background preloader

Le monde du libre

Facebook Twitter

Open Garden : Internet gratuit et partout dans le monde. On connaissait le partage de connexion des réseaux 3G, permettant de pouvoir connecter les dispositifs nomades à votre forfait mobile dans à peu près toute les situations.Mais le partage internet participatif et mondial, ce serait un peu la révolution au creux des poches. Et ce n'est peut être plus un rêve : une application le propose, Open Garden. En déplacement ou dans des zones peu "arrosées" d'ondes 3G ou wifi, il est souvent difficile de pouvoir utiliser internet ou, a fortiori, toutes les applications l'utilisant (messageries, réseaux sociaux).

Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Open Garden propose de briser cet état de fait en faisant une connexion web participative. Une fois installé, Open Garden "scanne" votre environnement pour que votre connexion soit partagée avec d'autres utilisateurs et ainsi de suite. OpenFrameworks. SheevaPlug. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. SheevaPlug sur un disque dur externe USB lui servant de stockage de masse et en comparaison avec une pièce d'1 € SheevaPlug en comparaison avec un iPhone Le SheevaPlug est un des premiers « Plug Computer » (littéralement ordinateur prise électrique) à être disponible sur le marché. Il possède un processeur Marvell Kirkwood 6281 ARM-compatible[1], consommerait moins de 5 watts. En ce début d'année 2011, le SheevaPlug n'est pas encore commercialisé en France mais peut être commandé chez un web marchand britannique ou américain[2].

Une variante intégrant un port eSATA est également disponible. Cet appareil a déjà été surnommé comme le « NSLU2 Killer » (littéralement le tueur de NSLU2) à cause de son bas prix[3]. Le SheevaPlug tourne sous Ubuntu 9.04 ARM build, disponible sur le site de téléchargement d'Ubuntu[4]. Caractéristiques techniques[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Asterisk (logiciel) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Asterisk. Asterisk est un autocommutateur téléphonique privé (PABX) open source et propriétaire (publié sous licence GPL et licence propriétaire[1]) pour systèmes GNU/Linux. Il permet, entre autres, la messagerie vocale, les files d'attente, les agents d'appels, les musiques d'attente et les mises en garde d'appels, la distribution des appels. Il est possible également d'ajouter l'utilisation des conférences par le biais de l'installation de modules supplémentaires et la recompilation des binaires.

Asterisk est né en 1999, créé par Mark Spencer, alors étudiant de l'université d'Auburn (États-Unis - Alabama). À la recherche d'un commutateur téléphonique privé pour créer un centre de support technique sur Linux, il est dissuadé par les tarifs trop élevés des solutions existantes, et décide de se créer son propre routeur d'appels sous Linux, le PBX Asterisk. Autocommutateur téléphonique privé (PABX) OpenBTS: un réseau mobile open source qui pourrait changer le monde. Compact, open source et très peu coûteux, le réseau mobile OpenBTS a tout pour plaire. Testé au festival Burning Man, en plein désert du Nevada, il pourrait bien révolutionner le quotidien de pays déshérités et de zones isolées, comme il l'a fait en Haïti ou dans une base de chercheurs en Antarctique.

Voici une histoire qui a tout pour plaire : un réseau mobile open source et low-cost alimenté par énergie solaire qui révolutionne la couverture des zones défavorisées et hors de portée des antennes. Il utilise la VOIP et fonctionne avec des portables existants. Ses créateurs sont des pointures. Et le meilleur dans tout ça c’est qu’il participe de l’initiative mêlant sexe, drogue et art, connu sous le nom de Burning Man. Par où on commence ? « Nous donnons au réseau GSM l’apparence d’un point d’accès sans fil, c’est aussi simple que ça », résume Glenn Edens, un des trois fondateurs du projet. Le potentiel de OpenBTS est de toute évidence énorme. Crédit photo FlickR CC par TenSafeFrogs. La Freedom Box ou la petite boîte qui voulait que l'Internet restât libre. Paradoxes apparents. Peut-on simultanément souhaiter la fermeture des données et l’ouverture d’Internet ?

Peut-on se féliciter du rôle joué par Facebook et Twitter en Tunisie ou en Égypte tout en affirmant que ces sites sont à très court terme dangereux pour ceux qui les utilisent ? C’est cette double problématique qui est au cœur de la FreedomBox Foundation, le nouveau projet du brillant juriste de la FSF Eben Moglen qui fait régulièrement l’objet de billets sur ce blog. Et la solution qu’il nous propose est aussi simple que de brancher son chargeur de téléphone, à ceci près que c’est alors un mini serveur que nous mettons dans la prise (sous OS libre évidemment)[1] Il est ici question de nos données personnelles, de notre vie en ligne, de notre manière de communiquer et d’interagir avec les autres. Personne ne nous a obligés. Que se passe-t-il le jour où ces quelques sites sont rendus volontairement ou non inaccessibles ?

Ils nous auront prévenus en tout cas…