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Diderot, Jacques le Fataliste et son maître

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Une étude du roman sur le site Magister. De tous les ouvrages de Diderot, il est le plus commenté, le plus glosé.

Une étude du roman sur le site Magister

Malgré la richesse et la variété de la critique, et peut-être à cause d'elles, Jacques demeure d'une complexité et d'une opacité redoutables. Toute interprétation péremptoire risque de susciter une opinion contraire. Dès la première lecture, l'ouvrage est déconcertant. La première explication que l'on peut fournir à cette impression de tissu d'Arlequin, c'est la genèse même du roman, à laquelle on peut assigner un devenir de près de vingt ans.

Conçu à partir de 1765, il paraît d'abord en feuilleton dans la revue de Grimm, La Correspondance littéraire, de 1778 à 1780, mais Diderot ne cesse de l'augmenter jusqu'à sa mort, et l'œuvre qui, en 1771, comptait 125 pages, en atteignait 200 en 1778, 208 en 1780, 287 en 1783. Une conférence de Jean Goldzink. Conférence sur Jacques le fataliste par Jean Goldzink Pour parler aujourd’hui, je me suis appuyé sur deux livres : Diderot philosophe, de Colas Duflo, livre excellent mais un peu cher (80 euros), et aussi et surtout Diderot tout court, si l’on ose dire à propos d’un auteur assez expansif (Œuvres, Laffont, éd.

Une conférence de Jean Goldzink

Versini, coll. Bouquins, 5 vol.). Excellent aussi, et très sobre, Eric Walter, JLF, Hachette, sans doute épuisé, mais que je n’ai pas retrouvé dans ma bibliothèque. Questions de genèse Pour aborder le texte, commençons par écarter d’emblée les questions de genèse, généralement complexes du côté de l’homme en vieille robe de chambre. Le titre Donc, je me tourne vers le début, c’est-à-dire le titre. Jacques Jacques est un prénom, on ne connaître jamais son patronyme, contrairement au livre dont Diderot s’inspire, Vie et opinions de Tristram Shandy, de Sterne. Peut-on raisonner sur ce prénom chrétien cardinal ? Le fataliste Mais que veut dire liberté ? Et son maître. JACQUES, LE PARADIGME.

Jacques, le paradigme… Mis en ligne le 7 septembre 2001. © : Serge Meitinger.

JACQUES, LE PARADIGME

Serge Meitinger est professeur de Littérature à l'Université de la Réunion. Il est l'auteur de nombreux articles et recueils de poésie. Ouvrage : Stéphane Mallarmé, Hachette, 1995. (esquisse d’une approche théorique du “récit déceptif”) [Ceci est le texte d’un corrigé rédigé lié à un devoir de stylistique qui concernait la seconde page de Jacques le fataliste ; ce ne sont que des Indications qui seraient à reprendre.Il faudrait, à partir de ce paradigme, en effet, repérer avec plus de détails dans l’analyse les grands points de ce qui pourrait devenir une véritable approche théorique.] 1) un récit a un début, un milieu et une fin, identifiables comme tels ; 2) les faits ou les événements narrés doivent s’enchaîner selon le vraisemblable et/ou le nécessaire ; L’auteur supposé s’ingénie, ici, à décevoir ces trois attentes.