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Oubliez les « 6 degrés de séparation », il y en a 4,74 ! Capture d’écran du compte Facebook de Barack Obama, 23 novembre 2011 (Facebook) Connaissez-vous la théorie des six degrés de séparation, celle qui veut que, de connaissance commune en connaissance commune, il n’y ait que cinq personnes entre vous et, au hasard, Barack Obama ?

Oubliez les « 6 degrés de séparation », il y en a 4,74 !

Cette théorie, d’abord évoquée dans un roman de l’écrivain hongrois Frigyes Karinthy, a été prouvée dans les années 60 par le psychologue Stanley Milgram. Il a demandé à 296 personnes de faire parvenir un pli à destination d’un habitant de la banlieue de Boston, sans le lui envoyer directement mais en choisissant des destinataires susceptibles de connaître le destinataire final. Le nombre d’individus nécessaires pour faire parvenir le pli avait été de 5,2 personnes (six degrés de séparation). Sur Facebook, 700 millions de cobayes Ce nombre passe à 3 si l’analyse est circonscrite à un seul pays. Le New York Times rappelle qu’une étude similaire avait été conduite par Microsoft sur 296 millions d’individus. Matthew O. Les 4,74 degrés de séparation de Facebook. Le développement du réseau social sur internet Facebook a conduit à réviser la théorie selon laquelle il existerait «six degrés de séparation» entre tous les individus, une étude de l'Université de Milan ayant déterminé que le site avait ramené ce chiffre à 4,74.

Les 4,74 degrés de séparation de Facebook

«Le monde est encore plus petit que nous le pensions» , écrivent cinq chercheurs (Lars Backstrom, Paolo Bodli, Marco Rosa, Johan Ugander, Sebastiano Vigna) dans une étude référencée par Facebook, qui y a collaboré. Selon une hypothèse formulée pour la première fois dans les années 1920, n'importe quel individu peut être relié à n'importe quel autre par une chaîne de relations individuelles de six personnes. Cette théorie s'appuie sur les travaux de Stanley Milgram et Jeffrey Travers, qui avaient demandé dans les années 1960 à 300 personnes vivant dans le Nebraska (centre des Etats-Unis) de faire parvenir une lettre à quelqu'un à Boston (Massachusetts, nord-est) par l'intermédiaire de connaissances. La Palestine à l'ONU : Nicolas Sarkozy a manqué de courage. Nicolas Sarkozy lors de la 66e assemblée générale de l’ONU, à New York (Etats-Unis), le 21 septembre 2011 (Eric Thayer/Reuters).

La Palestine à l'ONU : Nicolas Sarkozy a manqué de courage

Nicolas Sarkozy a raté une occasion de montrer qu’il a réellement de l’audace en politique étrangère, et, disons-le, du courage. Il a cané sur la question de la reconnaissance de l’Etat palestinien aux Nations unies, de peur de rompre un consensus occidental une fois de plus favorable à Israël, même quand, sur le fond, il a eu une bonne intuition initiale. Rue89-Causeur, le battle (2e round) Chaque semaine pendant la campagne, Yahoo confronte les éditos de Rue89 et Causeur sur un même thème. Cette semaine, Luc Rosenzweig contre Pierre Haski sur l’adhésion d’un Etat palestinien à l’ONU. Facebook et Spotify, des amis un peu envahissants.

E-marketing

QR_codes. Métiers du web. Twitter. Déviances du web. Journalisme&web2.0. OTPOR&révolutions arabes. Actu_web2.0. Weibo, le Twitter chinois, une révolution en marche. WebTV Communication & Entreprise. Flattr - Social micropayments. Flattr. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Flattr

Flattr est un système de donation par micropaiements lancé en mars 2010 par Peter Sunde (un des fondateurs de The Pirate Bay) et Linus Olsson. Il est proposé sur certains sites comme Dailymotion[1], WikiLeaks, Soundcloud, Minecraft, Grooveshark ou les pages de validation du World Wide Web Consortium (W3C)[2],[3]. Histoire[modifier | modifier le code] Flattr a été lancé en mars 2010 sur invitation seulement[4] et a été ouvert au public le 12 août de la même année.[5],[6] C'est un projet lancé par Peter Sunde et Linus Olsson. Flattr ponctionne une commission de 10% sur chaque paiement [7]. En décembre 2010, Flattr a été le sujet de toutes les attentions sur le réseau Twitter. Le 28 avril 2011, Flattr a annoncé, par mail, qu'il n'est plus obligatoire d'avoir flattré quelqu'un pour l'être à son tour à partir du 1er mai 2011.

Principe[modifier | modifier le code] Boutons Flattr Voir aussi[modifier | modifier le code] Production communautaire. How to Build a Thriving LinkedIn Group. Have you considered starting your own LinkedIn Group?

How to Build a Thriving LinkedIn Group

These groups are excellent for networking, prospecting and establishing thought leadership. Choisir un outil de curation de contenus web. Très en vogue depuis quelques mois, les outils de curation de contenus web offrent une nouvelle façon d'organiser et de suivre les contenus les plus intéressants sur internet.

Choisir un outil de curation de contenus web

Ces réseaux éditoriaux participatifs s'appuient sur des utilisateurs « experts » d'un sujet, qui trient les informations les plus intéressantes avant de les diffuser à leurs communautés de lecteurs, et d'interagir avec elles. Au-delà de la veille d'informations, ces outils permettent aux professionnels d'occuper de nouveaux espaces d'expression, de gagner en visibilité, de soigner leur e-réputation, ou encore d'enrichir leur carnet d'adresses.

Présentation des fonctionnalités et particularités de Pearltrees, Parper.li et Scoop.it : trois outils de curation de contenus web qui répondent à des besoins très variés pour les adeptes des outils web 2.0. Pearltrees En un clin d'oeil Les particularités et fonctionnalités de Pearltrees. Cinq outils de « curation » à la loupe. La curation c'est de la merde. J’aurais pu écrire m€46€, j’aurais pu être subtil, j’aurais pu essayer d’être plus consensuel mais ce ne doit pas être dans mon “ADN” … Mais finalement en utilisant le mot de Cambronne je reste finalement très soft par rapport au fond de ma pensée.

La curation c'est de la merde

Curation par-ci, curation par-là. On se demande juste si c’est du nez dont on parle ou bien du fond d’un endroit où finit justement souvent la dite matière. Je ne reviendrai pas sur le terme. En français il est assez laid et en anglais je n’ai même pas envie de savoir d’où il a émergé…