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Apprendre à apprendre

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Le cerveau à tous les niveaux. L'intelligence de la coopération. Nouvelles compétences pour l'apprenance. Apprendre, tous. L’effort que nous investissons dans Internet rend accessible plus de connaissances, d’outils et de ressources pour apprendre qu’on aurait pu en rêver il n’y a pas 30 ans.

Apprendre, tous.

Cette abondance nous amène à réviser nos façons d’enseigner et à s’attarder un peu plus attentivement à celles que nous utilisons pour apprendre. Apprendre à la même vitesse, les mêmes choses pour les mêmes usages et pour les mêmes raisons est un mythe sur le point d’être enterré. L’apprentissage est lié à un contexte et c’est par ce contexte que l’individu détermine le sens de l’apprentissage pour lui. Apprendre est inné; jouer, discuter, s’intéresser, chercher une définition, tracer des tableaux, monter des modèles, écrire, photographier, dessiner, filmer... l’étendue des possibilités n’est limitée par rien d’autre que notre acceptation de limites. Et c’est justement à des moyens de franchir ces limites que nous vous invitons dans cette édition. Illustration : Lasse Kristensen - Shutterstock 22 avril 2013 23 avril 2013.

Evaluer, diagnostiquer, réguler. Des techniques pour apprendre à apprendre: Des méthodes pour développer ses capacités d'apprentissage. S'investir dans un processus d’acquisition de savoirs n'est pas toujours aisé.

Des techniques pour apprendre à apprendre: Des méthodes pour développer ses capacités d'apprentissage

Parfois, selon son histoire personnelle, il peut persister des blocages à l'apprentissage (échecs scolaires par exemple). Optimiser ses études nécessite une forte motivation à apprendre, de développer des capacités d’appropriation de connaissances, de méthode et d’organisation. De toute manière, s'engager dans un cursus d’enseignement nécessite de se « remettre dans le bain ». D’autant plus, que très souvent, on n’a jamais vraiment appris à apprendre. C’est pourquoi, il est utile d’acquérir des méthodes avant de débuter ses études, le gain de temps et de valorisation de soi seront édifiants. Les compétences à développer Tout d’abord, qu’est-ce qu’apprendre ? L’acquisition de connaissances est fortement favorisée si l’apprenant assimile des méthodes et des pratiques, comme par exemple, être capable de : Quelques pistes méthodologiques Gérer son temps avec efficacité S’auto-évaluer en continu Notes :

Des façons dencourager lapprentissage actif. METACOGNITION. A.

METACOGNITION

Flavell (1976, 1977) : Considéré comme le pionnier dans le domaine de la métacognition, Flavell en propose la définition suivante : la métacognition se rapporte à la connaissance qu´on a de ses propres processus cognitifs, de leurs produits et de tout ce qui touche, par exemple, les propriétés pertinentes pour l´apprentissage d´informations et de données... La métacognition se rapporte entre autre chose, à l´évaluation active, à la régulation et l´organisation de ces processus en fonction des objets cognitifs ou des données sur lesquelles ils portent, habituellement pour servir un but ou un objectif concret (Flavell, 1976, p.232). b. Gombert (1990) : La définition de la métacognition proposée par Gombert illustre aussi le caractère composite de celle-ci : c.

A travers ces définitions, deux aspects différents de la métacognition peuvent etre mis en évidence : - les mécanismes de régulation ou de contrôle du fonctionnement cognitif. Le cerveau à tous les niveaux. 8 types d'intelligence. La peur d'apprendre. L'erreur. Jean-Pierre Astolfi, didacticien et professeur de sciences de l’éducation à l’Université de Rouen, s’interroge longuement sur le statut de l’erreur dans les apprentissages.

L'erreur

Premier constat: l’erreur scolaire est plutôt source d’angoisse alors qu’en dehors de l’école (dans le domaine sportif par exemple) elle est davantage source de défi pour les jeunes. Le didacticien identifie ensuite les principaux types d’erreurs scolaires pour lesquelles il propose médiations et remédiations. Une manière de transformer l’erreur en tremplin afin de débloquer les démarches d’apprentissage. Quel est le statut de l’erreur à l’école? Pour Jean-Pierre Astolfi, l“aversion spontanée pour l’erreur, et le rejet didactique qui en résulte souvent, correspond d’abord à une certaine représentation de l’acte d’apprendre, représentation largement partagée par les enseignants, les parents et le sens commun.”

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