background preloader

Etude 0 etape 2

Facebook Twitter

Insectes, mercure : les conditions de travail "misérables" d'une usine Apple en Chine - 23 octobre 2015. Bas salaires, heures non-payées, dortoirs infestés d'insectes : ce n'est pas la première fois que l'organisation China Labor Watch pointe du doigt le groupe Pegatron, sous-traitant chinois d'Apple, mais elle enfonce le clou ce jeudi dans un rapport publié sur son site. "Les bas salaires, les longues journée de travail, les heures non-payées, les mauvaises conditions de sécurité et les conditions de vie misérables persistent", estime l'organisation, qui a mené son enquête clandestinement dans une usine de Shanghai du groupe taïwanais. Après leur journée de travail, les employés, logés dans l'entreprise, sont par ailleurs conduits dans des dortoirs bondés et insalubres, équipés de lits "infestés de punaises", décrit l'organisation.

Son rapport, qui recense "une vingtaine de violations" au droit du travail, vient s'ajouter à plusieurs études dénonçant les conditions de travail dans les usines chinoises opérant pour Apple. Une usine Pegatron à Shanghai, en Chine. (Eugene Hoshiko/AP/SIPA) Conditions de travail : Apple de nouveau critiqué. L'INFO. Apple néglige-t-il les conditions de travail de ses prestataires ? Un nouveau rapport publié lundi par l'organisme de surveillance China Labor Watch reproche à la firme californienne de faire appel à un prestataire taïwanais, Pegatron, qui n'appliquerait pas les règles de sécurité élémentaires pour protéger ses salariés. Un nouveau scandale, plus d'un an après un premier couac chez Foxconn, sous-traitant chinois pointé du doigt en mars 2012. "Les promesses d'Apple non-tenues". Apple se défend comme il peut. Déjà épinglé en Chine.

>> À LIRE AUSSI : Vidéo : l'iPhone low-cost enfin réalité ? Apple critiqué pour des conditions de travail « misérables » chez un sous-traitants chinois. Bas salaires, heures non payées, dortoirs infestés d’insectes : China Labor Watch a dénoncé jeudi les conditions de travail dans une usine d’un sous-traitant chinois d’Apple. L’ONG China Labor Watch, sise à New York, a dénoncé dans un rapport, jeudi 22 octobre, les conditions de travail dans une usine d’un sous-traitant chinois d’Apple, recensant une « vingtaine de violations » au droit du travail. « Les bas salaires, les longues journées de travail, les heures non payées, les mauvaises conditions de sécurité et les conditions de vie misérables persistent », a estimé l’organisation, qui a mené son enquête clandestinement dans une usine à Shanghaï du groupe Pegatron. Après leur journée de travail, les employés, logés dans l’entreprise, sont par ailleurs conduits dans des dortoirs bondés et insalubres, équipés de lits « infestés de punaises », décrit l’organisation.

Les salariés pas informés des risques pour leur santé. Travailler chez Google, ce n'est pas que du bonheur. Une cantine gratuite, des salaires alléchants (88.000 euros par an en moyenne pour un ingénieur), des fauteuils massants ou encore 20% de temps libre pour développer ses projets personnels… A priori, Google paraît l'endroit rêvé pour tout salarié. Ce n'est d'ailleurs pas par hasard que le groupe américain figure régulièrement parmi les premières places des palmarès consacrant les employeurs préférés des jeunes diplômés.

Si travailler chez le géant de la Silicon Valley est une expérience très enrichissante, cela peut bizarrement avoir de mauvais côtés. C'est en tout cas le point de vue de certains anciens employés de la firme de Mountain View, qui échangent leurs critiques sur un fil de discussion du site de questions-réponses Quora, repéré par Business Insider. En voici les plus marquants. > Des employés trop qualifiés Vu le nombre de personnes souhaitant travailler chez Google, la firme peut se permettre de ne recruter que les meilleurs éléments. > Esprit start-up, es-tu là ? Travailler chez google n'offre pas que des avantages. Entreprise à part qui entretient le mythe sur son recrutement hors-norme de talents aussi divers que complémentaires, Google fait rêver.

Liberté de travailler sur ses projets personnels, locaux fastueux et agréables, doux sentiment d'appartenir à une forme d'élite : un poste chez le géant américain relèverait donc de l'idéal. Pourtant, à en croire la quarantaine de témoignages d'anciens et actuels salariés publiés sur le site américain de discussion Quora, tout ne serait pas si rose dans l'une des sociétés les plus célèbres du monde. Privilégiés et souvent conscients de l'être, ces salariés ont peut-être des "problèmes de riches" mais leurs critiques sont révélatrices de failles d'organisation, dans lesquelles nombre d'entreprises (et d'employés) pourront se reconnaitre.

Voici les cinq griefs principaux recensés sur le site, repris par le site Business Insider récemment. . 1. Les managers ? 2. 3. 4. Chez Google, il y a trop de talents et de gens qualifiés. 5.