La génération X friande d'outils virtuels pour communiquer
Naviguer d'un média à un autre pour communiquer est loin d'être le privilège de la génération Y : leurs aînés ont aussi complètement assimilé le fait de passer de l'un à l'autre en permanence pour dialoguer. Les jeunes générations sont loin d'être les seules à avoir complètement assimilé les modes de communication virtuelle à leur quotidien. D'après une étude menée chaque année par l'université du Michigan, les adultes de la génération X, tout du moins ceux en fin de trentaine, entrent autant en contact avec leurs proches, leur famille ou leurs collègues et contacts professionnels via des modes de communication électroniques, comme le mail, les médias sociaux, les messageries instantanées, les webcam...
La génération Y sait manifestement délimiter vie privée et vie professionnelle
Si les membres de la génération Y ne peuvent pas se passer de se connecter aux réseaux sociaux, ils sont pour autant conscients de la limite que ceux-ci entrainent quant à leur notion de vie privée dans l'entreprise. Bien que l'usage des technologies lui semble presque innée, la génération Y serait plus à même qu'on ne le pense à savoir différencier sa vie professionnelle de sa vie privée. André Perret, auteur de Travailler avec les générations Y et Z,a expliqué à L'Atelier qu'à la différence de ce que l'on peut penser " il n'existe pas une seule génération Y mais plusieurs générations Y.
Les jeunes de la "génération Y", un défi pour les entreprises
Il peut paraître artificiel de plaquer le terme de "génération Y" sur l'ensemble des 15-30 ans, comme si le critère de l'âge suffisait à en faire un groupe homogène. Mais derrière le cliché vendeur, ces jeunes nés entre 1978 et 1994, férus de technologies, constituent bien "un vrai challenge pour les entreprises", estime Julien Pouget, consultant et auteur du blog lagenerationY.com. Les jeunes de la génération Y "ont grandi à l'ère de la mondialisation", ils ont "une culture de l'instantané" et "veulent tout tout de suite", explique-t-il. Surtout, ils "demandent tout le temps pourquoi", d'où le Y qui se prononce "why" en anglais. Or pour Julien Pouget, c'est là un vrai défi: les managers sont habitués à donner des ordres, ce qui "ne marche pas du tout" avec les Y. François de Wazières, directeur international du recrutement chez L'Oréal, reconnaît qu'avec eux, "la pression du management n'est pas suffisante".
Les Z, ces esthètes décomplexés
Comment évolue la génération Z au quotidien et quelles sont ses grandes aspirations ? Radioscopie du phénomène avec une série d’articles sur la mode, le numérique et les relations au travail. Avec les Z, c’est tout ou rien. D’un côté, ils rejettent les codes prédéfinis pour sortir des cases en affirmant un style basique, neutre et discret.
Génération Y en entreprise ? De nombreux préjugés plus qu'une réalité
La preuve d’un véritable effet « générationnel » n’est pas rigoureusement apportée. Il convient de prendre de la distance avec les « représentations spontanées » sur la génération Y et de proposer aux managers une analyse rigoureuse. Crédits photo : shutterstock.com
Emploi : Les jeunes de la génération Y, «un atout» pour l'employeur
L'Observatoire social réalisé par Ipsos-Logica Business Consulting pour le Cesi, en partenariat avec Le Figaro et BFM, bat en brèche les idées reçues. La génération Y (les jeunes actifs de 18 à 30 ans) est-elle un atout ou un risque pour les entreprises? Existe-t-il pour les dirigeants, managers et DRH, comme une littérature abondante pourrait le laisser penser, un véritable «péril jeune» dans le monde du travail?
Les millennials, des salariés pas si compliqués à appréhender
Le bien être au travail. Tout le monde a sa petite idée. Qu'en pensent les millennials ? Sont-ils à part encore une fois ? Pas vraiment selon la 11ème édition du Baromètre Endered-Ipsos qui montre que cette génération n'aspire pas à un traitement différencié.
Faut-il être plus directif avec la génération Y ?
Les clichés foisonnent autour du management des moins de 30 ans dans l'entreprise. Nés après 1978-80, on les appelle, de colloques en conférences, la génération "Y"...une génération dite "ingérable" et "qui n'en fait qu'à sa tête", à en croire bon nombre chefs d'entreprises et de DRH. Tout simplement parce qu'ils demandent beaucoup d'énergie et d'investissements. Certainement plus que la génération précédente, les X, nés entre 1960/65 et 1978-80, qui se débattent chaque jour pour rester adaptés aux changements de la société qui vieillit, créée par les baby boomers. Et si plutôt qu'un effet de génération "Y", il s'agissait d'un nouvel enjeu culturel et du symptôme de mutations de notre société ?
L'Atelier: Disruptive innovation - Aurora
Les nouveaux collaborateurs désirent désormais accéder à un panel de services dans lesquels piocher, et dont ils pourront adapter certaines fonctions afin de personnaliser leur environnement de travail. Autant de défis pour la DSI. Ces collaborateurs ? Ils sont ces jeunes dont on parle tant : la Génération Y.
Marketing : quelle stratégie digitale pour parler à la génération Z ?
Déjà entrée dans la consommation, la Gen Z a des besoins et des usages différents de ses aînés. À la fois discrète et militante, cette génération biberonnée au web est difficile à capter. Transparence et engagement sont ses maîtres-mots.
Le mythe de la génération Y
La génération Y existerait : Jean-François Fiorina l'a rencontrée. "Depuis cinq ans, je suis témoin d'un changement radical de comportement de mes étudiants, raconte le directeur de l'ESC Grenoble. La fracture numérique qui les sépare des plus anciens est réelle et en fait des futurs cadres d'un nouveau genre." Pour preuve : le comportement de Grégoire, qui, chaque semaine, s'attable devant son plateau de sushis, avale sa première bouchée et se met à papoter... avec son ordinateur. Le jeune homme n'est pas fou. Il entame en fait une banale pause-déjeuner avec trois amis.
Génération Y, génération spontanée ? par Xavier Tedeschi - Chronique Management - Aurora
Confronté à la génération Y, le manager de proximité fait parfois face à des difficultés et au malaise. Voici les cinq questions qu'il convient de se poser pour les comprendre et mieux les appréhender. 1. Qui constitue la génération Y ?
Génération Z : la définir et la manager
Nés à partir de 1995, les successeurs de la génération Y ne vont pas tarder à débouler dans les bureaux… et à chambouler pas mal d'habitudes. Rythmes plus souples, hiérarchie pyramidale dynamitée, dématérialisation des postes... Les premiers Z nés en 1995 arrivent en stage et changent déjà les règles du jeu dans l'entreprise. Comment se préparer à les accueillir pour réussir à les intégrer ? "Il vaut mieux leur donner des objectifs et les laisser travailler par eux-mêmes" Règle numéro un : ne cherchez pas à les canaliser.