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« Star Wars VII » : comment J.J. Abrams fait languir les fans. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par William Audureau « Chewie, on est à la maison. » Vingt-deux ans après, Han Solo a donc repris la parole.

« Star Wars VII » : comment J.J. Abrams fait languir les fans

Pour s'adresser à son éternel fidèle, le très poilu Chewbacca, sous les traits vieillis de Harrison Ford, ultime clin d'œil de la seconde bande-annonce de Star Wars VII : Le réveil de la Force à la trilogie originale. Lire : La nouvelle bande-annonce du dernier Star Wars dévoilée A l'image du célèbre contrebandier, le réalisateur J.J. Abrams n'a pas manqué d'insister sur la familiarité entre « son » épisode de Star Wars et la trilogie originale, celle qui, près de quatre décennies après ses débuts, continue de nourrir l'imaginaire collectif et de faire vibrer les fans envers et contre la « prélogie » des années 2000, et ses nombreux choix scénaristiques discutés.

Faculté d'adaptation. David Fincher. Seven (film) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Seven (film)

Pour les articles homonymes, voir Seven. Le film est sorti aux États-Unis le 22 septembre 1995. Le film a engendré 327 millions de dollars au box office international. Seven est à la fois un succès commercial et critiques de la part de la presse spécialisée. Le fraîchement transféré David Mills fait équipe avec William Somerset, un officier de police judiciaire affecté aux homicides très proche de la retraite. Les policiers enquêtent sur une série de meurtres inspirés des sept péchés capitaux avec un homme de très forte corpulence retrouvé mort la tête dans son assiette de spaghetti, ses membres attachés aux montants d'une chaise et symbolisant la gourmandise .

Tracy Mills, la femme de David, est malheureuse d'avoir déménagé dans cette ville. En vérifiant les registres des bibliothèques, Somerset et Mills trouvent un suspect nommé John Doe, qui emprunte fréquemment des livres en rapport avec les sept péchés capitaux. Fight Club (film) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Fight Club (film)

Les droits du roman de Palahniuk sont achetés par 20th Century Fox et Fincher est engagé comme réalisateur en raison de son enthousiasme pour le projet. Il collabore étroitement avec Jim Uhls pour l'écriture du scénario et voit le film comme une métaphore du conflit existant entre une partie de la nouvelle génération et les valeurs véhiculées par la société de consommation et la publicité, délivrant un message volontairement ambigu qui laisse au spectateur le soin de l'interpréter. Il inclut également des éléments présents dans le roman pour provoquer un sentiment de malaise chez le public et détourner son attention du twist final dont bénéficie le film. À sa sortie, Fight Club est un échec commercial aux États-Unis mais réalise de meilleures recettes au niveau international. Fight Club (roman) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Fight Club (roman)

Le narrateur est un type insomniaque, jeune cadre dans une société automobile américaine, qui ne demande qu'une chose : sortir de son quotidien monotone. Au début, le narrateur incarne parfaitement le consommateur lambda de la société de consommation, garde robe remplie de marques de luxe, appartement meublé par une panoplie de meubles suédois, avec ceci, le narrateur se considère a priori « complet ». Toutefois, Il va rencontrer Tyler Durden, avec lequel il fonde le « Fight Club » après avoir perdu son appartement, incendié en réalité par ce même Tyler Durden. Le « Fight Club » est un club de combat clandestin où des jeunes se battent pour évacuer leur malaise. Le « Fight Club » permet de s'extirper de son quotidien monotone et de revendiquer sa propre existence, en cessant d'être docile et en ressentant la douleur des coups sans avoir peur.

Une édition accompagnée d'un épilogue est parue en 2006 (uniquement disponible en anglais). Gillian Flynn. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Gillian Flynn

Pour les articles homonymes, voir Flynn. Gillian Flynn Œuvres principales Biographie[modifier | modifier le code] Elle fait des études supérieures à l'Université du Kansas qu'elle poursuit à l'Université Northwestern, où elle obtient une maîtrise en journalisme. Œuvre[modifier | modifier le code] Romans[modifier | modifier le code] Sharp Objects (2006) Publié en français sous le titre Sur ma peau, traduit par Christine Barbaste, Paris, Éditions Calmann-Lévy, coll. « Calmann-Lévy suspense », 2007, 285 p.

Nouvelles[modifier | modifier le code] Adaptations cinématographiques[modifier | modifier le code] Récompenses[modifier | modifier le code] Festival du film de Hollywood 2014 : Hollywood Screenwriter Award pour Gone GirlOnline Film Critics Society Awards 2014 : Meilleur scénario adapté pour Gone GirlSt. Gone Girl. L'Étrange Histoire de Benjamin Button (film) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

L'Étrange Histoire de Benjamin Button (film)

L'Étrange Histoire de Benjamin Button (The Curious Case of Benjamin Button) est un film américain sorti en 2008 réalisé par David Fincher. L'histoire de Eric Roth et Robin Swicord est inspirée de la nouvelle du même nom datant de 1922 et écrite par F. Scott Fitzgerald. Le film met en scène un homme, incarné par Brad Pitt, qui naît vieux et qui rajeunit au fil des années, et Daisy, sous les traits de l'actrice Cate Blanchett, qui vit une histoire d'amour avec lui tout au long de sa vie. Le film est sorti en Amérique du Nord le 25 décembre 2008 et le 6 février 2009 au Royaume-Uni, et a reçu des critiques positives. The Social Network. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

The Social Network

The Social Network ou Le Réseau social au Québec[1] est un film américain de David Fincher, sorti en 2010. Le film a remporté trois trophées lors de la 83e cérémonie des Oscars. Le film revient sur la création du réseau social Facebook par Mark Zuckerberg et ses relations avec ses camarades de l'université Harvard. C'est l'adaptation de l'essai The Accidental Billionaires: The Founding Of Facebook, A Tale of Sex, Money, Genius, and Betrayal de Ben Mezrich, publié en 2009.

Le livre a été traduit chez Max Milo Éditions en janvier 2010 sous le titre La revanche d'un solitaire - La véritable histoire du fondateur de Facebook[2].