background preloader

Zerlev

Facebook Twitter

Zerlev

«Confidentiel», «ne pas diffuser»: sur internet, l'administration française est une passoire. L'information tourne depuis longtemps sur les réseaux sociaux et quelques blogs, mais les choses ne semblent pas avoir changé pour autant.

«Confidentiel», «ne pas diffuser»: sur internet, l'administration française est une passoire

On pense souvent que mettre la main sur des documents confidentiels nécessite des semaines d'investigation, mais certains sont en réalité accessibles à tous: il suffit d'une requête sur un moteur de recherche. Supposons par exemple que vous recherchiez des documents PDF mis en ligne sur les sites du gouvernement. En faisant une simple recherche avancée dans la barre de recherche de Google, vous serez surpris·e de découvrir une multitude de résultats menant à des rapports divers et variés... et mentionnant qu'ils sont confidentiels, donc normalement seulement visibles par les personnes auxquelles ils étaient destinés. «C'est un phénomène très ancien en fait, que je vois depuis que Google existe», assure non sans malice Stéphane Bortzmeyer, informaticien spécialiste des réseaux informatiques.

Tout et n'importe quoi Simple négligence? Informatique. Développement. Sécurité Informatique. Sécurité Informatique. Sécurité Informatique. Les mots de passe les plus piratés révélés par une société de sécurité informatique. Sci-tech 08:47 23.09.2019(mis à jour 10:25 23.09.2019) URL courte La société allemande de sécurité informatique Avira a publié un communiqué de presse sur les mots de passe les moins sécurisés.

Les mots de passe les plus piratés révélés par une société de sécurité informatique

Selon elle, les problèmes de sécurité des mots de passe sont principalement liés aux fabricants des appareils et non aux utilisateurs qui habituellement ne pensent pas à la menace d'attaques de pirates informatiques. Les spécialistes de la société allemande de sécurité informatique Avira ont dévoilé les mots de passe les moins sécurisés pour les appareils intelligents et les périphériques réseau.

Le communiqué de presse a été publié sur le site Web de la société. Pour leur recherche, les experts ont créé pour les malfaiteurs un «appât», qui simule un signal de périphérique provenant du Web: routeurs, caméras ou autres appareils. Le rapport affirme que dans 25,6% des cas, les pirates informatiques ont laissé vides les champs de nom d’utilisateur et de mot de passe lors de la sélection. Sci-tech. Pourquoi les développeurs détestent-ils le low-code ?

Si les plateformes low-code disent faciliter la vie des développeurs, ces derniers n'en sont pas forcément convaincus.

Pourquoi les développeurs détestent-ils le low-code ?

Problèmes de maintenance, de visibilité des dysfonctionnements éventuels, standardisation des fonctionnalités, nos confrères d'IDG ont listé neuf frustrations des programmeurs qui doivent utiliser ce genre d'outils. Les cols blancs adorent l’idée d’outils « low-code ». Pour eux, moins de code c’est moins de travail, donc des projets plus rapides, une meilleure satisfaction, des budgets moindres, et finalement de plus gros bonus qui seront redistribués entre ces mêmes cols blancs. Mais de leur côté, les développeurs ne sont pas très friands de cette technologie. L’idée est alléchante, certes – qui ne voudrait pas moins travailler ? Rombertik, le malware qui veut tuer votre PC. Android 10 : quels smartphones recevront la mise jour ?

JavaScript #7 - fonctions. Gunpoder : le nouveau malware pour Android qui passe tous les systèmes de surveillance. 01net. le 08/07/15 à 12h04 Les malwares qui se « présentent » comme tels sont assez rapidement détectés et éradiqués sur nos plates-formes informatiques.

Gunpoder : le nouveau malware pour Android qui passe tous les systèmes de surveillance

En revanche, il suffit que les malwares se fassent passer pour quelqu’un d’autre et la tâche est tout de suite plus compliquée. L’adware qui cache la forêt C’est le cas de Gunpoder, nouveau malware, pour ne pas dire nouvelle famille de logiciels malveillants, qui se répand depuis quelque temps via les magasins applicatifs tiers sur Android. Le problème est que les développeurs mal intentionnés ont caché la partie malware dans la partie adware. . « Nous sommes persuadés que l’auteur du malware a intentionnellement ajouté la librairie Airpush comme un bouc émissaire, afin que tous les comportements malicieux soient attribués » à cette librairie, explique le rapport de la société de sécurité Palo Alto Networks qui a levé ce loup. Car, contrairement à un adware, Gunpoder a une vraie activité criminelle. . © Palo Alto Networks.

Infectées par un virus, ces 24 applications sont à supprimer d'urgence de votre smartphone.