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Psycho

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Assertivité. L’assertivité, ou comportement assertif, est un concept de la première moitié du XXe siècle introduit par le psychologue new-yorkais Andrew Salter (en)[1] désignant la capacité à s’exprimer et à défendre ses droits sans empiéter sur ceux des autres.

Assertivité

Il a été développé plus récemment par Joseph Wolpe, psychiatre et professeur de médecine américain, qui le décrivait comme une « expression libre de toutes émotions vis-à-vis d’un tiers, à l’exception de l’anxiété ». Plusieurs ouvrages de vulgarisation ont été publiés dans la seconde moitié du XXe siècle pour faire la promotion de l’assertivité, en particulier dans le cadre du développement personnel[N 1]. Origines[modifier | modifier le code] Le mot assertivité vient de l’anglais assertiveness, substantif formé à partir du verbe « to assert » : affirmer, assertion, s’affirmer, défendre ses droits, défendre son opinion. Assertiveness peut se traduire en français par affirmation de soi. Définition[modifier | modifier le code] Bower S. CONTAGION – Les adolescentes fans de téléréalité seraient plus « méchantes » Les adolescentes fans de téléréalité sont plus enclines que les autres à juger la méchanceté et le mensonge comme de bons moyens pour parvenir à leurs fins, à en croire une étude réalisée par la trop méconnue "division recherche" des scouts féminines américaines.

CONTAGION – Les adolescentes fans de téléréalité seraient plus « méchantes »

Parmi les 1 141 filles âgées de 11 à 17 ans interrogées, 47 % ont déclaré regarder "régulièrement" des émissions de téléréalité. Ces téléspectatrices assidues sont 68 % à considérer qu'il est "dans la nature des filles" d'être méchantes et en compétition les unes avec les autres, une proportion qui tombe à 50 % chez leurs camarades moins passionnées par ce genre d'émissions. Elles sont également 78 % (contre 54 %) à considérer que la commérage est normal dans une relation entre filles, et déclarent à 63 % (contre 50 %) avoir du mal à avoir confiance dans les autres adolescentes.

Pour autant, ces jeunes filles, selon l'étude, se considèrent matures, intelligentes, amusantes et ouvertes. Cette entrée a été publiée dans Actualité. Cosmétique de la honte. TV lobotomie de Michel Desmurget. Ce livre, écrit par un chercheur en neurosciences, malgré son titre aguicheur laissant présager le pire, s’appuie sur des références (1193 références dont des livres grand public ne traitant pas directement du sujet, des articles de journaux à grand tirage, d’hebdomadaires, mais avec surtout des références d’articles de revues spécialisées pour chercheurs en neurosciences et médecins).

TV lobotomie de Michel Desmurget

Le style est alerte, acerbe. Le discours est très clair, soutenu par un plan rigoureux. Après un chapitre consacré à l’état des lieux, c’est-à-dire au temps passé par les enfants devant la télévision et à ce qu’ils y regardent, il explore au travers des trois autres chapitres les méfaits provoqués par la vision de la télévision, s’attachant surtout au public enfantin et adolescent.

Chapitre 1 : La télé en tout lieu et à toute heure Les parents n’exercent un contrôle que surtout avant 5-6 ans mais en s’intéressant plutôt au contenu qu’au temps passé (systématiquement minoré). Enfin, M. M. M. M. The Strange Powers of the Placebo Effect.