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Culture et patrimoine

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Série d'articles internet sur ce thème

CDI - LEGTPA DE LA LOZERE - Aménager la ville par la culture et le tourisme. Quand le street art investit les villes en cohabitant avec la nature. Leblogdelaville. CDI - LEGTPA DE LA LOZERE - "Il est indispensable de recréer de la fluidité dans la ville" : architecture. Découvrir Paris avec Raymond Queneau | PARIS à NU.

En 1936 Raymond Queneau, alors âgé de 33 ans, n’a pas encore connu le succès et « tire le diable par la queue ». Il cherche désespérément des idées qui puissent <mettre du beurre dans les épinards>, comme il le dit lui-même. Un beau jour, tout à coup, toc ! Il a la bonne idée. Pas très confiant tout de même, il va présenter son projet à L’Intransigeant, l’un des deux plus importants quotidien parisien de l’époque à Paris. A sa grande satisfaction, on accueille son idée avec enthousiasme, avec à la clé une rémunération substantielle pour l’époque. L’idée est simple il s’agit de poser chaque jour, aux lecteurs de L’Intransigeant, trois questions concernant Paris. Dans un premier temps les réponses sont publiés dans le journal du lendemain. C’est donc le 23 novembre 1936 que paraît la première rubrique « Connaissez vous Paris ? Raymond Queneau inaugure cette nouvelle rubrique avec les trois questions suivantes : 1) Où se trouvent le trône de Napoléon et le manteau qu’il portait au sacre ?

Une convention pour promouvoir l'art et la culture en milieu rural / Services-Santé-Mobilité. Une convention « Alimentation Agri-culture » a été signée le 23 septembre 2011, entre le ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation, de la Pêche, de la Ruralité et de l'Aménagement du territoire et le ministère de la Culture et de la Communication.

Renouvelant un partenariat mis en place en 1990, la convention a pour objectif de promouvoir et de valoriser l’art et la culture dans les territoires ruraux. Afin d’aider les collectivités et les acteurs locaux à construire une démarche de développement culturel, souvent complexe à mettre en œuvre, les deux ministères s’engagent à : Armelle Laperriere. Les murs de la précarité. Recensé : Florence Bouillon, Les mondes du squat, anthropologie d’un habitat précaire, Paris, PUF, coll. « Partage du savoir », mars 2009. 244 p., 28 €. Depuis quelques années, la question du squat défraie régulièrement la chronique, comme en témoigne l’évacuation médiatique de la cité universitaire de Cachan en 2004. Le contexte de pénurie de logements accessibles, surtout dans les grandes villes, rend en effet prégnante la problématique de l’occupation sans titre.

Le livre de Florence Bouillon sur les « mondes du squat » tombe donc à point nommé et apporte un éclairage distancié et dépassionné à ce mode d’habiter particulier. Cet ouvrage est tiré d’une thèse qui a reçu le prix « Le Monde » de la recherche universitaire. Une ethnographie des squats et de leurs habitants Dans un premier temps, Florence Bouillon s’attache à décrire de façon minutieuse la scène des squats. Dans le prolongement de cette description, Florence Bouillon met en évidence la diversité des visages du squat.