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Les cadavres de condamnés à mort chinois recyclés en produits de beauté. Courrier international 13 Septembre 2005 | Partager : "Une société cosmétique chinoise utilise la peau prélevée sur les corps des condamnés à mort exécutés pour fabriquer des produits de beauté vendus en Europe.

Les cadavres de condamnés à mort chinois recyclés en produits de beauté

" En 2005, The Guardian livrait une enquête stupéfiante en matière d'industrie cosmétique, qui lève le voile sur des pratiques qualifiées de "traditionnelles" par des employés de la compagnie chinoise qu'il a interrogés. Il s'agit de récupérer du collagène, une protéine fibreuse que l'on trouve en abondance dans la peau, les os et les tendons, couramment utilisée en chirurgie esthétique pour gonfler les lèvres et réduire les rides. Toujours de même source, le journal note qu'en Chine, il est d'usage de récolter "la peau des condamnés exécutés et les fœtus avortés, rachetés par des sociétés de 'biotechnologie' situées dans la province septentrionnale de Heilongjiang".

Les produits sont exportés vers l'Europe via Hong Kong. Les fondements de la théorie vaccinale s'effritent car la science révèle l'inutilité des anticorps pour combattre les virus. Traduction copyleft de Pétrus Lombard Tandis que les industries médicale, pharmaceutique, et vaccinale s'occupent à faire campagne pour de nouveaux vaccins contre pratiquement chaque affection sous le Soleil, une nouvelle étude publiée dans la revue Immunity déconstruit totalement toute la théorie vaccinale.

Les fondements de la théorie vaccinale s'effritent car la science révèle l'inutilité des anticorps pour combattre les virus

Il s'avère que, dans le système immunitaire naturel de l'organisme, des composants tant innés qu'adaptatifs travaillent ensemble pour conjurer la maladie, sans besoin de vaccins producteurs d'anticorps. Dans le cadre du système immunitaire adaptatif, la théorie derrière les vaccins dit qu'ils imitent l'infection en poussant les cellules B, l'un des deux principaux types de globules blancs du système immunitaire, à produire des anticorps.

Un anticancéreux à la portée de (presque) tous. New Delhi a autorisé un laboratoire indien à produire le générique d'un médicament utilisé dans le traitement du cancer, dont le brevet appartient aux laboratoires Bayer.

Un anticancéreux à la portée de (presque) tous

Après le Brésil et la Thaïlande, l'Inde est le 3e gouvernement au monde à prendre une telle initiative. La décision du gouvernement indien de recourir à la "licence obligatoire" pour produire une version générique d’un anticancéreux des laboratoires Bayer est une première dans le sous-continent indien. Elle permettra certainement de sauver des vies. La licence obligatoire est un dispositif de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) qui permet à un pays de contourner les droits de propriété pour fabriquer et distribuer à moindre coût des médicaments susceptibles de sauver des vies, trois ans après leur mise sur le marché [Bayer détient un brevet 2008-2020 sur le médicament en question].

L'OMC autorise chaque pays à définir ses règles en matière de licence obligatoire.