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Une société de la requête (4/4) : Comprendre Google « InternetAc. Par Hubert Guillaud le 17/12/09 | 7 commentaires | 1,599 lectures | Impression La machine à globaliser : réinterpréter les résultats des machines Pour la chercheuse Esther Weltevrede, membre de GovCom.org, une association hollandaise dédiée à la création d’outils politique en ligne, et de l’Initiative Méthodes numériques (Digital methods initiative), la question clef à se poser est “quel type de machine à globaliser est Google ?” Image : Esther Weltevrede photographiée par Anne Helmond. Si le PageRank est considéré comme un système de classement mondial de toutes les pages web, conçu pour toutes les informations du monde, que se passe-t-il quand Google passe à l’échelle locale ?

Qu’arrive-t-il aux résultats locaux ? Quand on cherche Amsterdam dans Google.com et dans Google.nl, on n’obtient pas les mêmes résultats, constate la chercheuse. Elle a ainsi comparé les 10 premiers résultats à la requête “droits de l’homme” dans chacun des Google nationaux. Quelles alternatives ? Hubert Guillaud. Vie privée : Google bientôt soumis au droit français ? - Journal.

Deux sénateurs proposent d'appliquer le droit français aux entreprises étrangères en matière de protection des données personnelles. Les groupes américains de l'Internet auront-ils un jour des comptes à rendre devant les tribunaux français ? C'est en tout cas ce que souhaitent deux sénateurs centristes, Yves Détraigne et Anne-Marie Escoffier (RDSE, à majorité radicaux de gauche), qui viennent de déposer une proposition de loi visant à "mieux garantir le droit à la vie privée à l'heure du numérique".

Mi-novembre, les deux parlementaires avaient déjà déposé une proposition de loi sur la protection des la vie privée en ligne (lire l'article Deux sénateurs veulent encadrer le droit à l'oubli numérique, du 12/11/2009), visant à encadrer le droit à l'oubli sur Internet. Dans ce nouveau texte, Yves Détraigne et Anne-Marie Escoffier veulent aller plus loin en soumettant les sites américains "aux juridictions et au droit français dès lors qu'ils visent bien un public français". The End of Online Anonymity. It seems we're approaching a new age here on the Internet.

Instead being anonymous, faceless IP addresses, social computing and changing technologies have allowed the lines between the "real" world and the "virtual" world to blur. Web 2.0 helped create a world where your identity is revealed in bits and pieces as you share snippets of your life online - a photo here, a Stumble there, a tweet, a Digg, etc. However, the rise of social media is only one of the changes that is busy shaping the new web. On tomorrow's web, we're no longer going to be anonymous. In fact, one can argue that we're no longer anonymous today, but that's not entirely true.

We're still hearing of people hijacking people's names and brands on social networking sites like Twitter, for example, and any MySpace search for a famous celebrity will return hundreds of results purporting to be the "official" page for that person. But those days of "faking it" may be fading fast. Being "Fake" Is Now A Crime Struggling To Adapt. Vie privée : le point de vue des “petits cons” « InternetActu.ne. Nombreux sont ceux qui pensent que les jeunes internautes ont perdu toute notion de vie privée. Impudiques, voire exhibitionnistes, ils ne feraient plus la différence entre vie publique et vie privée. Et si, a contrario, ils ne faisaient qu’appliquer à l’internet ce que leurs grands-parents ont conquis, en terme de libertés, dans la société ? Dans « La vie privée, un problème de vieux cons ?

« , je dressais un parallèle entre la façon désinhibée qu’ont les jeunes internautes de se dévoiler sur le Net et la révolution sexuelle, et me demandais si ceux qui sont gênés par cette façon décomplexée de s’exprimer ne seraient pas un peu coincés. Au-delà des problèmes d’inhibition des « vieux cons« , il est difficile d’aborder la question sans essayer de regarder de plus près comment, et pourquoi, les jeunes qui ont grandi avec le Net évoquent ainsi leurs vies privées dans des espaces publics. La vie privée ? Dans l’arène publique, ou via une interface technique. Une génération « rock’n roll »… 1. Ok You Luddites, Time To Chill Out On Facebook Over Privacy. In 2004 everyone freaked out when Gmail launched because Google would be reading your emails to figure out what ads to serve you. “Privacy advocates objected to the advertising model, which involves Google’s robot eyes scanning every e-mail for keywords and displaying contextual advertisements alongside a user’s inbox,” noted Wired.

That might sound familiar to your great-great-great grandparents. Supposedly many people were apprehensive about using telephones in the early 1900s because they knew the phone companies could listen in on their phone calls. There are people who won’t use phones today because of the ease in which calls can be tapped. But the rest of us seem to be ok with Gmail. Contrary to published reports, Facebook CEO Mark Zuckerberg did not say “the age of privacy is over” in my interview with him last Friday evening at the Crunchies.

The fact is that privacy is already really, really dead. The point is that we like Facebook. Crazy right? Introducing the New TweetPsych and TweetPsych for Lists | Dan Za. After I first launched the Twitter psychological profiling tool TweetPsych , some of the most common feedback I got was that it was hard to understand the results. So I designed a new reporting mechanism and design to solve that problem. The new TweetPsych uses “meta dimensions” which are combination of related factors from the two linguistic algorithms ( RID and LIWC ) the application uses. Each of these comes with a description and is represented on a bar graph. Each user’s profile is compared against the average user and the report explains which dimensions occur more or less frequently than the average.

I also launched a new feature for the site. If you have other ideas on how to make TweetPsych even better, let me know. La vie privée n’est pas ce que l’on croit | Le blog groupe Refle. La vie privée n'est pas ce que l'on croit Je vais encore une fois jouer les vieux cons, mais je trouve parfaitement superflue l’agitation actuelle autour de ce qui serait la fin de la vie privée. Le sujet agite, notamment à cause des déclarations de Marc Zuckerberg. Le patron de Facebook se fait l’adepte d’un monde de la transparence, ou la vie privée ne serait pas la règle. Il a pris une tournure plus polémique, sous nos latitudes, quand, sur InternetActu, Jean-March Manach a publié son éclairant et stimulant billet sur les petits cons.

En s’essayant à dresser le portrait de cette nouvelle génération qui s’approprie le réseaux et ses outils pour s’inventer un autre vivre ensemble en rupture de banc, il a secoué la poussière soixante-huitarde. Le manichéisme des commentaires laisse songeur et y révèle cette erreur régulièrement observée du jugement des choses en matière de société de l’information : appliquer la grille de lecture du monde d’avant l’internet sur celui de maintenant.