background preloader

Assurance vie

Facebook Twitter

Les dons "Sarkozy" échappent au rappel fiscal - Donations. Actualités. Calcul des droits de succession, La fiscalité de la famille. Principe Les droits de succession sont calculés sur la part nette (biens imposables - dettes déductibles) de chaque bénéficiaire après abattements et par application d'un tarif qui diffèrent selon le lien de parenté avec le défunt. Abattements Différents abattements s'appliquent donc selon le lien de parenté entre le défunt et les héritiers. L'actualisation annuelle sur le barème de l'IR de l'ensemble des abattements et limites applicables aux droits de mutation à titre gratuit a été supprimée. Les montants sont maintenus au niveau de l'année 2011.

Tarif (ou barème) Selon le lien de parenté existant entre le bénéficiaire et le défunt. Les tranches du barème, actualisées chaque année en fonction de l'inflation, sont depuis 2012, par mesure d'équilibre des finances publiques, maintenues au niveau de 2011. Ou les neveux et nièces venant en représentation de leurs parents. Exemple Une personne décède le 15.02.201, laissant pour seuls héritiers 2 fils sans enfant. Réduction pour enfants Remarque. Successions, libéralités : pacs, patrimoine. Loi du 23 juin 2006 portant réforme des successions et des libéralités - Panorama des lois - Actualités. Loi du 23/06/06 sur les successions et libéralités. La loi du 23 juin 2006, loi fondamentale en droit des successions. Marie-Hélène Poirier : 'Le régime fiscal de l'assurance-vie' Paradoxes du « modèle français », Favilla. Assurance vie : le rapport Gallois préconise un allongement de la durée des contrats.

Allonger la durée de détention de l'assurance vie : la fausse bonne idée. Assurance Vie Transmission - Assurance Vie. Le contrat d’assurance-vie, mode de transmission privilégié hors succession Le législateur n’a pas défini l’assurance vie. Le code civil en détermine uniquement la nature (A), nature qui conditionne le traitement hors succession et avec lui toutes les conséquences que cela peut entraîner (B). L’aléa, enjeu de la qualification du contrat d’assurance-vie Si le législateur s’est contenté de fixer la nature juridique de l’assurance vie, la jurisprudence s’est chargée de l’interpréter plus ou moins strictement. 1.

Les fondements de la qualification a_ Les fondements législatifs Sur le fondement de l’article 1121 du code civil, le contrat d’assurance vie s’analyse comme une stipulation pour autrui. Le bénéficiaire en cas de décès a vocation à percevoir le capital au décès du souscripteur-assuré. Les sanctions fiscales : la donation indirecte et l’abus de droit. Les contentieux liés au détournement du contrat d'assurance vie. Le contrat d’assurance vie est fréquemment utilisé par les français. La plupart du temps, il est conclu afin de protéger une ou plusieurs personnes en cas d’accidents, néanmoins, il peut également être utilisé afin de réaliser une donation indirecte, ce qui est totalement répréhensible. Avocats Picovschi, expert en droit des successions, pourra vous aider au mieux afin de requalifier le contrat d’assurance vie en opération de capitalisation dénuée d’aléa lorsque vos intérêts auront été bafoués par un tel montage.

Le principe de l’assurance vie Le but du contrat d’assurance vie est simple : il vise le versement par l’assureur à un tiers bénéficiaire ou au souscripteur lui-même d’un capital ou de primes périodiques dans deux cas. Le contrat d’assurance vie comme de toute autre assurance repose sur l’aléa. Pourquoi avoir alors recours à l’assurance vie plutôt que des opérations de placement ? Le détournement du principe La jurisprudence Le rôle de l’avocat.

07ef284587c50becd12ddd967c365b4589f39484.pdf. Que devient le contrat d'assurance-vie en cas de décès ? A qui revient le contrat d'assurance-vie? Aucun bénéficiaire n’a été désigné Dans ce cas, le capital fait partie de la succession : il revient aux héritiers et est soumis aux droits de succession. Un bénéficiaire a été désigné Lors du décès de l’assuré le contrat se dénoue et le capital ou la rente est versé au bénéficiaire désigné si celui-ci l’accepte. Si le bénéficiaire ne prend pas parti, les héritiers du souscripteur peuvent, par acte d’huissier, le mettre en demeure de déclarer s’il accepte le bénéfice du contrat. A défaut de réponse de sa part dans un délai de trois mois à compter de la délivrance de l’acte d’huissier, les héritiers peuvent révoquer la clause bénéficiaire et ainsi faire entrer le capital dans la succession. Particularité des régimes de communauté Si l’assuré était marié sous le régime de la communauté de biens, il convient de distinguer selon que le bénéficiaire est ou non le conjoint de l’assuré.

Quelles sont les conséquences de l’exagération manifeste ? 1. 2. 3. L'Etat doit réorienter l'épargne sur le long terme. Plusieurs rapports soulignent la nécessité que l'État dynamise l'épargne et la réoriente vers le long terme. Car 30 à 40 milliards d'euros manquent pour redynamiser l'appareil productif national. Selon un rapport émanant du Conseil d'analyse économique (CAE) (1), pointé le 8 juin par le site du journal LesEchos.fr, la France serait placée face à "la nécessité d'un retour de l'État au premier plan pour relancer les investissements de long terme".

Cette urgence a une raison financière, liée à la conjoncture : de 30 à 40 milliards d'euros de plus par an manqueraient en effet pour redynamiser l'appareil productif national. Le problème souligné, est en fait celui de la ventilation de l'épargne existante et de sa destination la plus adaptée à la situation économique nationale : en 2008, le patrimoine financier des Français était ainsi de l'ordre de 3.500 milliards d'euros. Une somme. Un partage des risques Autres pistes évoquées par le CAE : Retard français ? Orienter l’épargne « Economie, Europe et Leffe. Conseil d’Analyse Economique. Comment modérer les prix de l’immobilier ? Dans cette deuxième Note, le Conseil d’analyse économique s’intéresse à l’évolution des prix de l’immobilier entre 1998 et 2007, puis entre 2009 et 2012, en analyse les déterminants, évalue les perspectives, mais surtout ouvre des pistes pour permettre de mieux en contrôler les évolutions.

Cette étude a été présentée par le Conseil au Premier ministre jeudi 14 février. Alain Trannoy et Etienne Wasmer proposent de combiner des mesures destinées à stimuler l’offre, corriger des distorsions du côté de la demande et fluidifier le marché. Pour stimuler l’offre, ils font des propositions pour améliorer la gestion du foncier et de favoriser les gains de productivité et la concurrence dans le secteur de la construction. Pour fluidifier le marché et rendre la fiscalité foncière plus équitable, ils suggèrent de remplacer par étapes les droits de mutation à titre onéreux par une taxe foncière sur la valeur vénale nette de la propriété bâtie.

L'assurance-vie, dernier bouclier fiscal, Actualité. Les cahiers de l'assurance. Pierre PetautonMembre agrégé, Institut des actuaires En 2011, on assistait, pour l'assurance vie, simultanément à une diminution de 14 % du chiffre d'affaires et à une progression de 25 % des prestations. Le solde est resté négatif pour la plupart des mois de 2012. Ces mouvements sont clairement liés à la crise et, en particulier, à la défiance des ménages, qui, durant cette période, ont préféré garder des liquidités. Les retraits qu'ils ont effectués ont été surtout des rachats partiels et non pas des résiliations définitives. On peut d'ailleurs penser que ces mouvements pourraient se poursuivre pour les contrats les plus anciens. Alors que les épargnants sont inquiets et refusent majoritairement les placements risqués, le rapport Gallois propose à contre-courant l'encouragement fiscal des contrats en unités de compte et l'allongement de la durée des contrats.

La possibilité de rachat constitue en fait une assurance insolvabilité des épargnants. Une situation inédite et préoccupante. Les cahiers de l'assurance. Daniel Zajdenweber Depuis 2008, l'assurance vie, longtemps le placement préféré des Français après l'immobilier, subit un « désamour » inquiétant. Cela se manifeste par une décollecte au profit d'autres placements liquides jugés presque aussi rémunérateurs et aussi peu risqués : livrets bancaires, surtout les livrets défiscalisés, comptes à terme, etc. Certes, la crise économique et financière explique en partie cette décollecte. Avec des taux d'intérêt inférieurs à 3 %, les assureurs ne peuvent pas faire des miracles sauf à prendre des risques, comme ils l'ont fait par exemple en investissant dans des obligations souveraines grecques, espagnoles ou italiennes, qu'ils ont ensuite cédées à perte, ou en investissant dans des obligations d'entreprises, considérées avant la crise comme plus risquées que les obligations souveraines.

Patrice-Michel Langlumé détaille l'historique de l'assurance vie en France, dont le développement doit beaucoup aux associations d'épargnants. Note 1. Untitled. Calcul et paiement des droits de succession. A NOTER : sont exonérés de droits de succession : - le conjoint survivant ; - les partenaires liés par un Pacs ; - les frères et sœurs résidant sous le même toit et qui remplissent certaines conditions.

Les droits de succession sont calculés sur la part nette recueillie par chaque héritier. Un abattement est pratiqué sur la part de chaque héritier. Abattement personnel en ligne directe Il est de 100 000 € sur la part de chacun des ascendants et enfants vivants ou venant en représentation d'un parent décédé. Abattement entre frères et sœurs En tant que frère ou sœur du défunt, vous bénéficiez d'une exonération de droits de succession si vous remplissez les 3 conditions suivantes : - vous êtes célibataire, veuf(ve), divorcé(e) ou séparé(e) au moment du décès - vous êtes âgé(e) de plus de 50 ans ou handicapé au moment du décès - vous avez été constamment domicilié avec le défunt pendant les 5 ans ayant précédé le décès Abattement pour les neveux et nièces Abattement en faveur des handicapés.

Barème des droits de succession et de donation. Epargne & placements : de nouvelles perspectives fiscales en 2013 - 503816. 13/12/2012 - 14:47 - Sicavonline (mis à jour le : 11/02/2013 - 15:34) Pierre Moscovici, ministre de l'Economie, vient d'annoncer une refonte complète de la fiscalité de l'épargne en début d'année 2013. L'objectif du gouvernement est d'inciter les épargnants à s'orienter vers des placements de long terme (assurance-vie en unités de compte, PEA et PEA-PME), pourvoyeurs de fonds à destination des entreprises. Inviter à s'exprimer lors de la conférence consacrée à la réglementation « Solvabilité 2 », organisée par la FFSA (Fédération française des sociétés d'assurance), le ministre de l'Economie Pierre Moscovici en a profité pour annoncer que le gouvernement entreprendra, début 2013, une grande réforme de la fiscalité de l'épargne.

Le but de cette révision fiscale, que le gouvernement Ayrault veut complète, est de mieux répartir l'épargne des Français entre les produits de court terme (livret A, LDD...) et les placements de long terme (assurance-vie en unités de compte, PEA...). Conférence Morningstar 2011 Assurance Vie. Les primes de l'assurance-vie. Lors de la souscription d'une d'assurance-vie, le souscripteur s'engage à verser des primes à l'assureur, selon certaines modalités. Ce qu'il faut savoir sur les primes de l'assurance-vie.

Il faut prêter attention à la question des primes, dans la gestion et la vie de son contrat d'assurance-vie. Voici les points clés à retenir pour tirer parti de ce placement financier. Les primes de l'assurance-vie, c'est quoi ? Dans un contrat d'assurance-vie, les primes versées par le souscripteur (c'est-à-dire son épargne) représentent la contrepartie des garanties apportées par l'assureur. Pour l'assureur, les primes reçues des assurés (nettes de frais sur versement), et les intérêts générés par l'épargne représentent les provisions mathématiques du contrat. Les différents types de primes de l'assurance-vie A la souscription du contrat, l'assuré peut souhaiter verser des primes de nature différente. Assurance-vie : les primes fixes ou périodiques Assurance-vie : les primes variables ou libres. Assurance vie et succession du conjoint : Cas pratique de la réponse ministérielle BACQUET.

Vous le savez depuis le 29 Juin 2010 et la réponse ministérielle BACQUET, le monde de l’assurance vie a été complétement bouleversé. Dorénavant, lorsque le contrat d’assurance vie aura été souscrit : Par une personne marié sous le régime de la communauté ;Que les fonds ayant servi à la souscription du contrat d’assurance vie, proviennent des biens communs du couple (L’article 1401 du code civil précise qu’à défaut de preuve contraire, via une clause de remploi, tous les biens sont communs). Alors, le contrat d’assurance vie souscrit par le conjoint survivant sera considéré comme un bien commun qui devra être intégré pour la moitié de sa valeur de rachat dans la succession de l’époux pré-décédé.

Synthèse de l’application de la réponse ministérielle BACQUET: Le contrat d’assurance vie souscrit par un époux marié sous le régime de la communauté avec des fonds communs doit être déclaré pour moitié dans la succession du conjoint pré décédé : Monsieur DUPONT vient de décéder. Assurance vie succession : la succession et l'assurance de vie. Assurance vie et succession : un placement favorable L'assurance vie est le placement le plus favorable fiscalement en terme de succession même si la loi TEPA de 2008 en a réduit l'intérêt pour les conjoints et partenaires liés par un Pacte Civil de Solidarité ainsi pour les descendants en ligne directe par les relèvements significatifs des abattements forfaitaires.

Il faut le rappeler : l'assurance vie est hors succession et bénéficie donc à ce titre d'une exonération de droits de succession dans la limite de certains plafonds. Vous pouvez désigner un ou plusieurs bénéficiaires sur votre contrat d'assurance vie. En cas de décès, les bénéficiaires reçoivent la totalité des capitaux. Pour les montants investis avant votre anniversaire de 70 ans, vous transmettez 152 500 € par bénéficiaire exonéré de fiscalité et ce, pour autant de bénéficiaires que vous voulez... au-delà vous payez : En savoir plus : souscripteur et bénéficiaires Calculer l'imposition sur une assurance vie reçue en succession.