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Musique

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Beta.deezer.com. Téléchargement de musique libre et gratuite. ‪Billie Jean‬‏ ‪Kleerup with Lykke Li - Until we bleed (HQ)‬‏ Droits d’auteur Bienvenue chez les Shadocks - Que Choisir en ligne. Perception de droits sur la diffusion des œuvres à la radio ou à la télévision, taxe sur la copie privée prélevée sur les ventes de CD ou de disques durs, mise à contribution des chaînes de télévision et des fournisseurs d’accès à Internet, perception de droits sur les spectacles vivants (qu’il s’agisse de superproduction ou de kermesse de village), perception sur les sites de musique en ligne, etc. : les prélèvements de droits d’auteur au sens large prennent aujourd’hui de multiples formes.

Visant à rémunérer la création, ils sont supportés par le consommateur, généralement sans que ce dernier prenne conscience des sommes en jeu. Elles sont loin d’être anecdotiques. En 2008, les différentes sociétés de perception et de répartition des droits (SPRD) ont collecté 1,26 milliard d’euros. Contrairement à ce qui a souvent été dit pour justifier la lutte contre le téléchargement illégal de musique et de films, ces montants sont en augmentation rapide. . « Les limites de la complexité » 1. 28% du gâteau pour un seul mec. 28% du gâteau pour un seul mec L'ami Guillaume a publié un article hier, qui peut faire pleurer les plus sensibles, mais qui m'a fait marrer. D'un côté, on a le président de la Sacem qui touche (d'après La Tribune) 750 000 € par an pour faire son taf (580 000 € net), ce qui fait 1 million d'euros au total avec toutes les charges.De l'autre, on a un chiffre de 7 centimes d'euros *minimum* reversés à la Sacem pour chaque titre vendu sur iTunes Question : Combien faut-il de morceaux de musique pour subvenir aux besoins du président de la SACEM ?

Réponse : 14 millions par an ! Là où ça devient marrant, c'est que finalement, ce ne sont "que" 50 millions de titres MP3 qui ont été vendus cette année (soit un CA de 3,5 millions sur iTunes). Un simple produit en croix permet donc d'établir que 28% de ce que touche la SACEM via iTunes part dans le salaire d'un seul mec. Moi, tout ce que je peux vous dire c'est que je trouve ce petit calcul de Numerama juste beau...

Vous avez aimé cet article ? La musique légale peut être "illégitime et injuste" malgré Hadopi. Aurait-on oublié un sujet lors des débats Hadopi 1 et 2 ? Plusieurs députés viennent de saisir le ministère de la Culture d’une question sur la rémunération des artistes interprètes via les plateformes en ligne, labellisée Hadopi ou non. L’enjeu : ce que compte faire maintenant la Rue de Valois pour garantir une rémunération des artistes pour l’exploitation de leur musique en ligne. Le député Albert Facon (PS, contre Hadopi 1 et 2) a ainsi saisi le ministère de la Culture pour lui appeler son attention « sur l'absence de rémunération de la majorité des artistes interprètes sur les exploitations de musique en ligne réalisées sur les sites internet légaux, labellisés ou non par Hadopi ». L’explication ?

« L'artiste ne reçoit qu'un cachet forfaitaire au moment de l'enregistrement quelle que soit la valeur de l'utilisation du titre ou de l'album. Le député François Vannson (UMP, pour Hadopi 1 et 2) se pose grosso modo les mêmes préoccupations. Hollywood enterre une étude qui démontre que les pirates sont de bons clients.

Régulièrement, depuis une décennie, l'industrie culturelle répète à l'envi ce qui semble logique au quidam : pirater c'est voler. "Sans Hadopi, pas de Emma Leprince en 2021", dit la pub. "Le piratage nuit à la création artistique", répètent les FAI dans leurs contrats d'abonnement, comme le leur impose la loi. Mais est-ce bien vrai ? Les études ne manquent pas pour mettre en doute ces affirmations, y compris en France, que ce soit avec les travaux de l'Université de Rennes (complétés l'an dernier) ou ceux du chercheur Patrick Waelbroeck, recruté par l'Hadopi. Cette dernière avait elle-même découvert, dans son étude livrée en janvier dernier, que "les internautes déclarant un usage illicite ont une dépense (de biens culturels) légèrement supérieure à la moyenne", et qu'ils "sont moins nombreux que la moyenne à déclarer " aucune dépense "".

En juin dernier, les autorités allemandes avaient fait fermer le site Kino.to, qui référençait des liens permettait de voir des films en streaming.