Co-Recyclage : Récupe et don d'objets gratuits. Donnez, Récupérez, Co-Recylez, ici tout est gratuit. La première hydrolienne de France a été mise à l’eau au large de Paimpol. Quatre hydroliennes devraient être installées entre Paimpol et l’île de Bréhat d’ici l’an prochain « Oh la la … Depuis deux jours, je suis comme une gamine qui attend Noël.
Le jouet est là devant nous ». Danièle Brézellec, maire de Ploubazlanec (Côtes-d’Armor), attendait ce moment depuis de longs mois et peut enfin jubiler : la première hydrolienne de France a été immergée hier à quelques encablures de sa commune. « J’avais manifesté contre la centrale nucléaire de Plogoff », se remémore l’édile. Et de vanter les mérites de ces turbines sous-marines qui, exploitant les courants marins, « produisent une énergie propre, gratuite au départ […], sans aucun rejet de gaz carbonique dans l’atmosphère ».
Construite par la société irlandaise OpenHydro et d’une puissance de 500 kilowatts (KW), cette hydrolienne de seize mètres de diamètre est une première en France. En attendant beaucoup mieux… Crédits photos : EMEC.
Transformer l’énergie cinétique des métros en électricité : c’est possible ! Pour redémarrer, une rame de métro a besoin de plusieurs mégawatts (MW) dont quelques-uns pourraient cependant être économisés Paris, New-York (Etats-Unis), Londres (Grande-Bretagne).
Qu’est-ce que ces villes ont notamment en commun ? Des lignes de métro bien sûr ! Et par la même occasion un joli potentiel énergétique encore inexploité. D’après les ingénieurs de l’entreprise californienne Vycon Energy, il serait en effet possible de récupérer l’énergie cinétique des rames de métro et des trains légers et de la transformer en électricité. . « Quand le train voudra partir, il suffira d’utiliser l’énergie créée précédemment », résume le vice-président de Vycon Energy Louis Romo, selon lequel un métro composé de dix voitures nécessiterait une décharge comprise entre trois et quatre mégawatts (MW) pendant trente secondes pour regagner sa vitesse de croisière.
Crédits photos : flickr - Justin N / Metro Library and Archive. Des déchets agricoles pour produire carburants et plastiques "verts" LE MONDE | • Mis à jour le | Par Pierre Le Hir - Pomacle et Bazancourt (Marne) Envoyé spécial Au coeur de la Champagne céréalière et viticole se dresse une usine chimique pas comme les autres : cuves, citernes, tubes et tuyaux font penser à une raffinerie.
Mais, ici, pas de pétrole. La matière première transformée est entièrement végétale, et les produits qui en sont issus relèvent de la "chimie verte". Depuis 2007, la Compagnie industrielle de la matière végétale (CIMV), PME française créée en 1998, teste, sur la zone d'activité des communes de Pomacle et Bazancourt (Marne), non loin de Reims, une bioraffinerie pilote.
Ce démonstrateur est associé au programme européen Biocore, qui, coordonné par l'Institut national de la recherche agronomique (INRA), fédère vingt-quatre universités, organismes de recherche (dont un institut indien) ou entreprises, avec un financement communautaire de 13,9 millions d'euros. Ressource renouvelable.