background preloader

Actualité articles 2

Facebook Twitter

Freud est-il soluble dans les neurosciences ? Jung, psychanalyse, neuroscience . Reprenons la voix féminine qui interprète ce que fait Jung, en rédigeant ses phantasmes.

Jung, psychanalyse, neuroscience .

Pratiquant l’imagination active en ayant personnifié en premier mon ombre (avant d’envisager une autre personnification), il ne fait aucun doute que l’inconscient parle. La voix féminine émet une opinion « c’est de l’art ». Que nous dise les neurosciences sur cette faculté d’émettre des opinions, des jugements, que nous rencontrons dans le délire d’interprétation et dans toutes les paroles automatiques négatives, destructrices, à la base de nombreux troubles mentaux. Et notamment dans les TCC au niveau des idées dysfonctionnelles. L’étude des personnes au cerveau divisé ont amené Gazzaniga à élaborer son concept » d’interprète « , situé dans l’hémisphère gauche de notre cerveau. Dans l’essai illustré ci dessus: Les neurosciences vont-elles confirmer la psychanalyse ? Edito : Les neurosciences vont-elles confirmer la psychanalyse ?

Les neurosciences vont-elles confirmer la psychanalyse ?

Longtemps les neurosciences et les sciences cognitives, grisées par les avancées incontestables dans la connaissance des mécanismes biochimiques et moléculaires qui caractérisent notre cerveau et sous-tendent notre pensée, notre mémoire et notre conscience, se sont appuyées sur la métaphore informatique pour rendre compte du prodigieux fonctionnement de notre esprit et des remarquables facultés cognitives de l'espèce humaine. Cette conception scientifique et philosophique dominante dans les sciences cognitives connut son apogée avec des ouvrages qui eurent un grand succès, comme "homme neuronal" de Jean-Pierre Changeux, en 1983, le "Cerveau-machine", de Marc Jeannerod, en 1991 ou encore "La biologie des passions", de Jean-Didier Vincent, en 1999.

Dans son essai, Pommier montre que la conscience du monde qui nous entoure ne peut prendre sens que par la "médiation du symbole". René TRÉGOUËT Sénateur Honoraire Noter cet article : Résumé de la conférence "PSYCHANALYSE ET NEUROSCIENCES" - TOUT SUR L'A.L.S. (Analyse des Logiques Subjectives) (La conférence "Psychanalyse et Neurosciences" a été faite par Jean-Jacques PINTO le mardi 8 novembre 2011 à 18 h 30 au Théâtre Comoedia à AUBAGNE, Bouches-du-Rhône) Psychanalyse et neurosciences Conférence de Jean-Jacques Pinto, psychanalyste, au théâtre Comoedia d'Aubagne, le mardi 8 novembre 2011 Tout en marquant la spécificité de chacune de ces deux approches quant à l’abord du psychisme humain, le conférencier tentera, entre autres à l’aide d’une analogie simple et d’une méthode originale d’analyse de discours, de montrer ceci : À l’encontre des positions dogmatiques (assorties de rejet mutuel) émanant des camps retranchés d’inconditionnels partisans, il existe des passerelles et des possibilités de coopération fructueuse entre neurosciences et psychanalyse.

Résumé de la conférence "PSYCHANALYSE ET NEUROSCIENCES" - TOUT SUR L'A.L.S. (Analyse des Logiques Subjectives)

Une condition essentielle pour ce dialogue est que soit redéfini ce qui n’aurait jamais dû cesser de les inspirer : la démarche scientifique, considérée à la fois. «Déterminés à être libres» François Ansermet, patron de la pédopsychiatrie des Hôpitaux universitaires de Genève, et Pierre Magistretti, neurobiologiste lausannois célèbre, dialoguent autour de quinze ans d’échanges entre leurs deux disciplines.

«Déterminés à être libres»

Vous êtes précurseurs dans ces liaisons entre neurosciences et psychanalyse. Aujourd’hui, beaucoup vous suivent dans cette voie... Pierre Magistretti: Freud était en fait un neurologue, qui essayait avec les outils scientifiques de son époque d’échafauder une théorie globale du fonctionnement cérébral. Il était au fait des découvertes scientifiques, un peu comme si les psychiatres aujourd’hui lisaient quotidiennement Science ou Nature. François Ansermet: Comme psychanalyste et psychiatre travaillant avec de très jeunes enfants, je me demande en permanence comment se construit un sujet.

Comment devient-on ce que l’on est? F. Cela signifie-t-il que si Freud avait eu les moyens scientifiques de mettre davantage de neurobiologie dans ses travaux, il l’aurait fait? P. P. P. F. F. Le psychisme une entité mixte ? Une structure psychique En psychopathologie, la clinique permet d’établir des faits, et la théorie cherche à en donner une explication rationnelle.

Le psychisme une entité mixte ?

Cette explication, dans le champ de la psychopathologie dynamique (psychanalytique), se synthétise en un modèle du psychisme souvent nommé »structure psychique ». Nous sommes donc amenés à le définir de la manière suivante : 1/ On admet qu’il existe une entité complexe repérable en chaque individu humain que l’on nomme psychisme. 2/ Cette entité génère les conduites, traits de caractères, relations, sentiments, symptômes, etc., présentés par chaque individu et repérées par la clinique. 3/ Il est possible de construire un modèle théorique de cette entité à partir des faits cliniques.

Une structure individualisée Ce modèle intègre les facteurs acquis relationnels, éducatifs, sociaux, qui ont marqué la vie de l’individu. A partir de là, la question que l’on peut se poser est la suivante : peut on supposer que ce modèle ait un substrat quelconque ? Les neurosciences vont-elles confirmer la psychanalyse ? Les neurosciences vont-elles confirmer la psychanalyse ?

Les neurosciences vont-elles confirmer la psychanalyse ?

René Trégouët Article publié dans Rtfflash n° 20/06/2012 Comme nous en avons convenu avec l'auteur dans de précédentes occasons, nous republions ici un de ces articles, afin de le faire connaître à ceux de nos lecteurs qui ne fréquenteraient pas régulièrement son site.