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Catastrophe fukushima

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Fukushima: la zone de 20 km ''interdite'' Le rayon d'évacuation de 20 km mis en place autour de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima va devenir zone interdite, afin d'éviter que des personnes évacuées y retournent en dépit de risques élevés pour la santé, a annoncé le gouvernement japonais aujourd'hui. Le premier ministre a fait cette annonce à l'occasion d'une visite dans la région de cette centrale endommagée le 11 mars par un séisme de magnitude 9 et un tsunami géant, qui ont entraîné la mort ou la disparition d'environ 28.000 personnes. Quelque 80.000 habitants ont été évacués de ce rayon de 20 km.

L'interdiction, qui devrait devenir effective dans la nuit de jeudi à vendredi, vise à permettre un contrôle strict de la zone. En inspectant plusieurs milliers de maisons, la police a découvert que plus de 60 familles y vivaient toujours en dépit des risques liés aux radiations. "Il est totalement inacceptable que le gouvernement impose une zone d'interdiction. Fukushima : fort taux d'iode radioactif détecté en mer.

Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le Le premier ministre japonais, Naoto Kan, a assuré, mardi 29 mars, que son gouvernement était "en état d'alerte maximale" face aux problèmes de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima, selon les médias. M. Kan a souligné que la situation restait "imprévisible" dans cette centrale, dont les systèmes de refroidissement de quatre réacteurs sur six sont en panne et où les fuites radioactives se sont multipliées depuis le séisme et le tsunami du 11 mars. Les risques de catastrophe écologique et de pollution de la chaîne alimentaire ont été encore renforcés après l'annonce lundi soir que des traces de plutonium avaient été décelées dans cinq prélèvements de terre effectués il y a une semaine dans l'enceinte de la centrale.

Contacté par Le Monde.fr, Roland Masse, ancien directeur de l'Office de protection contre les rayons ionisants, confirme que le plutonium présente peu de risques pour la santé. Radioactivité record à Fukushima: appel à élargir la zone d'évacuation. La visite de Nicolas Sarkozy Le président français Nicolas Sarkozy, qui était en visite en Chine mercredi et jeudi, a rencontré le premier ministre japonais ce jeudi. Il y a notamment parler sécurité nucléaire. La participation d'Areva renforcée Anne Lauvergeon, présidente du directoire d'Areva, qui est arrivée mercredi au Japon avec trois experts afin d'évaluer l'aide que le groupe français pourrait apporter à Tokyo Electric Power (Tepco), l'exploitant de la centrale endommagée. L'envoi de 20 experts supplémentaires a été acté. "On intervient auprès de Tepco comme support et nous répondons à leurs demandes, qui ont tendance à augmenter", a expliqué Rémy Autebert, le président d'Areva Japan.

"Cela va nécessiter un peu de temps, mais nos actions en réponse à ces demandes vont sans doute prendre de l'ampleur. " Radioactivité record en pleine mer De là à en conclure que des substances radioactives s'écoulent en permanence dans la mer... Appel à élargir la zone d'évacuation Avec. À Fukushima, les travaux pourraient prendre encore un mois, actualité Monde : Le Point. Les travaux de remise en état de la centrale nucléaire de Fukushima (nord-est du Japon) pourraient prendre encore un mois, a reconnu vendredi l'opérateur du site dont les rejets radioactifs continuent de susciter l'inquiétude au Japon et dans le reste du monde. Autour de la centrale, les préfectures de la côte Pacifique pansent leurs plaies, deux semaines exactement après le plus grand séisme de l'histoire du Japon et l'énorme tsunami qui a suivi, faisant plus de 10 000 morts confirmés et près du double de disparus.

Les six réacteurs de Fukushima ont été en partie submergés le 11 mars par un raz-de-marée de 14 mètres de haut et les systèmes de refroidissement des cuves sont tombés en panne, faisant monter la température des barres de combustible dont certaines ont commencé à entrer en fusion et à émettre des fumées radioactives. Trois ouvriers contaminés Contrôle sanitaire La peur des radiations nucléaires s'étend aussi au reste de la planète. Fukushima : la cuve du réacteur n° 3 pourrait être endommagée. La situation à la centrale nucléaire accidentée de Fukushima reste "imprévisible", a prévenu, vendredi 25 mars, le premier ministre japonais, Naoto Kan.

"Nous travaillons à ce que la situation n'empire pas. Nous devons être extrêmement vigilants", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse. M. Kan a par ailleurs exprimé "son respect envers tous ceux qui ont uni leurs forces pour faire face à la crise la plus grave vécue par le Japon depuis la guerre". "Deux semaines après le désastre, j'aimerais demander à tout le monde de faire preuve de solidarité pour surmonter cette crise", a ajouté le chef du gouvernement de centre gauche.

L'opérateur de la centrale nucléaire de Fukushima, Tokyo Electric Power (Tepco), a reconnu que la cuve du réacteur n° 3 qui contient les barres de combustible, pourrait être endommagée. "Nous en sommes encore à évaluer les dégâts sur la centrale et nous ne pouvons par fixer une date à laquelle les équipements de refroidissement vont fonctionner. Japan earthquake: Japan warned over nuclear plants, WikiLeaks cables show. LOCAL COURT ORDERS SHUTDOWN OF NUCLEAR REACTOR. 3-4 DECEMBER NUCLEAR SAFETY AND SECURITY GROUP. 1. (SBU) Summary: During the third meeting of the G8 Nuclear Safety and Security Group (NSSG) held in Tokyo December 3-4, NSSG members reviewed the status of ongoing projects, discussed the future of initiatives proposed during Japan's 2008 G8 presidency, and reviewed a draft plan of work for the 2009 Italian presidency.

Members agreed the 3S initiative proposed by Japan and adopted in the Hokkaido Summit Leaders' Statement will continue during the Italian presidency, with Japan serving as coordinator for 3S-related activities. Regarding next year's meetings, Italy announced Germany has asked the NSSG to discuss approaches to and criteria for cooperation with emerging nuclear countries, and Germany will send out a draft paper to start discussion on that topic.

Finally, Italy noted it will distribute a detailed plan of work to NSSG members before the next meeting. 2. 3. 4. Those projects. 5. 6. 7. 8. Delays, but noted current cost estimates show a possible increase of 50 million euros. Peut-on se passer du nucléaire ? - L’actu en patates - Blog LeMonde.fr. Japan - New Fears as the Tragedy Deepens. Les événements du mardi 15 mars. L'attention était encore focalisée sur la centrale nucléaire de Fukushima, au Japon, mardi 15 mars, cinq jours après le séisme qui a fait trembler l'archipel et le tsunami qui s'en est suivi. Mardi, le bilan officiel était de 3 373 morts confirmées, 6 746 disparus et 1 900 blessés. Mais il pourrait encore s'alourdir ; les autorités craignent toujours qu'il ne dépasse les 10 000 morts. Le suivi en direct des événements assuré 24 h sur 24 par l'équipe du Monde.fr L'Autorité de sûreté nucléaire française estime que l'accident nucléaire de Fukushima a atteint un niveau de gravité 6 (7 étant le maximum et correspondant à l'accident de Tchernobyl).

L'Autorité de sûreté nucléaire japonaise maintient, elle, un niveau à 4. Dans la nuit de lundi à mardi (heure française), le réacteur n° 2 de la centrale de Fukushima 1 (Dai-Ichi) a été secoué par une explosion d'hydrogène. Peu après, un incendie s'est déclaré dans le réacteur 4, également à la suite d'une explosion. A (re)lire aussi, sur Le Monde.fr. [Révélations] Areva au coeur du réacteur de Fukushima » Article » OWNI, Digital Journalism. Dès le mois de mai 2001, une procédure ouverte aux États-Unis condamnait l'utilisation du MOX dans le réacteur 3 de Fukushima. Une centrale alimentée par Areva. Des experts de Greenpeace prévoyaient les risques.

Dès le mois de mai 2001, Greenpeace préconisait de renoncer à utiliser du MOX, un combustible nucléaire, dans les réacteurs de Fukushima, dans le cadre d’une procédure conduite aux États-Unis. Comme le montre des courriers adressés à l’Autorité de sûreté nucléaire américaine (fac-similé ci-dessous). En cause : la nature des installations de Fukushima (de type “BRW”, réacteur à eau bouillante), la complexité de l’élaboration du produit et l’exigence attenante d’un contrôle méticuleux du processus de fabrication. Greenpeace écrivait alors: L’ONG s’appuyait sur une étude réalisée en 1999 par E.

En particulier, le MOX est extrêmement réactif : il entre en fusion beaucoup plus rapidement que l’uranium enrichi. Falsification des contrôles qualité Instabilité à tous les étages.