SURVIVRE (+ voir les collections "Livres" et "Films") TEMOIGNER (+ voir les collections "Livres" et "Films") JUGER (+ voir les collections "Livres" et "Films") Lumni. CNRD 2026. Corpus "La fin de la Shoah et de l’univers concentrationnaire nazi. Survivre, témoigner, juger (1944-1948)" Musée de Châteaubriant. Catalogue de l'exposition CNRD 2026. Chronologies. Cercle d'étude de la Déportation et de la Shoah. La fin de la Shoah et de l’univers concentrationnaire nazi : 1944-1948. Concours national de la résistance et de la déportation 2026 « La fin de la Shoah et de l’univers concentrationnaire nazi – survivre, témoigner, juger – 1944-1948 » Les mots du sujet Une fois de plus, le thème proposé est très vaste et ambigu : les élèves et les enseignants devront choisir un angle de recherche plus restreint et de préférence local.
Le sujet ne donne pas de bornes géographiques : doit-on tenter de balayer toute l’Europe ? Ou se concentrer sur l’Allemagne nazie ? Les dates proposées sont étonnantes : en 1944 [1] Chronologie du nazisme à la Shoah ; les procès il y a encore des déportations, des morts par milliers dans les camps nazis et durant les marches de la mort. Le mot Shoah a été étudié de façon approfondie dans les divers articles de notre site : définitions : définitions : Génocide, Holocauste, Shoah. Martine Giboureau. Fondation Charles de Gaulle. Le Concours national de la Résistance et de la Déportation (CNRD) est ouvert aux collégiens de troisième et aux lycéens en France et dans les établissements scolaires français à l’étranger, comme à l’accoutumée.
Il perpétue, chez les élèves, la mémoire de la Résistance et de la Déportation pour leur permettre de s’en inspirer et d’en tirer des leçons civiques dans leur vie d’aujourd’hui. Chaque année, un thème est défini, pouvant faire l’objet d’un véritable travail interdisciplinaire. Pour l’année 2025-2026, le thème porte sur « La fin de la Shoah et de l’univers concentrationnaire nazi. Survivre, témoigner, juger. (1944-1948) ». Sur le portail de ressources du CNRD se trouvent une présentation du thème, une sitographie, des documents et des ressources complémentaires. The Conversation. "Après les camps : les trajectoires de vie des rescapés revenus en France" Dimanche 27 avril, hommage sera rendu à la mémoire des victimes de la déportation de la Seconde Guerre mondiale. Seules 56 000 personnes sont revenues en France des camps de concentration ou d’extermination nazis. Leurs destinées ultérieures, hormis celles d’une poignée de personnalités, demeurent largement méconnues.
Une étude récente vient combler, au moins en partie, ce manque. Ce 27 avril, Journée nationale du souvenir des victimes et des héros de la déportation, est l’occasion de commémorer le 80e anniversaire de la libération des camps de concentration. Certains survivants rentrés en France en 1945 sont connus : Robert Antelme, Stéphane Hessel, Jorge Semprun, Germaine Tillion, Simone Veil, Elie Wiesel… Mais que sont devenus les 56 000 autres rescapés qui, eux, sont restés anonymes ? Parmi eux, 3 800 avaient été déportés parce qu’ils étaient juifs ; la plupart des autres l’avaient été en tant que résistants. Une sociologie qui reste à écrire Une mobilité sociale ascendante. France Inter. Jean Lebrun. "Mémoires de la Shoah" Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux.
Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois. Mémorial de la Shoah. Recherche avancée par type de documents. Archives de l'ECPAD (images). Découverte des camps de concentration. Les commémorations offrent souvent l’occasion d’approfondir notre compréhension historique des faits. L’ECPAD a ainsi entrepris la rédaction d’un état thématique des fonds relatifs aux camps de concentration de la Seconde Guerre mondiale. En explorant et en recontextualisant les archives, le rôle déterminant du Service cinématographique de l’armée (SCA) a été mis en lumière. En 1945, les soldats de l’image français documentèrent avec précision les atrocités nazies. Leurs images et leurs films, conservés par l’ECPAD, constituent un témoignage incontournable.
Dans les derniers mois de la Seconde Guerre mondiale, le Service cinématographique de l’armée (SCA) est constitué d’opérateurs ayant rallié les Forces françaises libres à la suite du débarquement allié en Afrique du Nord et de soldats provenant du SCA de l’armée d’armistice, dont la production s’arrête à partir de mars 1944. Le SCA diffuse des images des mauvais traitements infligés aux déportés dès mai 1945. Pierre Téqui. Musée national de la Marine de Port-Louis. Germaine Kanova. Regard d'une photographe sur la Libération. CHRD Lyon. Conférence : Comment aborder la fin de la Shoah ? Finistère. "La fin de la Shoah et de l'univers concentrationnaire nazi : survivre, témoigner, juger (1944-1948)" Votre navigateur Web (Firefox 47) n'est pas à jour. Si vous avez des difficultés à naviguer sur certaines pages, cliquez ici pour mettre à jour votre navigateur. Fermer Menu Close submenuInformations pratiques Close submenuRechercher Close submenuDécouvrir Close submenuVous êtes...
Aller au contenu principal La fin de la Shoah et de l'univers concentrationnaire nazi : survivre, témoigner, juger (1944-1948) View PDF "La fin de la Shoah et de l’univers concentrationnaire nazi. Dans le cadre du Concours National de la Résistance et de la Déportation (CNRD), les Archives départementales présentent en ligne quelques sources utiles pour réaliser un dossier. Les documents cités sont consultables en salle de lecture à Quimper, toutefois, pour faciliter les travaux des élèves et des enseignants, une sélection d'archives a été numérisée. Close menu Panneau de gestion des cookies Préférences pour tous les services Ce site utilise des cookies nécessaires à son bon fonctionnement.
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