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Post-mortem – naissance, vie et mort de ma startup — #fail. [Attention, long article, donc long temps de lecture à prévoir – mettez-vous dans de bonnes conditions pour l’apprécier ou prévoyez une lecture ultérieure !] TL;DR En partant il y a presque 2 ans de l’incubateur HEC pour lancer une startup (sans encore en avoir l’idée fondatrice), je ne m’imaginais évidemment pas, 18 mois plus tard, m’être planté de manière aussi belle et « classique », perdant au passage un ami, de l’argent, la confiance de certains dans mon réseau, et quelques petits bouts d’égo.

Cet article revient en détails sur le déroulé du projet, partage certains documents internes qui montrent les évolutions et pivots ainsi que quelques-unes de nos façons de travailler (et documente ainsi le démarrage, la vie et la mort d’une startup de manière assez transparente, ce qui me semble assez rare), et tente ensuite de mettre des mots — de mon point de vue personnel donc très subjectif — sur les leçons que j’en retire.

Sur le papier, tout va alors bien. Calendrier des “faits” Année 2011. L’effet domino du fail : sourcez ! Lundi 18 février, aux aurores, un coup de tonnerre fend la twittosphère journalistique : le groupe Dassault serait en train d’étudier un rachat du journal Le Parisien. C’est Laurent Guimier (Europe 1) qui révèle le scoop de France 24. Au tout petit matin, le scoop est repris par une Twittos (éditrice de journaux locaux – EDIT 19/02 : le tweet a été supprimé depuis) qui indique France 24 pour seule source. Puis le buzz part quand Jean-Christophe Féraud, journaliste lui aussi (Libération) mais qui ne cite pas non plus son informateur, reprend l’info en sortant son étendard : #Pravda.

La presse libre est en danger, les retweets fusent – celui de @Vogelsong par exemple. Le Monde publie une brève, Yahoo! Aussi, etc. Mais il y a un hic. Moqué, Jean-Christophe Féraud ne se démonte pas. Moralité : EDIT 19/02/2013 – 10h : Vincent Glad a, dans la foulée de son tweet, publié un erratum. Can a Locavore Eat Chocolate, Coffee and Bananas with a Clear Conscience? | Simple, Good and Tasty. Chances are, if you’re a regular visitor to this web site, you proudly support the mission of local, sustainable farms: you’re a member of your neighborhood food co-op; you shop at farmers markets; you subscribe to a regular CSA delivery; you spend your Saturdays crop-mobbing; and you eat in restaurants that are similarly committed to supporting local farmers.

Pat yourself on the back. You’re an informed and conscientious locavore – and darn proud of it. You care about your food’s origin, its environmental impact, and its connection to the community. So, tell me: Is it possible to honor these values if you eat food that’s not grown within a 100-mile radius, maybe even a 1,000-mile radius, of where you live? I hear you grumbling: “Do you expect me to boycott some of life’s greatest pleasures just because I live in a climate that can’t grow the crops that make them?

Put down the ax. Maybe you’ve heard it but you’re not really sure what it is. 1. 2. 3. 4. 5. La BBC rattrapée par sa “catch up TV”