, d'aide au stationnement et de maintien de voie sur l'autoroute, explique Don Butler, directeur exécutif des services et véhicules connectés chez Ford. Notre approche dans un premier temps est de décliner ces technologies dans un maximum de nos modèles pour le moment, afin qu'elles soient accessibles au plus grand nombre." "L'autre chantier passe par une accélération de la R&D. Nous développons des technologies d'autonomie de niveau 4." Pas de véhicule complètement autonome avant encore 10 ans "Nous y travaillons dans notre centre de recherche au Michigan, et nous avons également une licence pour faire de la conduite autonome en Californie. Quant au niveau 5, c'est une autre paire de manche.
Percée juridique importante pour la voiture autonome de Google La voiture autonome pourrait bientôt avoir la même définition légale qu’un conducteur humain aux États-Unis, ce qui représenterait une importante victoire notamment pour Google. La National Highway Traffic Safety Administration, soit l’agence fédérale américaine responsable de la sécurité routière, a partagé ses réflexions au sujet de la voiture autonome en publiant cette semaine une lettre à l’attention de Google. «Si aucun être humain à bord du véhicule ne peut conduire le véhicule, il serait plutôt raisonnable d’identifier le conducteur comme étant quoi que ce soit (par opposition à qui que ce soit) effectuant la conduite du véhicule.» Soulignons que pour le moment aux États-Unis, seuls quatre états (en plus de Washington DC) autorisent la circulation de voiture autonome sur leurs routes – la Californie, la Floride, le Nevada et le Michigan – à condition qu’un être humain à bord puisse reprendre le contrôle du véhicule en tout temps. Mais cette exigence pourrait bientôt être levée.
Des voitures autonomes sans frontières Les voitures autonomes deviennent peu à peu une réalité, mais au-delà du Code de la route, ces véhicules devront réagir différemment en fonction du pays où ils évoluent et des habitudes de circulation associées. Dans le domaine du véhicule autonome, il y a un monde entre le circuit et la circulation urbaine. Il ne suffit pas de respecter le Code de la route, encore faut-il composer avec les usagers et leurs habitudes. Google en sait quelque chose : le 14 février, en Californie, l’une de ses voitures s’est heurtée à la règle implicite qu’un bus ne s’arrête pas forcément pour laisser passer un véhicule de particulier. Comprendre son environnement et réagir de manière adéquate, c’est tout l’enjeu du projet Pretiv (Perception multimodale et compréhension de scène pour des véhicules intelligents et transnationaux) soutenu par l’Agence nationale de la recherche. Comprendre son environnement Détection de piétons vus de loin par apprentissage profond. Mais les difficultés ne s’arrêtent pas là.
CES 2017 : Nvidia et Audi préparent la voiture autonome la plus avancée du monde ! - Automoto - TF1 Par Tran HA|Ecrit pour TF1|le 05/01/2017 à 11:43, mis à jour le 05/01/2017 à 14:35 A l'occasion du CES 2017, Audi annonce l'arrivée de la voiture autonome la plus avancée du monde. Elle est préfigurée par un concept Audi Q7 piloted driving, doté des technologies d'intelligence artificielle de Nvidia. Audi et Nvidia prévoient son arrivée en 2020... Une étape supplémentaire vers la voiture autonome et intelligente Audi est également au rendez-vous pour cette édition 2017 du CES (Consumer Electronics Show), le plus grand salon international dédié aux technologies dernier-cri. Les deux entreprises ont l'ambition de commercialiser d'ici 2020 le véhicule autonome le plus avancé du monde, grâce à la plateforme Nvidia Drive PX, qui utilise l'intelligence artificielle pour comprendre l'environnement de la voiture et déterminer le chemin le plus sûr à emprunter. Un concept Audi Q7 piloted driving en démonstration au CES
IBM relève le défi de la voiture électrique abordable à forte autonomie [Tribune] Lou Grinzo IBM a frappé très fort en lançant le projet « Battery 500 » (pour 500 miles ou 800 km) qui pourrait accélérer la transition des carburants fossiles aux électrons en matière de transports. Dirigé par le Almaden Lab, celui-ci vise à créer une voiture électrique à batterie lithium-air abordable avec une autonomie supérieure à 800 km. IBM a frappé très fort en lançant le projet « Battery 500 » (pour 500 miles ou 800 km) qui pourrait accélérer la transition des carburants fossiles aux électrons en matière de transports. Pour Spike Narayan, chercheur chez IBM, « même si la technologie des batteries s’est améliorée, elle reste largement inférieure à l’essence en termes d’autonomie. La solution, pour IBM, consiste à tirer profit des techniques de fabrication des semi-conducteurs à l’échelle nanométrique pour stimuler la capacité des batteries en multipliant leur densité de stockage par 10 par rapport aux batteries Lithium-ion.
Why cities aren’t ready for the driverless car When it comes to adopting self-driving cars and trucks, the easiest part may well be building them. The far more difficult task will be maintaining our urban transportation infrastructures for autonomous vehicles to be functional, safe and practical. Consider that last year, a modified Audi completed a 3,400-mile cross-country trip, driving itself 99% of the time. What will cities have to do to get ready for the transition to the autonomous car? Local practices Traffic rules may be writ in stone, but the autonomous car or truck should also understand local practice. Driverless cars can be programmed to be aggressive or patient. The duration of a yellow light will be programmed, as it is now, down to a fraction of a second. New responsibilities Many potential problems can already be handled by vehicles equipped with sensors, controls and warning devices to assist in changing lanes, slowing down or stopping, if vehicles get too close to one another. Segway to nowhere
Le dilemme macabre des voitures autonomes Tuer un piéton ou sacrifier les passagers ? Des psychologues ont testé les choix moraux des futurs utilisateurs des automobiles sans pilote. LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | • Mis à jour le | Par David Larousserie Au volant d’une voiture, devant vous, dix piétons traversent soudainement. Donnez-vous un coup de volant pour les éviter, quitte à vous fracasser contre un mur et à mourir, ou les percutez-vous pour épargner votre vie ? Ce dilemme cruel n’est pas simple à régler, même si de nombreuses études en psychologie ont montré depuis longtemps que les répondants privilégient l’hypothèse de leur sacrifice pour sauver plus de vies. Depuis 2012 et les premiers tours de roue de la voiture autonome de Google, tous les constructeurs automobiles s’y sont mis. Lire aussi : L’accident de Google Car interpelle les assureurs Classique des dilemmes sociaux Elle chute encore à près de 40 dès lors qu’il s’agit d’indiquer sa propension à acheter une telle voiture. Régulation nécessaire mais contre-productive