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SOCIAL SHOPPING

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Confidentiel : Cdiscount socialise son site en intégrant l'open graph. Le site marchand intègre un bouton "je veux" à ses fiches produit et un onglet "mon shopping social" récapitulant recommandations et articles partagés par l'internaute et ses amis.

Confidentiel : Cdiscount socialise son site en intégrant l'open graph

Cdiscount vient de mettre en ligne un dispositif de shopping social reposant sur la plateforme open graph de Facebook. Tout d'abord, les fiches produit intègrent désormais un bouton "Je veux" aux côtés du bouton "J'aime", que les articles soient commercialisés par l'e-marchand ou par les vendeurs de sa marketplace. Les articles ainsi tagués apparaissent dans le module Cdiscount "Je veux" de la timeline Facebook de l'utilisateur. Par ailleurs, un nouvel onglet a vu le jour sur le site : "Shop Social". Les publicités sociales, salut du business model de Facebook ? Alors que le cours de l'action dégringole et que l'efficacité des publicités Facebook est sans cesse remise en question, c'est dans la publicité sociale que pourrait résider la clé du business model de la firme de Palo Alto.

Les publicités sociales, salut du business model de Facebook ?

Tous les atermoiements qui ont accompagné la récente introduction en Bourse de Facebook, dont l'action a dégringolé jusqu'à 31 dollars à la clôture du 22 mai, le prouvent : la majorité des investisseurs reste sceptique quant à la capacité du réseau social californien à monétiser sa formidable audience, lui qui compte près de 900 millions d'utilisateurs à travers le monde.

Au centre des préoccupations, l'offre publicitaire de Facebook qui, même si elle prend de l'importance quantitativement (aux Etats-Unis, ses bannières représentent une impression sur quatre), peine à s'imposer comme un passage obligé pour les annonceurs, lesquels y voient plutôt un complément peu onéreux. Le business model de Facebook va-t-il faire pschitt? La curation s'attaque à l'e-commerce. Le lèche-vitrine à l'ère du social shopping. Fantasy Shopper becomes one of Europe’s hottest startups with $3.3m from Accel and NEA. Fantasy Shopper is a social shopping game where players discover and share the latest fashion from real-world online and offline retailers.

Fantasy Shopper becomes one of Europe’s hottest startups with $3.3m from Accel and NEA

It’s gained a lot of traction since it’s launch last October, especially amongst women and we’ve heard on the grapevine that it was piquing the interest of investors for some months since emerging from the European Seed accelerator HackFWD. Today that intense interest has been confirmed with a first round of funding led by top tier venture firms Accel Partners and NEA (one of the key investors in Groupon) to enable it to build out engineering and expand into new cities other than London. With NEA co-leading the investment, clearly there is a big opportunity to scale in US cities and elsewhere.

The investment is based on a convertible note not equity, which is standard practise when investors want in fast and the round is hotly contested. After that the startup could even be applied to the long tail of local stores and shops. Facebook offers : le couponing social par Daphné Parot - Chronique e-Business. Quelles sont les performances des publicités Facebook ? Consommation : Comment découvrir des cosmétiques sans se ruiner. Envoyés chaque mois par la poste, des coffrets surprise ou «beauty boxes» font découvrir des produits de beauté haut de gamme à leurs abonnées.

Consommation : Comment découvrir des cosmétiques sans se ruiner

Un concept séduisant qui pourrait bien s'étendre à d'autres secteurs. Chaque mois, la surprise est lovée dans un coffret soigné: quelques produits haut de gamme envoyés par courrier à des abonnées. La plupart sont en format de voyage dit «miniature», certains, plus petits, sont simplement des échantillons mais d'autres sont de taille standard. Arrivé des États-Unis l'année dernière, le concept de la «beauty box» connaît déjà un joli succès auprès des Françaises. Lancées l'été dernier, la GlossyBox compte aujourd'hui environ 20.000 clientes et la JolieBox 10.000 selon le dernier chiffre publié en octobre.

Au coeur du concept: la réception d'une «pochette surprise», comme un cadeau que les amatrices de produits de beauté et de bien-être s'offrent à elles-mêmes. Créer une communauté La Glossy Box pour homme, lancée en décembre. Un nouveau business model dans l'e-commerce : les beauty box. Le service de suggestion de cadeaux Wantful lève 5,5 millions de dollars. Wantful propose des livrets comportant des suggestions de cadeaux en fonction des goûts d'un individu.

Le service de suggestion de cadeaux Wantful lève 5,5 millions de dollars

Une solution pour les internautes ne sachant pas quoi offrir à leurs amis. Lancé il y a six mois à San Francisco, Wantful réalise un second tour de table à hauteur de 5,5 millions de dollars notamment auprès de Polaris Venture Partners (également actionnaire de ShoeDazzle), Formspring et Jibe. Les investisseurs historiques de Wantful ainsi que plusieurs business angels participent également. La start-up souhaite recruter de nouveaux collaborateurs à San Francisco et New York, mais aussi ajouter 650 nouveaux produits à son catalogue dès ce mois-ci.

Spécialisée dans la suggestion de cadeaux, l'offre de Wantful réside dans la création d'un livret papier proposant 16 produits en fonction de l'événement à célébrer et du profil du bénéficiaire.