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M22 Le bonheur

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Croire rend-il plus heureux. Une bouddhiste, un catholique et une agnostique qui a élaboré sa propre foi nous racontent comment ils ont identifié ce qui les épanouissait vraiment et comment leur démarche spirituelle éclaire leur vie. Violaine Gelly Sommaire Béatement heureux… Voilà la caricature dans laquelle sont enfermés ceux et celles qui affirment trouver leur bonheur dans la foi. D’ailleurs, béat et béatifier dérivent de la même étymologie latine : beatus, « heureux ». Comme si toute croyance en une transcendance était un passeport assuré pour la félicité, une assurance-vie heureuse. Florence, bouddhiste Florence, 36 ans, bouddhiste« Le zen m’a appris à réenchanter le quotidien » « Il y a huit ans, j’ai découvert l’enseignement du maître zen vietnamien Thich Nhât Hanh.

Paul, catholique Paul, 29 ans, catholique« Ma recette, c’est le don absolu de soi » « Croire me rend heureux, car je sais où se trouve mon bonheur et comment l’atteindre : il s’agit de parvenir à la sainteté, c’est-à-dire au don absolu de soi.

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Zeina :  » Sous mon Niqab  » : un témoignage bouleversant et éclairant | Riposte Laïque. « Sous mon niqab » (éditions Plon) est un récit, écrit par Zeina, une jeune française née en France, élevée au sein d’une famille musulmane traditionnelle dans une banlieue banale. Cette jeune fille va se retrouver plongée dans une hallucinante descente aux enfers suite à son mariage, son mari la forçant par la violence à se voiler de plus en plus, jusqu’à lui imposer le port du niqab. Elle aura le plus grand mal à se libérer de cet enfermement cauchemardesque.

En apparence, rien ne prédisposait Zeina à se retrouver dans cette situation : en effet, elle se présente comme une jeune fille à peu près moderne, réussissant ses études (BTS avec mention) malgré le peu d’enthousiasme de son entourage familial traditionnaliste, passant son permis de conduire en se le finançant par son travail, et donc devenant rapidement adulte et autonome. Toute tentative de faire intervenir sa famille se solde par un échec : en effet, sa mère lui dit d’obéir à son mari pour être une bonne musulmane. Docdory. » Quel est le rôle de la religion? Freud. « Pour bien se représenter le rôle immense de la religion, il faut envisager tout ce qu'elle entreprend de donner aux hommes ; elle les éclaire sur l'origine et la formation de l'univers, leur assure, au milieu des vicissitudes de l'existence, la protection divine et la béatitude finale, enfin elle règle leurs opinions et leurs actes en appuyant ses prescriptions de son autorité.

Ainsi remplit-elle une triple fonction. En premier lieu tout comme la science mais par d'autres procédés, elle satisfait la curiosité humaine et c'est d'ailleurs par là qu'elle entre en conflit avec la science. C'est sans doute à sa seconde mission que la religion doit la plus grande partie de son influence. La science en effet ne peut rivaliser avec elle, quand il s'agit d'apaiser la crainte de l'homme devant les dangers et les hasards de la vie ou de lui apporter quelque consolation dans les épreuves. Freud. Nouvelles conférences sur la psychanalyse. 1915.1917. Freud montre qu'ils sont de trois ordres : Quelle est la recette du bonheur ? Une étude américaine livre la réponse. Image d'illustration (Crédit : stokpic.com) Peut-on scanner intégralement la vie d'un individu ?

Scruter ses choix professionnels, son parcours amoureux, sa condition physique, de son adolescence jusqu’à ses vieilles années ? Le psychiatre américain et professeur Robert Waldinger l’a fait. Avec son équipe de la faculté de médecine de l’université Harvard à Boston (Massachusetts), ce professeur, également directeur du "laboratoire du développement adulte" (Laboratory of Adult Development), a présenté fin 2015 les premiers résultats de la plus longue étude sur le bonheur jamais effectuée.

Robert Waldinger (Crédit : TED) Ni le travail, ni la célébrité, ni l'argent Nous sommes alors en 1938, à l’aube de la Seconde Guerre mondiale. Au fil des ans, les données ont permis aux chercheurs d'affiner leurs résultats. 1. "Expérimenter la solitude est toxique", selon Robert Waldinger. 2. 3. Les français de plus en plus seuls en 2016, selon une enquête du Crédoc. Autour de Pierre Rabhi | Autour de Pierre Rabhi.

Pierre Rabhi, Michel Onfray. L’ascète et l’hédoniste sur le bonheur - Journal des bonnes nouvelles. Philosophie Magazine n° 71 (été 2013) consacre un dossier au bonheur : « Pourquoi ne sommes-nous pas plus heureux » ? Parmi les cinq articles de ce dossier se trouve un apaisant dialogue entre Michel Onfray, hédoniste, etPierre Rabhi, ascète. Pas de « clash » attendu, mais une amicale découverte réciproque de leurs vies, des similitudes et des divergences de leurs deux approches philosophiques, pas si éloignées que ça, finalement.

Quoique… « Je souscris à tout, sauf au divin et au mystère, ce qui fait tout de même beaucoup. « Cette rencontre a été organisée et relatée par Martin Legros. Sur la conception stoïcienne du bonheur, (re)lisez le beau texte de mon professeur préféré, Serge Provost, qui ose affirmer effrontément : « Le bonheur, si je veux ! Cela aurait dû être un choc ! Pierre Rabhi : Je suis né en 1938 dans une petite oasis du Sud algérien. Michel Onfray : Ça n’est pas grave de ne pas les avoir compris, l’important est de savoir s’ils vous ont aidé. Pierre Rabhi : Pas vraiment. Bonheur. Vers la sobriété heureuse Livre audio | Pierre Rabhi ... Pierre Rabhi la sobriété qui rend heureux (version longue)