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Intersectionnalité

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Le discours sur l’excision doit changer. Temps de lecture: 13 min Cet article commence il y a près de dix ans, lors d'une conversation avec une camarade de classe: «Je te l'avais pas dit?

Le discours sur l’excision doit changer

T'es sûre? Pourtant j'étais convaincue de t'en avoir parlé... Ben, voilà quoi, vacances au bled à huit ans, un après-midi mes parents disparaissent et là mes tantes me chopent et puis on m'a excisée quoi». Je reste pantoise et lui explique que si elle me l'avait dit, je m'en serais souvenue! Elle finit par me demander si à l'occasion, je serais d'accord pour qu'on compare nos sexes car elle n'a jamais eu l'occasion de le faire avec une autre femme noire non-excisée. Traitement médiatique Cette histoire est sans doute la raison pour laquelle j'ai toujours été frappée par le traitement médiatique et institutionnel de l'excision en France. «Et pour ma part, je m'en fiche du qu'en dira-t-on sur mon ressenti, de surcroît de la part de personnes qui n'y connaissent absolument rien et sont extérieures à tout ça.

Le racisme Le féminisme blanc. Ernesto Sirolli: Want to help someone? Shut up and listen! 10 Middle Eastern writers you should know. Flanneryogonner.tumblr. Séries américaines et question raciale - Zones subversives. Les séries télévisées américaines montrent les évolutions de la société.

Séries américaines et question raciale - Zones subversives

Elles peuvent devenir un objet pour les sciences sociales car elles proposent une analyse critique du monde social. Les universitaires Olivier Esteves et Sébastien Lefait proposent une réflexion sur La question raciale dans les séries américaines. Des recherches évoquent souvent The Wire, mais aussi Breaking Bad. C’est alors la totalité de la série qui est analysée, parfois épisode par épisode. Olivier Esteves et Sébastien Lefait se penchent sur plusieurs séries, mais uniquement à travers le prisme de la question raciale qui demeure centrale dans la société américaine. Les séries télévisées américaines connaissent un succès mondial et ne se réduisent pas à un banal divertissement minoritaire.

La culture populaire fait désormais l’objet d’étude sociologique. Il y a quelque chose de pourri au Royaume de la Fantasy. La fantasy est probablement l’un des genres les plus clivants de la pop-culture.

Il y a quelque chose de pourri au Royaume de la Fantasy

Certains y voient une promesse de voyages fantastiques, de mondes extraordinaires et d’aventures, d’autres observent de loin, avec méfiance, l’arrivage massif d’œuvres toujours plus nombreuses et de qualité très hétérogène. Car s’il est clivant, le genre est pourtant en explosion constante depuis plusieurs dizaines d’années: livres, films, bandes dessinées, jeux-vidéos, musique, jeux de rôle, produits dérivés… la fantasy n’épargne aucun support, et l’augmentation de l’offre entraîne une extension très large de son influence, en particulier grâce à internet.

Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours apprécié la fantasy, et je garde un regard bienveillant envers le genre dans sa globalité. La plupart de mes séries littéraires favorites sont des séries de fantasy, et il en va de même pour tout le reste. La Pop culture est un instrument de lutte très sous-estimé. Motherhood Series 2: Intersectionality. I have already spoken (I feel like adding ‘at great length’) about the most common gender stereotypes associated to parenthood and motherhood.

Motherhood Series 2: Intersectionality

In a patriarchal society (that is to say, pretty much anywhere in the world), these stereotypes classify women as natural-born nurturers, beings who by essence are designed to take care of children and others at large, while men are positioned as providers, who need to fend off the outside world in order to materially and financially support their family. 5 Tips For Being An Ally. Marxisme et féminisme, une dissonance épistémologique.

Introduction : identifier et nommer le problème.

Marxisme et féminisme, une dissonance épistémologique

Le rapport analytique entre le marxisme et le féminisme – ce dernier étant parfois désigné dans ses premières occurrences sous le terme de « la question des femmes » – a suscité une grande diversité de pratiques sociales et de recherches critiques au sein de la gauche dès l’époque des contributions fondatrices de Marx et Engels. La Femme et le socialisme d’Auguste Bebel (1891 [1883]) et L’Origine de la famille, de la propriété privée et de l’État d’Engels (2012 [1884]) continuent à être considérés comme des classiques au sein du marxisme. Cette discussion s’est avérée d’une considérable longévité, et ce pour une bonne raison. Les féministes révolutionnaires (socialists) ont profondément nourri le marxisme contemporain, en développant des concepts clefs et certaines questions essentielles.

Dissonance épistémologique Éléments de dissonance épistémologique I. II. III. Une brève histoire du concept de discrimination systémique. Bataille, P. (1997), Le racisme au travail, Paris, La Découverte,.

Une brève histoire du concept de discrimination systémique

Bataille, P., et Schiff, C. (1997), « La discrimination à l’embauche. Le cas du bassin d’Alès », in, Les Annales de la Recherche Urbaine, « Ville, Emploi, Chômage », n°76, pp.89-96.

Cultural appropriation

Beautés noires : La femme noire et le white gaze. [Trigger Warning/Avertissement : agressions sexuelles, violence, spoile] Si vous suivez How to get away with murder, vous n’avez pas manqué la scène marquante où l’héroïne se démaquille et se dévêtit de tous ces apparâts pour se révéler à elle-même dans son miroir.

Beautés noires : La femme noire et le white gaze

Cette scène a énormément tourné sur les réseaux sociaux entre les femmes noires. Mais pourquoi ? En quoi la mise à nu d’une femme noire devant son miroir, ôtant sa perruque, est-ce significatif ? La beauté noire a toujours été synonyme d’une laideur imposée, à l’opposée des modèles de beauté blancs véhiculés en Occident. “Belle”, un long métrage qui suit la construction d’une jeune femme métisse dans sa famille blanche noble, dans l’Angleterre victorienne (2014) 1.

My Thoughts On Feminism. Whites Who Oppose Racism: Here’s How To Stop Doing It Wrong. In the tradition of my first very similarly-titled blog post on how to be a better anti-misogyny ally, I am simply going to copy/paste the privilege-conscious disclaimer portion of that entry here.

Whites Who Oppose Racism: Here’s How To Stop Doing It Wrong

Some other sections of this blog post are also copy/pasted portions of that same blog post, because a lot of what I had to say there applies here as well. I’ve been working really hard for years now, to understand privilege and oppression, and how it plays into my own day-to-day life. The time has come, it would seem for me to try to share some of this knowledge. For the purposes of understanding where I am coming from, I am conscious that I am privileged in the following ways as an individual: Pourquoi je ne suis pas d'accord avec Morgan Freeman ("Why I Disagree With Morgan Freeman")