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LEADERSHIP et notions associées

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Génération Z : saurez-vous l’encadrer. Dossier : Les questions à poser pour déjouer les pièges de la communication. Au sein d’un groupe ou de relations inter-personnelles, une communication floue peut générer des dysfonctionnements et des problèmes relationnels.

Dossier : Les questions à poser pour déjouer les pièges de la communication

Apprenez à maîtriser sur le bout des doigts les questions simples qui dissipent les malentendus, aidez vos interlocuteurs à préciser leur propos et remotivez toute la troupe ! Cliquez sur l'image pour l'agrandir Mémorisez ce schéma et découvrez en détail dans les pages suivantes les flous de communication les plus courants et quelles questions poser pour les dissiper. Le modèle de précision : les questions qui améliorent la communication. Vous échangez à plusieurs sur un projet commun et, c’est bien normal, tout le monde n’est pas du même avis. Découvrez les 5 types de questions du modèle de précision. Dossier : principes généraux de la communication interpersonnelle. Accueil » Ressources et Outils » infoRH » Un milieu de travail convivial » Communications interpersonnelles Communications interpersonnelles Quand vient le temps d'interagir avec un collègue de travail - que ce soit à une réunion du personnel, dans le cadre de directives pour l'accomplissement d'une tâche, à l'occasion d'une séance de remue-méninges ou lors d'une évaluation du rendement, etc. -, la communication joue un rôle crucial et peut faire en sorte que l'interaction soit utile ou au contraire source de frustration.

Dossier : principes généraux de la communication interpersonnelle

Une «piètre communication» est très souvent invoquée parmi les problèmes rencontrés au travail, mais qu'est-ce au juste qu'une «bonne communication»? Communiquer de manière efficace - en d'autres mots, être bien compris et bien comprendre les autres - est un ensemble d'habiletés que l'on peut apprendre et pratiquer. Conceptions erronées qu'on retrouve fréquemment au sujet de la communication.

Leadership serviteur. Le concept du leader serviteur fut popularisé, au début des années 1970, par Robert K.

Leadership serviteur

Greenleaf (1904-1990). Il s’agit d’un leadership éthique qui se veut une critique du leadership autoritaire, préconisé par Frederick W. Taylor et prévalant aux USA, au début de son industrialisation. Le leadership au service des autres Les définitions classiques du leadership ont principalement porté sur les processus d'influence des leaders. Le leader suiveur laisse de côté l’utilisation abusive du pouvoir et des relations strictement hiérarchiques tout en se focalisant sur l’atteinte d’objectifs profitables pour l’organisation. Les leaders favorisant le style de leadership serviteur reconnaissent et admettent que la force d'une organisation repose sur ses membres, ainsi, ils vont se consacrer à la satisfaction des besoins, dans la mesure du possible, de leurs employés. Les qualités du leader serviteur Les leaders serviteurs tentent de répondre à leurs organisations grâce à des caractéristiques (L.

Leadership d'intendance. Le stewardship ou le leadership d'intendance implique l'utilisation prudente des ressources.

Leadership d'intendance

Un bon intendant, à l'armée ou un bon économe dans un établissement scolaire est familier avec tous les actifs principaux qui sont sous sa garde. Et, la tâche du steward[1] est de tenter de maximiser l'efficacité de chacun et de couvrir de sûreté, tout le temps, les talents et les énergies des "clients". Historiquement, l'intendance ou la régence était un moyen de protéger un royaume, tandis que ceux qui étaient en charge de le faire étaient absents (en guerre), malades, incapables (folie) ou, le plus souvent, il s'agissait de gouverner pour le bien d'un roi mineur. Symboliquement, le roi mineur, représente dorénavant la génération future. Leadership situationnel.

La théorie situationnelle du leadership propose que les leaders choisissent le meilleur plan d'actions qui soit basé sur des variables contextuelles.

Leadership situationnel

Selon cette approche, le niveau de performance d’un collaborateur dépend en grande partie du style de management que le responsable adopte à son égard. De plus, il n’existe pas de style de management idéal mais des styles adaptés à chaque situation. Leadership transformationnel. La théorie du leadership transformationnel est une approche du leadership défendue entre autres, par Russell Ackoff, Bruce Avolio, Bernard Bass ou James Burns.

Leadership transformationnel

Cette théorie pose comme hypothèse que les gens suivent une personne qui les inspire et qui leur donne une vision claire et convaincante. En retour, les subordonnés agissent avec un dévouement et une loyauté incontestables. Le leadership transformationnel cherche à élever le niveau de motivation et de moralité dans les organisations en faisant plus appel à des besoins intrinsèques de long terme et moins à une demande extrinsèque de court terme.

Leadership transactionnel. Le leadership a souvent été considéré comme un processus d'échange dans lequel un leader offre des récompenses à ses subordonnés, sous la forme de rémunération ou de prestige en échange du travail effectué par ses subordonnés.

Leadership transactionnel

James Burns (1978) fut le premier a nommer ce type de comportement de leadership, le leadership transactionnel. Selon lui, les leaders transactionnels motivent les subordonnés en fournissant des récompenses, qui répondent directement à l'intérêt personnel des subordonnés. La théorie du leadership transactionnel suggère donc que quelque chose est toujours négocié contre autre chose. Leadership transformationnel. Charisme. Le kharisma, en théologie, est une faveur (une grâce, un don) accordée par l'Esprit-Saint à un individu ou à un groupe.

Charisme

Dans le langage courant, le charisme est devenu une qualité d'une personne qui séduit, influence, voire fascine les autres par ses discours, ses attitudes, son tempérament, son comportement et ses actions. Leadership rhétorique. Le leadership rhétorique du leader charismatique a été souligné par la théorie de l'entrepreneur institutionnel et de la théorie discursive de l'institutionnalisation.

Leadership rhétorique

Leadership éthique. Le leader éthique s'implique dans son comportement et ses attitudes afin de respecter les droits et la dignité de autres.

Leadership éthique

Il n'est pas nécessaire que le leader éthique soit vêtu du "manteau" de la sainteté morale pour le qualifier ainsi. Comme le signale Tom Sergiovanni, auteur d'un livre sur le leadership moral, en 1992, que le leadership éthique n'est pas étroitement associé à une autorité hiérarchique de haut en bas impliquant un engagement moral des individus. Mais, il concerne aussi des obligations et des devoirs des individus, dont l'influence émane des valeurs, des idées et des idéaux largement partagés par la communauté civile et professionnelle. La responsabilité sociale du leader éthique Le leader éthique n'est pas auto-proclamé mais il se juge par ses actions. Les leaders éthiques sont souvent analysés sous l'angle de leurs traits de personnalité comme mesurant leur niveau d'intégrité, de responsabilité, d'humilité et d'exemplarité.

Leadership appréciatif. Initialement introduit par Srivastva et Cooperrider (1987), le leadership appréciatif est basé sur les fondamentaux du constructivisme social. Le leadership appréciatif se concentre à comprendre, à apprendre et à s'appuyer sur ce qui fonctionne plutôt que ce qui ne va pas dans le milieu du travail. Il apprend à chaque individu dans la société à être des leaders, à s'apprécier comme leaders dirigeants, à explorer les conditions qui donnent cette idée et cette énergie pour imaginer son avenir en tant que leader. Selon la définition du mot apprécier, il existe 4 façons de définir ce mot. En premier, apprécier représente l'acte de reconnaître le meilleur chez les gens ou le monde autour de soi. Éthique. Définition L'éthique est classiquement considérée comme l'une des trois branches de la philosophie, à côté de la physique et de la logique (par exemple, chez les Stoïciens, chez Kant).

L'éthique est la connaissance normative du comportement humain, dont la fin est la connaissance et l'action droites : les Stoïciens grecs privilégient la connaissance, les Romains l'action. Pour ces philosophes, il s'agit de connaître les normes de la nature, c'est-à-dire de la raison (car le monde physique est informé selon ses lois qui sont l'expression du divin) ; cette connaissance est la sagesse, état de la psyché (âme) qui la rend en quelque sorte invincible.

En ce sens, l'éthique suppose une maîtrise surhumaine des passions ; au point de vue des Anciens, cette maîtrise rapproche du dieu du monde. Confiance.