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Cinema

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Dossier : François Truffaut – Filmographie sélective – Curiosphere. Www.technicolorfilmfoundation.org/fileadmin/user_upload/en/pdf/highlights/Livret_Lola_Montes.pdf. « Un caprice qui ne finirait pas… » : la genèse de Lola Montès. 1Ultime chef-d’œuvre de Max Ophuls, Lola Montès a déjà fait couler beaucoup d’encre, mais ses commentateurs n’ont guère, jusqu’à ce jour, considéré le film que dans son rapport au reste de l’œuvre du cinéaste. Cette volonté est si manifeste, même, qu’on a toujours choisi d’ignorer le fait, facile à vérifier pourtant, qu’il s’agissait d’une commande de circonstance plutôt que d’un projet véritablement personnel d’Ophuls. 2Dans les pages qui suivent, on entreprendra de décrire la genèse de l’œuvre à travers ce que nous en apprennent la presse professionnelle de l’époque, les archives scénaristiques et de tournage conservées à la BiFi, des entretiens inédits réalisés avec Tony Aboyantz et Claude Pinoteau, assistants réalisateurs, ou avec Marc Frédérix, assistant décorateur, et l’entretien également inédit avec Franz Geiger réalisé en Allemagne par Robert Fischer-Ettel. 5La seule analyse de ces maigres informations est déjà instructive. 7Celle-ci était danseuse.

Je suis une artiste. Lola Montès et le cinéma des attractions. 1 Susan M. White, The Cinema of Max Ophuls. Magisterial Vision and the Figure of Woman. New York : Col (...) 1Écrire que Lola Montès rend hommage à ce que Gunning et Gaudreault ont appelé « le cinéma des attractions » est, pour le moins, un euphémisme. La superproduction internationale de 1955 d’Ophuls, son seul film en couleurs (Eastmancolor) et en cinémascope, explore la relation entre cinéma et attraction et entre attraction et narration, dans un contexte précaire entre les pratiques de spectacle traditionnelles et celles d’avant-garde. Cette étude reprend et, dans une certaine mesure, corrige des commentaires que j’ai faits par le passé sur l’emploi de l’attraction par Ophuls dans Lola Montès1. 2En situant Lola Montès, l’histoire d’une courtisane européenne notoire, dans un cirque du XIXe siècle, Ophuls retourne aux racines du spectacle en tant qu’attraction – notion empruntée par Gunning aux théories de Sergeï Eisenstein : 3 Ibid. 4 Helmut G. 6 En français dans le texte.

Lola Montès. Cinéma - Lola Montès - La critique. La restauration du chef-d’œuvre d’un maître du cinéma. Lola Montès ou la perfection du septième art. L’argument : L’ancienne courtisane déchue Lola Montès est exhibée dans un cirque de la Nouvelle Orléans où un spectacle relate sa vie mouvementée. Une suite de flash back s’attarde sur les moments clefs de sa vie, de sa brève idylle avec Liszt à sa liaison scandaleuse avec le roi Louis de Bavière. Copyright Les Films du Jeudi Notre avis : Lola Montès est paradoxalement l’un des films à la fois les plus célèbres et les plus méconnus de l’histoire du cinéma. Souhaitons que sa ressortie en salles parvienne à susciter le même choc créé par la réédition de Vertigo dans les années 80.

Car disons-le sans réserves : cette œuvre flamboyante risque de détrôner Citizen Kane et autres Potemkine pour le titre du plus beau film du monde. Copyright Les Films du Jeudi Bande-annonce de Lola Montès. LOLA MONTES: analyse d'une séquence - une vidéo Expression Libre.

COMPAREE

Lola Montès, le film de Max Ophuls enfin restauré ! – La Cinémathèque française.