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Du calcium, mais sans le lait : vos meilleures alternatives végétales. Lorsque nous avons pris conscience de la complexité des produits laitiers et de leur impact mitigé sur notre santé : allergies, intolérance, acidité, problèmes respiratoires, problèmes de digestion, ballonnements, infections ORL à répétition ; la même question revient : comment m’assurer un apport en calcium suffisant tout en réduisant ma consommation de lait de vache et de ses produits dérivés ?

Première étape : rassurez-vous Nous avons développé une habitude et un réflexe des plus banals mais aussi des plus limitants : associer notre consommation de calcium à notre consommation de produits laitiers. Pourtant, le calcium est vraiment partout! Rassurez-vous, en réduisant votre consommation de produits laitiers (notamment de lait de vache), vous ne risquez pas d’être carencé en calcium, à condition d’ouvrir et de diversifier vos horizons alimentaires. Le calcium est le minéral le plus abondant dans notre corps, et on peut le retrouver dans une très grande variété d’aliments. Les oranges. Lait, allergie, mucus et maladies respiratoires récurrentes : tout est lié. Nous avons besoin d’une enzyme appelée lactase pour digérer le lactose présent dans le lait, mais entre l’âge de 18 mois et de 4 ans, nous perdons 90-95 % de cette enzyme.

Donc, concrètement, nous sommes à peu près tous intolérants au lactose. En plus, selon le Dr. Ellis (spécialiste des produits laitiers et de leur action sur le sang), si l’on tient à avoir des allergies, il faut boire du lait. Pourquoi ? Et quel lien entre notre incapacité à digérer plusieurs composantes du lait (que nous verrons plus loin comme le lactose ou la caséine) et les allergies, le mucus, les sinusites ou infections ORL à répétition ?

Alors que le lait de vache fait partie intégrante de notre paysage alimentaire et culturel actuel, le développement d’allergies, de sinusites, de toux, d’infections respiratoires récurrentes et fatigantes chez les plus jeunes mais aussi chez les adultes s’impose également comme une évidence. La lactase, enzyme perdue dès le plus jeune âge Quelles conséquences ? Conclusion. Voici ce que vous devez vérifier la prochaine fois que vous achèterez de l’eau en bouteille. 10 minutes pour convaincre sur les dangers des produits laitiers. Juin62012 De la théorie à la pratique Vous êtes maintenant, mes chers lecteurs, des nutrinautes très bien avertis des dangers qui planent sur vos cellules si vous consommez trop de produits laitiers (référence bibliographique).

Si vous faites partie des lecteurs qui sont encore (impossible ! : p) convaincus des bienfaits des produits laitiers pour votre santé osseuse (et tout le reste), alors je vous invite fortement à consulter mes deux articles qui traitent du sujet en deux parties: Partie 1 et Partie 2 Il est plutôt simple d’être parfaitement informé des dangers des produits laitiers sur la santé. Surtout lorsque vous avez des articles clairs et très bien écrits à votre disposition…(mes chevilles enflent !) Par contre, c’est une autre paire de manches que de convaincre une personne qui boit du lait de vache depuis 35 ans d’arrêter du jour au lendemain. Un sujet complexe Vous savez bien que la problématique des produits laitiers n’est pas simple. Des arguments chocs Le résultat ? Matières premières : faut-il s’attendre à une guerre de l’eau ? La guerre de l'eau va-t-elle allumer la mèche ?

Le concept est apparu en 1993, quand Christian Chesnot publie La Bataille de l'eau au Proche-Orient . La thèse selon laquelle l'eau et sa possession est une des sources de conflit majeur pour le 20ème siècle mais surtout pour le 21ème siècle a depuis fait florès . Il suffit de taper l'expression "guerre de l'eau" dans votre moteur de recherche préféré pour prendre conscience du nombre d'articles s'intitulant : "la guerre de l'eau aura-t-elle lieu ? " L'inquiétude est d'autant plus justifiée que les ressources en eau douce (2% de l'eau contenue sur la planète) s'amenuisent et que, surtout, la demande flambe. D'ici à 2030, les ressources d'eau douce disponibles seront de 40% inférieures à la demande. Selon l'ONU, 263 réserves d'eau (fleuves, lacs, rivières ou nappes phréatiques...), représentant 60% des réserves d'eau douce de la planète, sont partagées entre au moins deux pays.

Les exemples sont nombreux et ne datent pas d'hier. Coca-Cola, Colgate, Maggi : que contiennent vraiment ces marques qui séduisent des milliards de consommateurs. Spécialisé dans l'analyse des tendances de la consommation, Kantar Worldpanel a publié son rapport sur les marques les plus achetées au monde. Parallèlement, l'organisation "60 millions de consommateurs" épinglait bon nombre de ces marques et les composants toxiques de leurs produits. La société Kantar Worldpanel, spécialisée dans l’analyse du comportement des consommateurs a publié son classement des marques les plus achetées au monde. Publié vendredi 16 mai, le rapport fait suite à une étude menée dans 35 pays et portant sur les habitudes d’achat de produits de grande consommation dans les secteurs de l’alimentation, des boissons, des soins, de la beauté et des produits ménagers.

Le secret de la recette Coca-Cola : des colorants cancérigènes et des perturbateurs endocriniens ? Parmi les cinquante marques globales les plus choisies, seize ont été achetées plus d’un milliard de fois l’an dernier. Agents irritants et allergènes pour prendre soin de votre santé ! Poudres et potions de l'industrie alimentaire. Trop d’aluminium dans les laits pour bébés. Thinkstock Quel lait faut-il choisir ? Alimentation - 20 février 2014 Trop d’aluminium dans les laits pour bébés Donné de façon exclusive aux nourrissons, le lait infantile doit se rapprocher du zéro défaut.

Très récemment, des chercheurs britanniques ont trouvé de l’aluminium, substance potentiellement neurotoxique, en quantités non négligeables dans des laits infantiles commercialisés outre-Manche. C’est ce que nous avons voulu savoir en recherchant de l’aluminium dans trente-huit laits infantiles en poudre (1er et 2e âge) et neuf laits liquides de croissance (adaptés aux 1-3 ans) vendus sur le marché français. Les résultats sont loin d’être satisfaisants : si nous n’avons pas détecté d’aluminium dans les laits de croissance analysés, nous en avons en revanche trouvé dans plus de la moitié des échantillons de laits infantiles. 897 μg d’aluminium par semaine pour un bébé de six mois Dans les laits 1er âge, nous avons trouvé une teneur moyenne de 153 microgrammes (μg) d’aluminium par litre.