
Métropolisation La métropolisation désigne le processus de concentration de populations, d'activités, de valeur dans des villes de grande taille. Il peut se faire au détriment de villes de niveau hiérarchique inférieur et on assiste bien souvent au renforcement des niveaux supérieurs de la hiérarchie urbaine. Les facteurs de la métropolisation sont divers : économies d'échelle et d'agglomération, avantages comparatifs, besoins d'accessibilité aux réseaux (aux échelles nationales et mondiales), etc. Le phénomène de métropolisation ne se réduit pas à sa dimension démographique. En l’inscrivant dans les réseaux de l’économie mondiale, la métropolisation modifie l’ancrage local, régional ou national d’une ville. La métropolisation amplifie un certain nombre de problèmes d'aménagement liés à l’étalement urbain, aux mobilités croissantes, à l’augmentation de nuisances (pollution, engorgement) et surtout à l'injustice sociale, notamment par la gentrification des quartiers populaires centraux et péricentraux.
sans titre Cette sélection de ressources est centrée sur le thème du dossier : 'La Chine, la modernisation encadrée d'un territoire global'. Elle ne vise pas à l'exhaustivité, elle sélectionne les ressources les plus récentes et les plus accessibles. Elle peut être complétée par les ressources bibliographiques et webographiques propres à chaque article. Elle met l'accent sur les outils de travail. 1. Ouvrages Balme, S., 2013, La tentation de la Chine, Paris, Le Cavalier bleu. Numéros spéciaux de revues La Documentation photographique Colin, S., 2015, « La Chine, puissance mondiale », Paris, La Documentation française, n° 8108. Perspectives chinoises, revue trimestrielle interdisciplinaire, publiée par le CEFC (Centre d'études français sur la Chine contemporaine), Hong Kong. L'essor des mouvements écologistes. Hérodote Regards géopolitiques sur la Chine, 2013/3, n° 150 Chine, nouveaux enjeux géopolitiques, 2007, n° 125 Problèmes économiques, "La Chine dans l'impasse ?" 2. 2.1. 2.2. 2.3. 2.4. 3. 3.1.
Le mégaprojet du Dubai Water Canal : fabrique d’une ville mondiale à travers la construction d’un réseau touristique Bibliographie | citer cet article Le regard des enseignants Cet article présente un projet structurant d’une métropole des Suds. En classe de Seconde, dans le cadre du thème « Aménager la ville » et de la préparation au Bac, l’étude critique de la carte 2 (Le canal et les aménagements riverains) et de la figure 6 (La mise en scène des projets urbains) met en lumière les aspects (économiques, touristiques, résidentiels) et les objectifs (« Fabrication de la ville mondiale », marketing territorial) d’un tel aménagement, tout en insistant sur les limites du projet (Gentrification, bétonisation, projet vitrine). J’ai particulièrement apprécié l’encadré 2 (« Le modèle singapourien ») qui permet de renouer avec le pilier environnemental du développement durable. T. Tous ces projets ont le même objectif : développer le tourisme à Doubaï. 1. 1.1. Les travaux du Dubai Water Canal ont débuté dès décembre 2013. 1.2. Étant donné l’ampleur des travaux, le projet a été divisé en 5 contrats distincts :
Shanghai et le dispositif du Lotus Bleu Le « Lotus Bleu » est composé entre 1934 et 1935 par Hergé et Tchang Tchong-jen. La Shanghai des années trente, des concessions et de l’occupation japonaise y est le théâtre principal des aventures de Tintin. Shanghai est encore à l’époque d’Hergé une ville cosmopolite, la perle de l’Orient, le Paris de l’Asie du sud-est. Mais Hergé ne retient rien du cosmopolitisme de Shanghai. Aucun bâtiment classique des rives du Huangpu — le fameux Bund, essentiellement construit par les britanniques —, aucun hôtel ou édifice caractéristique de la concession internationale n’est ici représenté. L’analyse qui suit en vidéo (15 minutes, 360 vignettes) peut être regardée en contrepoint de l’exposition Archi & BD, en cours à la Cité de l’architecture. Vous souhaitez disposer de l’intégralité du texte argumentaire? Shanghai et le dispositif du Lotus Bleu Lire l’article universitaire qui étaye davantage cette interprétation.
FICHE REVISION TL STG GEOGRAPHIE : La mondialisation FICHE REVISION TSTG GEOGRAPHIE : La mondialisation Mondialisation : processus croissant d’ouverture des économies, des cultures et des sociétés. Acteurs spatiaux : organisations politiques ou régionales, entreprises ou groupes sociaux dont l’action s’exprime sur un territoire. Flux : ensemble des hommes, des informations, de marchandises ou des capitaux en déplacement d’un point à un autre dans l’espace. Transnational : relatif à ce qui dépasse le cadre national. Réseau : ensemble de lignes et de liaisons par lesquelles passent des flux. Flux d’hommes : 200 millions de migrants internationaux et 800 millions de touristes. Valeur des échanges commerciaux : plus de 10 000 milliards de dollars (plus du quart du PIB mondial) Investissement dans le monde : en 2005, les stocks d’IDE s’élevaient à 10 000 milliards de dollars (= ¼ du PIB mondial), concentrés à plus de 50% dans l’Union européenne. Capitalisation boursière : la Triade représente 85% de cette capitalisation.
Ville La ville est un terme du langage courant désignant un espace à fort degré d'anthropisation, le lieu privilégié de la concentration des humains et de l'accumulation historique. La citadelle d’Erbil, peut-être la plus ancienne occupation humaine continue depuis 6 000 ans, illustre l’empilement historique qui définit une ville. C’est l’accumulation des vivres (ou des richesses) qui permet de dégager des surplus pour des classes sociales non productives, et donc de stimuler les échanges, l’accumulation des strates qui surélève progressivement le niveau des rues et du bâti, et l’accumulation humaine, qui contribuent à différencier la ville de la campagne, bien qu’aucune opposition nette entre les deux termes ne puisse être définitivement tranchée. La difficulté à définir la ville provient à la fois d’une question de seuil statistique et d’un problème de limites dans l’espace. Le problème du seuil et des limites peut être contourné. (JBB) mai 2019. Références
sans titre Bibliographie | citer cet article Le formidable développement qu’a connu la Chine depuis la mise en œuvre de la politique d’ouverture et des réformes économiques à la fin des années 1970, allié à une urbanisation massive, a eu pour conséquences de graves dommages environnementaux. Jusqu’alors, les autorités chinoises avaient fixé pour priorité la croissance économique aux dépens de la qualité environnementale. Aujourd’hui, face à la gravité de la situation, des voix s’élèvent parmi la population chinoise pour remettre en question ce modèle de développement. Devant ce début de contestation, Pékin tente de définir un nouvel équilibre entre croissance et préservation de l’environnement. 1. 1.1. Mais les pollutions en Chine sont multiples et ne se limitent pas à l’air : l’ensemble de l’environnement du pays se trouve dégradé. 1.2. Cette pollution provient en grande partie de la croissance rapide de la Chine depuis le début des années 1980. Sources : Réalisation : Marie-Christine Doceul 2. 3.
Naissance d’une skyline : la verticalisation du front de mer de Tokyo et ses implications sociodémographiques Bibliographie | citer cet article Le regard des enseignants Étudier les villes-monde passe souvent par l’étude des CBD et de leur verticalité. Cet article remet en question ce présupposé pour le Japon, en étudiant la verticalité du front de mer de Tokyo. A. Historiquement plus basses que leurs homologues nord-américaines ou européennes, les villes japonaises ont connu une accélération rapide de leur verticalisation depuis la fin des années 1990 (Perez, 2014). Cette nouvelle verticalité ne s’est cependant pas limitée aux seuls immeubles de bureaux mais s’est étendue aux immeubles résidentiels, jusque-là rarement supérieurs à une dizaine d’étages pour les plus hauts. En effet alors que la maison individuelle était le modèle dominant, avec une nappe urbaine dense, marquée par la dichotomie pavillonnaire-résidentiel/immeuble-tertiaire, la part de l’habitat collectif devient majoritaire dans les constructions de nouveaux logements. 1. 1.1. 1.2. 1.3. 2. 2.1. 2.2. 3. 3.1. 3.2. Conclusion
Histoire-Géographie au collège et au lycée - Shanghai Compte-rendu : Sanjuan Th., Shanghai, Collection Atlas/Mégapoles, Autrement, 2009, 88 pages Professeur à l’université de Paris I, Thierry Sanjuan est spécialiste de la Chine. Il a récemment rédigé un Atlas de la Chine (Autrement, 2007) et dirigé la publication de Le Dictionnaire de la Chine contemporaine (Armand Colin, 2006). Il est responsable aux éditions Autrement de la nouvelle collection Atlas/Mégapole consacrée aux grandes villes du monde. Ville secondaire de l’empire, Shanghai n’en est est pas moins un des pôles du commerce maritime de l’empire à la conclusion du traité de Nankin en 1842. Après 1949, la ville pâtit de son image de ville occidentale et capitaliste. En raison de son héritage capitaliste et étranger, Shanghai est, au début des années 90, considérée comme particulièrement apte à entrer en concurrence avec les grandes métropoles mondiales. L’abandon de la collectivisation urbaine liée au travail a permis à des promoteurs d’entreprendre de vastes opérations. Notes :
Terminale ECJS: Thème 1, Question 1: Le début de vie et l'assistance médicale à la procréation Thème 1 : La bioéthique Question 1 : Le début de vie et l'assistance médicale à la procréation Si vous souhaitez avoir les cours en version TBI Cliquez sur le lien ci-dessous pour télécharger le Logiciel Smart Notebook pour tableau blanc interactif (TBI) , clé d'activation Pour ouvrir les fichiers sans télécharger le programme utilisez: Smart express Pour télécharger le cours en version TBI : BIBLIOGRAPHIE- Agasinski Sylviane,Corps en miettes, Flammarion, 2009- Badinter Elisabeth, interview parue dans Le Figaro - Madame du 13/07/2009- Brugues Jean-Louis,La fécondation artificielle au crible de l’éthique chrétienne, Fayard- Canto-Sperber Monique, Frydman René,Naissance et liberté. Lien - Programme - Cours d'un collègue sur la bioéthique
sans titre En géographie, centre et périphérie ne correspondent pas forcément à la localisation d'un espace, mais le plus souvent au rapport d'inégalité et de domination entre deux espaces, à n'importe quelle échelle. Un centre est un lieu de concentration dont le poids, la taille dépend d'un certain nombre de critères de nature socio-économiques, socioculturels. Le centre a une capacité d'impulsion, de commandement qui dépend de : – sa population (densité, part de la population totale...), de son niveau de vie, de l'ancienneté de son développement, – ses capacités de production (capitaux, qualifications, etc.), – ses capacités d'autodéveloppement sur ses propres ressources humaines et financières, – ses capacités de recherche et d'innovation : investissements en recherche et développement, lieux de recherche. Le poids d'un centre comporte aussi des éléments qualitatifs, subjectifs (« l'atmosphère de place » selon J. La périphérie correspond aux espaces dépendant d'un centre. Origine de la notion
sans titre Les APIs permettent de charger des scripts : géolocalisation, moteurs de recherche, traductions, ... Les APIs permettent de charger des scripts : géolocalisation, moteurs de recherche, traductions, ... Services visant à afficher du contenu web. Services visant à afficher du contenu web. Les services de mesure d'audience permettent de générer des statistiques de fréquentation utiles à l'amélioration du site. Les services de mesure d'audience permettent de générer des statistiques de fréquentation utiles à l'amélioration du site. Carte à la une : Miami ville sonore Bibliographie | citer cet article Le regard des enseignants J'ai utilisé ce document, très original, pour étudier les métropoles et les flux de la mondialisation en classe de terminale S et ES. S.D.C. / Atelier pédagogique de l’APHG de Lyon Miami ville sonore Sources et conception : V. Pour accéder à la carte sonore, cliquez sur la carte ci-dessus. La carte présente la localisation de 31 échantillons sonores recueillis par l'auteure entre 2010 et 2012 dans la ville de Miami à l’aide d’un enregistreur à 360°. Les échantillons sonores récoltés sont le fruit d’une étape d’un travail de doctorat [3] où les sonorités ont été utilisées comme des géo-indicateurs d’une géographie sensible et sociale de la ville. Parcours n°1 : Miami la cubaine Le parcours débute (1) à l’aéroport international de Miami, plaque tournante des échanges inter-américains (Girault, 2003) avec plus de 15.3 millions de passagers vers ou en provenance de l’Amérique latine en 2013. Notes [3] Jolivet V., 2010, Miami la cubaine.
Cours géographie Tle STMG : Mondialisation et firmes transnationales 1/3 Manuel Hachette 2013 4 heures Textes de référence : Programme : Introduction : La mondialisation se manifeste par de nombreux flux à travers le monde. Les grandes entreprises nommées FTN sont à l’origine de nombreux flux commerciaux et financiers. Les flux sont désormais organisés en réseaux et en nœuds à travers le monde. Problématique : 1) De quelle manière la circulation des flux sur les réseaux internationaux organise-t-elle le monde ? OU 2) Quelles sont les relations tissées par les FTN dans la mondialisation ? I. A. 1. Repères page 184 En quoi les FTN sont-elles des entreprises internationales ? Les FTN sont des grandes entreprises produisant et vendant leurs produits dans de nombreux pays. _ Les 85 000 FTN sont des entreprises dont les activités se déroulent dans au moins cinq pays différents. Quels sont les secteurs d’activités des FTN ? 2. Carte 1 page 180 : La répartition des FTN dans le monde B.