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Les consommateurs

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Le Greenwashing, manipulation marketing. La banquise fond, ce n’est plus un secret pour personne. Les ours blancs se noient, le climat se réchauffe, les animaux en voie d’extinction disparaissent et les films à la « 2012 » ou « Le Jour d’après » se multiplient avec des scenarii toujours plus fous les uns que les autres. Si nous sommes à ce point submergés par ces informations et les histoires sur le sujet, c’est parce que l’éthique – et particulièrement l’écologie et l’environnement – ont pris une place importante dans les préoccupations des individus depuis quelques décennies. Les marques l’ont bien compris, et leurs publicités surfent désormais sur ce caractère environnemental dès qu’elles le peuvent pour attirer le consommateur. Sur ce point, certaines entreprises n’hésitent pas à manipuler leurs cibles avec des campagnes alléchantes mais malheureusement abusives et loin de la réalité… Nous appelons ça le Greenwashing. Le Greenwashing, qu’est-ce que c’est ?

L’éthique a pris une grande place dans la vie de chaque individu. Serge Papin de Sytème U : "Téléphonez moins et mangez mieux!" Vivre avec une pièce par jour. Paru dans leJDD Les offres autour du montant symbolique de deux euros se développent. (Maxppp) Ils partent comme des petits pains. Chaque jour, 55.000 clients KFC s’offrent pour 2 euros un sandwich Double Krunch : deux aiguillettes de poulet, des feuilles de salade et des tranches de fromage empilés dans un burger. Pour les commerçants, c’est le sésame qui ouvre le porte-monnaie. "Le consommateur est en alerte, confirme Christophe Benavent, professeur de marketing à Paris-X Nanterre. Un joli score, qui révèle une des autres vertus du 2 euros. Si la crise perdure, la pièce de 1 euro prendra-t-elle le relais? Lire aussi :Quand les stars jouent les pauvres"Téléphonez moins et mangez mieux!

" Marie Nicot - Le Journal du Dimanche. Tout est politique - Le blog de Seb Musset. A peine achetés, bons à jeter ? Apple store, la Défense - PRM/SIPA Va-t-on assister au déclin de la folle croissance d'Apple ? Se demandent les milieux boursiers. Rendez-vous compte : la marque à la pomme a vu son bénéfice (en or massif) reculer pour la première fois en dix ans ; plus grave, elle n'a sorti aucune nouveauté depuis... six mois ! Samsung, de son côté, vient de créer l'événement en lançant la quatrième génération de son Galaxy, le smartphone le plus vendu au monde. La précédente version n'a pas encore fêté son premier anniversaire... Qu'importe, les Français remplacent leurs mobiles tous les dix-huit mois en moyenne, alors qu'ils sont conçus pour fonctionner entre cinq et sept ans.

Tout neufs, et pourtant déjà dépassés, rendus obsolètes au bout de quelques mois par une nouvelle offre. Illustration - RICHARD B. Le Groupement interprofessionnel des fabricants d'appareils d'équipement ménager (Gifam) reconnaît que la durée de vie du gros électroménager a baissé en dix ans. Et si on réparait ? Crise : les Français voient l'avenir en noir. La tendance du Moment: les nouveaux modes de consommation, dans Paris est à vous - 3 mai 4/5. Evolution des prix : depuis le passage à l'euro, une catastrophe pour le pouvoir d'achat. Tout le monde le sait, tout le monde la voit car tout le monde la pratique tous les jours.

La hausse des prix généralisée depuis le passage à l’euro, en 2002 est un sujet d’actualité sensible. Mais qu’en est-il vraiment aujourd’hui 10 ans plus tard ? Certains analystes prétendent encore aujourd’hui que le passage à l’euro n’a aucune responsabilité avec l’augmentation des prix. Force est de constater que ceux-ci ont fortement augmenté dans la plupart des biens de consommation courante (hors technologie, bien entendu) .

Corrélation ou pas, l’inflation sur les produits de base est belle et bien réelle. Elle illustre une partie de la crise économique que nous vivons aujourd’hui. Et c’est le consommateur, comme d’habitude, qui en subit les conséquences. Les postes de la répartition moyenne d’un budget par foyer Nous pouvons selon le classement de l’INSEE répartir un budget familial de la manière suivante : - 31 % de part réservée en moyenne pour le loyer. . - Spéculation générale. . - Immigration. L’extension de garantie, le juteux business que Darty a sauvé | Rue89 Eco. Le projet de loi sur la consommation présenté ce jeudi exclut l’idée d’étendre la garantie légale à cinq ans pour l’électroménager.

Darty a de quoi se réjouir. Des écrans plats dans un magasin Darty à La Défense, en décembre 2007 (CHAMUSSY/SIPA) Vous achetez une machine à laver, elle est garantie deux ans. Normal : c’est la « durée légale de conformité ». Mais ce serait quand même dommage qu’elle tombe en panne au bout de deux ans et deux jours, vous souffle le vendeur. Un sénateur a tenté d’introduire dans la loi française une « durée légale de conformité » de cinq ans. Dans son projet de loi sur les droits des consommateurs qu’il a présenté ce 2 mai en conseil des ministres, point de référence à l’obsolescence ni aux extensions de garantie. Un impact sur le pouvoir d’achat Le ministre s’est dit « réservé » sur l’extension progressive de la garantie légale à cinq ans (au lieu de deux ans, donc).

Le taux de panne, un secret bien gardé « Avant, votre grosse télé durait quinze-vingt ans. Dyson. Chronique d'un paumé en caisse : l'arrivée. J'ai vingt-cinq ans et je suis caissier depuis environ deux ans, d'abord dans un hypermarché d'un coin plutôt touristique, puis dans un supermarché de Grenoble. Entrecoupées de quelques tentatives universitaires, ces deux expériences constituent ma seule qualification professionnelle, la seule ligne digne d'intérêt à placer dans mon CV. J'y suis arrivé un peu par hasard, comme la plupart de mes collègues je suppose, au détour d'une opportunité bienvenue (c'est-à-dire un piston) à un moment où il me fallait réellement trouver de quoi financer mon estomac affable.

Je déteste ce métier, certes, mais en attendant de trouver ma voie (si tant est qu'elle existe) je me résouds à y rester. Je déteste passer mes journées dans ce haut-lieu de la consommation qu'est le centre commercial, mais il y a foule d'autres métiers qui me répugneraient bien plus, alors je reste positif. Au moins, j'ai un travail. Nous ne sommes pas destinés à devenir les esclaves que nous sommes tous devenus. Chronique d'un paumé en caisse : la beauté sous les néons. Pour cette troisième, et vraisemblablement dernière, chronique, j'aimerais tenter, simplement, d'évoquer les raisons d'espérer qui m'ont été apportées, et qui me sont toujours apportées, en caisse. Les toutes premières semaines, encore. La période de Noël, dans l'hypermarché. L'obscénité se lit un peu partout, des slogans au brouhaha ambiant. Une véritable marée humaine se fracasse contre la ligne de caisse et le monde n'est plus qu'un grand bazard assourdissant au milieu duquel on ne distingue plus rien que des articles qui passent, encore et encore.

Découvrir ce capharnaüm hivernal est un choc immense, un moment surréaliste comme on en vit rarement. Je regarde un instant vers le plafond, et le découvre pour la première fois. Le reste, l'ambiance et la symbolique de Noël, la société, la consommation, le stress, n'apparait pas dans le plafond du hangar. Retour au brouhaha. Vers une consommation frugale. Alimentation : le budget des Français en hausse (sondage) Au pays de la gastronomie, on dépense chichement pour son alimentation. C'est le constat d'une enquête - "Le Sofinscope - Baromètre OpinionWay pour SOFINCO" - menée auprès de 1200 personnes entre les 6 et 7 mars. "Cette réduction du budget alimentation est une tendance de longue date, analyse Bruno Jeanbart, directeur général adjoint d'OpinionWay. Cela est lié à la baisse du coût de certains produits mais aussi à de nouvelles dépenses contraintes comme internet, les portables ou la hausse des loyers". Ainsi, avec la crise, 61% des Français estiment trop encombrant le poste alimentation dans leur budget, soit 396 euros en moyenne chaque mois, selon les personnes interrogées.

Une somme qui varient selon le niveau de vie. Les Français les plus aisés – plus de 3500 euros mensuels – déboursent 539 euros quand les plus modestes – moins de 1000 euros – se restreignent davantage, avec 222 euros. Rien ne se perd Résultat, c'est une véritable stratégie qui se met en place où rien ne se perd. Sociétés : Ces grandes marques qui profitent de la crise. Elles bénéficient de la perte de compétitivité des marques de distributeur et de la guerre des prix entre enseignes. Elles sont les grandes gagnantes de la crise. De Herta à Bénénuts en passant par Bonne Maman ou encore Nutella, une série de marques nationales ont réussi à tirer leur épingle du jeu, alors même que les Français se sont serré la ceinture.

Si les achats en hypers et supermarchés se sont tout juste maintenus l'an passé (+0,4% en volume), le rapport de forces a, en effet, été à l'avantage des grandes marques (+1%), au détriment des labels de distributeurs (-0,5%). Pour la première fois depuis près de dix ans, l'assortiment en marques nationales a même progressé dans les rayons. «Certaines enseignes ont sans doute pris conscience de la saturation de l'offre de marques de distributeurs, qui risquait d'affecter l'attractivité de certains rayons», analyse Jacques Dupré, directeur Insight chez SymphonyIRI. Une crise intégrée dans le quotidien Les Français reçoivent plus à la maison. Je n’ai (presque) rien contre l’UFC-Que Choisir. Plus de 8,7 millions de Digital Mums en France. Le profil de maman connectée avait déjà été identifié et mentionné dans diverses études ; WebMediaGroup et KR Media se penchent un peu plus sur la question afin de cerner les différents profils et types d’usages que recouvre cette tendance.

Des données à exploiter pour les publicitaires, dont la Digital Mum est la « nouvelle cible universelle », remplaçant la fameuse « ménagère de moins de 50 ans ». WebMediaGroup et KR Media ont tenté de mieux cerner le profil des mamans surfeuses suite à l’étude réalisée par WebMediaGroup avec Ipsos entre le 30 octobre 2010 et le 9 janvier 2011 auprès de 552 femmes internautes âgées de 18 ans et plus.

Qui sont les Digital Mums ? A noter que les statuts de « ménagère de moins de 50 ans » et de « Digital Mum » ne sont pas incompatibles, loin de là ! Le profil-type de la Digital Mum selon WebMediaGroup et KR Media ? Le deuxième groupe réunit les « Shopping Digital Mums », qui représentent 28% des mamans adeptes du numérique.

Journée des consomateurs

La schizophrénie du consommateur mangeur. Au secours, on nous trompe dans nos gamelles : pensez donc, on nous fait manger du cheval à la place du bœuf. Et si, au fond, on l’avait bien mérité ce «horsegate» ? Sans aller jusqu’à l’autoflagellation, cette affaire a le mérite de nous mettre le nez dans nos assiettes : on veut se mettre les pieds sous la table sans passer par les fourneaux tout en déboursant le moins d’argent possible. Certes le repas français, assis et en famille, résiste encore bien dans un monde qui mange de plus en plus sur le pouce mais le grignotage et le snacking se sont installés dans nos habitudes alimentaires alors que notre budget consacré à la nourriture n’a cessé de diminuer depuis un demi-siècle. Ainsi, sur la période 1959-2010, la part des dépenses d’alimentation (produits alimentaires et boissons non alcoolisées) dans la consommation des ménages a diminué, passant de 21,5% à 13,4%.

Prêt-à-manger. A l’ancienne. Jacky DURAND.