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La Belgique autorise l'euthanasie pour les enfants. INFOGRAPHIE - Le Parlement belge a adopté jeudi une loi étendant le droit à l'euthanasie (accordé aux majeurs en 2002) aux enfants atteints d'une maladie incurable et dont les souffrances sont trop insupportables. Le Parlement fédéral belge a adopté jeudi une loi étendant aux mineurs celle de 2002 dépénalisant l'euthanasie.

Le texte a été approuvé à la Chambre des représentants par 86 voix pour, 44 contre et 12 abstentions. Pour entrer en vigueur, la loi devra désormais être promulguée par le roi Philippe. La Belgique devient ainsi le deuxième pays, après les Pays-Bas, à l'autoriser pour les mineurs. Mais, à la différence de la loi néerlandaise, qui prévoit que l'enfant doive avoir au moins 12 ans, le législateur belge n'a pas fixé d'âge minimum.

L'euthanasie sera permise pour les mineurs «capables de discernement» et faisant face à des souffrances physiques insupportables et inapaisables, en phase terminale. Dans la galerie du public, quelqu'un a crié en français «asassins!» Belgique: 80% des euthanasies sans consultation du patient. Et après ils nous parlent de liberté et de dignité. Extrait de: Source et auteur 2 commentaires Bonjour, Pour simple information c’est ce que nous appelons aussi l’euthanasie passive en France qui est autorisé depuis la loi Leonetti du 22 avril 2005. Ce ne sont pas pour ainsi dire des euthanasies, comme la plupart des personnes l’entendent (que l’on peut qualifier « d’active »), car il n’y a pas d’acte d’un tiers qui administre une substance létale provoquant une mort quasi immédiate.

Attention donc à ne pas confondre tous les termes sachant que l’article d’origine était clair en parlant d’AAH et non d’euthanasie. Maintenant et vous avez raison de le souligner il n’est pas normal que ces AAH soient dans 80% des cas sans consentement du patient (en gardant en tête qu’un nombre important de ces 80% de personne sont dans un état d’inconscience dont ils ne peuvent être soigné). La loi en France impose dans ce cas que soit consultée la personne de confiance si elle existe ou la famille. La gauche et l’Eglise en chœur contre l’euthanasie. En Autriche, le débat sur la fin de vie est largement influencé par les crimes nazis, 30 000 citoyens «improductifs» y ayant été euthanasiés par les médecins de la mort. A gauche, de nombreuses voix se joignent ces derniers temps à celle de l’Eglise catholique, dans une alliance de circonstance assez inédite, pour dénoncer les lois sur le suicide assisté ou sur l’aide à mourir, en vigueur au Benelux ou en Suisse voisine et en discussion en France.

«Laisser mourir» ou «faire mourir»… Selon plusieurs intellectuels de premier plan, ce n’est pas un hasard si ce débat ressurgit en période de crise. «On peut certainement faire beaucoup d’économies en arrêtant de soigner un patient plongé dans le coma depuis plusieurs années», commente par exemple Wolfgang Neugebauer, un historien resté longtemps à la tête du fonds autrichien de documentation et d’archives sur la résistance. Blaise GAUQUELIN. Euthanasie: la question qui divise l'Europe. Euthanasie: la question qui divise l'Europe © Maxppp Avant l'été, un projet de loi sera soumis aux députés britanniques et ils devront se prononcer sous le principe du "free vote". Il n'y aura aucune consigne de vote. Chaque élu décidera en son âme et conscience d'approuver ou non le suicide assisté ou l'euthanasie. Pour le moment, en Grande-Bretagne, l'interruption des soins est autorisée dans certains cas, depuis 2002.

La justice se montre plutôt clémente concernant une personne qui aide un proche à mettre fin à ses jours. A condition que ce dernier en ait clairement exprimé l'intention. Aujourd'hui, plusieurs associations pro-euthanasie une légalisation, inscrite dans la loi. C'est-à-dire ? Comme en France, la question de la fin de vie agite les débats au-delà des bancs de l'Assemblée nationale ou de la Chambre de Lords. Au Royaume-Uni, aucune organisation représentant les professions médicales ne soutient une possible légalisation de l'euthanasie ou du suicide assisté. Suisse : de l’euthanasie à l’assassinat.

Il y a dans l’attitude de la Suisse une sorte de cynisme qui étonne. Dans ce pays l’euthanasie est interdite. Certes rien n’empêche quiconque de se suicider. L’aide au suicide assisté cependant est autorisée à condition qu’elle ne soit pas motivée par des intérêts personnels. Par exemple aider un parent à se suicider afin de toucher un héritage. Pourtant le commerce du suicide offert par Dignitas est loin d’être désintéressé car les tarifs sont corsés. Mais les candidats une fois morts n’ont plus d’intérêt direct pour préserver leur portefeuille. Avec non moins de cynisme l’Université de Berne s’est lancée dans une enquête sur le sujet. Il en ressort que 16 % des personnes qui ont recours au « droit à mourir » sont en excellente santé. Les autres volontaires de la mort, soit 84 % de l’ensemble, sont des personnes de 25 à 64 ans. 57 % sont atteintes de cancers et 21 % atteintes de maladies du système nerveux.

La conclusion de cette étude était simple et connue. La novlangue de la fin de vie. Dans son travail minutieux de destruction sociale, le gouvernement s’apprête à franchir un nouveau pas. Pour que nous l’aidions, il nous impose son vocabulaire. Petit tour d’horizon de ces mots-virus que nous n’avons pas choisis, mais qui ont de bonnes chances de modifier l’ADN de la médecine. Euthanasie : littéralement, l’euthanasie signifie la bonne mort, douce et sans souffrance.

Cette définition originelle, validée par nos Immortels, perd peu à peu son sens. Euthanasie passive : deux adjectifs sont venus petit à petit qualifier l’euthanasie. Traitement médical : à l’origine, l’objectif d’un traitement est de guérir une pathologie, d’en soulager les effets ou d’en prévenir l’apparition. Suicide assisté : face à la crainte légitime du médecin qui ne veut pas renier son serment d’Hippocrate, où il jure notamment de ne jamais provoquer la mort délibérément, le suicide assisté est venu sauver les intérêts politiques que l’euthanasie compromettait à court terme. Euthanasie en Belgique: allez-y, vous n'en reviendrez pas ! Euthanasier les malades sans leur accord : une prétention médicale inacceptable (mais pourtant revendiquée par certains en Belgique !) Autres articles En Belgique, le sujet de l'euthanasie n'en finit décidément pas de faire scandale. Après les remous qui ont concerné la question de l'euthanasie des mineurs, voici maintenant un sujet encore nettement plus chaud et qui concerne rien de moins que "l'euthanasie non demandée".

De quoi s'agit-il exactement ? D'une demande de certains médecins spécialisés en soins intensifs qui souhaitent une protection juridique pour pouvoir euthanasier activement (c'est donc bien plus qu'un simple refus d'acharnement thérapeutique...) des patients qui n'en auraient pas expressément formulé la demande et qui seraient inconscients, même en l'absence de tout inconfort.

Belgique: Euthanasier les malades sans leur accord. Euthanasie – Fraternelle parlementaire et autres réseaux maçonniques s’affairent. Les francs-maçons s’affairent à préparer le terrain pour la loi « sur la fin de vie » – entendez l’euthanasie – que présentera bientôt Marisol Touraine, ministre de la Santé, chargée par François Hollande de traiter ce sujet. Christian Bataille, président de la « Fraternelle parlementaire » – qui rassemble députés et sénateurs « trois points » – sait qu’il peut compter sur ses membres et notamment Michèle André, sénatrice et membre du Droit Humain, pour présenter des propositions parlementaires en ce sens.

Cependant, malgré les efforts de Jean-Luc Romero, président de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD) et militant homosexuel, cette nouvelle offensive mortifère devrait attendre le second tour des élections municipales. En effet, au Grand Orient comme au PS, on s’attend à ce que le débat soit « tendu » dès que le projet sera présenté. Mais Daniel Keller, « grand maître » du Grand Orient, a déjà promis que les « frères » seraient « proactifs » sur ce sujet. PRESENTATION. Terra Nova est un think tank progressiste indépendant ayant pour but de produire et diffuser des solutions politiques innovantes, en France et en Europe. Les trois objectifs prioritaires de la fondation: Favoriser la rénovation intellectuelle de la social-démocratie Elle veut contribuer à la refondation de la « matrice idéologique » de la gauche progressiste et à la promotion de ses idéaux.

Produire de l’expertise et des solutions politiques opérationnelles Elle veut formuler des propositions concrètes au profit des leaders politiques, des élus nationaux et locaux ainsi que de tous ceux qui mettent en œuvre des politiques publiques. Inscrire son action dans un réseau européen et international de think tanks progressistes Elle veut s’inspirer des réussites et des bonnes pratiques de nos partenaires européens, participer à l’influence intellectuelle de la France en Europe et contribuer à faire émerger une doctrine progressiste européenne. téléchargez la Présentation détaillée de Terra Nova.