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Société

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Nathalie Bécoulet on Twitter: "Excellent □□□support pour réfléchir #Societe2015 #espritcritique exerce-toi #Carmen #stromae. Stromae - carmen. Michèle Drechsler (mdrechsler) Marjorie (1marjorie) on Twitter. J'aime l'innovation, suis-je un virus? Ron Canuel at TEDxDrummondvilleED. La Nouvelle-Zélande révolutionne son système d’éducation. Sébastien Wart, publié le 26 novembre 2013 On entend souvent parler de la Finlande quand il est question de nouvelle pédagogie, mais saviez-vous que la Nouvelle-Zélande a aussi complètement transformé son système éducatif? Portrait de cette île sur l’échiquier éducatif mondial. (Première de 3 parties) Un enseignant du nom de Richard Wells est venu présenter le système éducatif de son pays au iPad Summit de Boston, qui se déroulait du 13 au 15 novembre derniers.

La Nouvelle-Zélande est un petit pays d’un peu plus de 4 millions d’habitants (soit environ la moitié de celle du Québec). Selon le Global Teacher Status Index, la Nouvelle-Zélande se classe au 5e rang en ce qui concerne le statut social des enseignants. Les résultats de 2009 du programme PISA de l’OCDE (Programme international pour le suivi des acquis des élèves) classe les élèves de la Nouvelle-Zélande en 7e position pour leurs résultats académiques globaux. Un mini dossier en 3 parties :1. À propos de l'auteur Sébastien Wart. Un polluant interdit depuis 25 ans présent en quantité inexpliquée dans l'atmosphère.

La NASA a détecté en quantité inexpliquée dans l'atmosphère du tétrachlorure de carbone (CCl4), une substance chimique qui détruit la couche d'ozone et qui est proscrite dans le monde depuis près de trente ans, a annoncé l'agence spatiale mercredi 20 août. Le CCl4, qui était utilisé dans les extincteurs ou par les pressings pour le nettoyage à sec, a été interdit en 1987 en même temps que les chlorofluorocarbones dans le cadre du protocole de Montréal. Les pays membres de ce protocole n'ont annoncé aucune nouvelle émission de CCl4 entre 2007 et 2012. Mais l'étude de la NASA montre que les émissions mondiales de ce polluant sont en moyenne de 39 000 tonnes par an, soit environ 30 % du volume maximum enregistré avant l'entrée en vigueur du protocole international. « Nous ne devrions pas avoir tout ce CCl4, a lancé Qing Liang, un scientifique de la NASA au Centre Goddard des vols spatiaux dans le Maryland et principal auteur de cette recherche.