background preloader

Arme chimique

Facebook Twitter

Syrie : l'enquête du "Monde" au cœur de la guerre.

Attaques chimiques

OIAC : un Nobel qui consacre la stratégie du régime syrien ? Qui est l'OIAC, lauréate du prix Nobel 2013 ? Syrie : des "preuves flagrantes" de l'utilisation de gaz chimique. La Syrie a transmis les données sur son arsenal chimique. Syrie : un rapport accuse les deux camps de crimes. Armes chimiques en syrie: le faux dialogue de sourd entre Fabius et Lavrov sur la résolution de l'ONU et le recours à la force. SYRIE - Entre la Russie et la France, un dialogue de sourds semble s'être installé.

Armes chimiques en syrie: le faux dialogue de sourd entre Fabius et Lavrov sur la résolution de l'ONU et le recours à la force

Car depuis l'accord de Genève samedi où les Occidentaux et les Russes semblaient alignés sur le dossier syrien, les choses sont bien plus floues. Ainsi, les ministres des Affaires étrangères français et russe, Laurent Fabius et Sergueï Lavrov, ont tenu un discours totalement opposé à la sortie d'une rencontre à Moscou. Armes chimiques en Syrie : le rapport de l'ONU parle de "preuves flagrantes" d'utilisation de gaz sarin. SYRIE - Les experts de l'ONU qui ont enquêté en Syrie ont trouvé des "preuves flagrantes et convaincantes" de l'utilisation de gaz sarin lors du massacre du 21 août près de Damas, indique leur rapport .

Armes chimiques en Syrie : le rapport de l'ONU parle de "preuves flagrantes" d'utilisation de gaz sarin

La première page de ce rapport, remis dimanche au secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon et qui doit être présenté lundi au Conseil de sécurité, ajoute que des armes chimiques ont été utilisées "sur une échelle relativement grande" au cours du conflit syrien "contre des civils y compris des enfants". Le document précise que l'attaque du 21 août, qui a fait plus de 1400 morts selon Washington, a été perpétrée à l'aide de "roquettes sol-sol contenant du gaz sarin". Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a quant à lui qualifié lundi l'utilisation d'armes chimiques en Syrie, attesté par ce rapport, de "crime de guerre", selon des diplomates. La Syrie a fourni la liste de ses armes chimiques. Armes chimiques en Syrie : il faudra un an et un milliard de dollars pour les détruire selon Assad.

SYRIE - Le président syrien Bachar al-Assad a assuré sur une télévision américaine que son pays détruirait son énorme arsenal chimique, une opération qui coûtera un milliard de dollars et prendra au moins un an.

Armes chimiques en Syrie : il faudra un an et un milliard de dollars pour les détruire selon Assad

Cet entretien, réalisé mardi à Damas et diffusé mercredi soir par la chaîne FoxNews, a montré un président Assad visiblement sûr de lui, au moment où le Conseil de sécurité de l'ONU débat d'une résolution qui pourrait prévoir l'usage de la force si le régime syrien ne respecte pas un plan de démantèlement de ses armes chimiques agréé le 14 septembre par Moscou et Washington. Sur son compte Instagram, la présidence syrienne a largement communiqué autour de cette interview. Ici, le président syrien avec un sénateur américain et un correspondant de Fox News. La Syrie disséminerait ses armes chimiques dans le pays. Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le La Syrie a commencé à disséminer son arsenal chimique sur une cinquantaine de sites différents, dans le but de compliquer la tâche de ceux appelés à les contrôler, affirme vendredi 13 septembre le Wall Street Journal.

La Syrie disséminerait ses armes chimiques dans le pays

Le journal, qui cite des responsables américains anonymes, affirme qu'une unité militaire spécialisée, l'unité 450, déplace depuis des mois, et jusqu'à la semaine dernière, ces stocks d'armes chimiques, qui dépassent le millier de tonnes, selon des experts. La communauté internationale accentue ses pressions sur Damas. Washington presse Damas de dévoiler son arsenal chimique.

Rony Brauman : "Les frappes ciblées s'imposent car Al-Assad a franchi un palier symbolique" Un djihadiste américain en Somalie se confie sur Twitter. Un djihadiste américain en rupture de ban avec les shebab somaliens et recherché par le FBI, Omar Shafik Hammami, continue de prôner la lutte contre les Etats-Unis tout en dialoguant sur Twitter avec des spécialistes de l'antiterrorisme, a rapporté jeudi 4 avril un blog spécialisé.

Un djihadiste américain en Somalie se confie sur Twitter

Dans un entretien réalisé sur twitter avec Danger Room, le blog spécialisé du magazine Wired, Hammami, aussi connu sous le nom d'Abou Mansour Al-Amriki, raconte sa vie en Somalie, où il est menacé de mort par les shebab, tout en figurant sur la liste des dix terroristes les plus recherchés par le FBI. Ancien propagandiste des islamistes somaliens, le jeune homme de 28 ans originaire de l'Alabama (sud des Etats-Unis) s'est fait connaître en diffusant sur Internet des morceaux de rap dans lesquels il chante en anglais a capella des morceaux à la gloire du djihad.

Il assure rester en outre partisan du djihad : "Notre mission en tant que musulmans est d'établir la charia partout sur la terre, le califat. Des "preuves flagrantes" de l'utilisation de gaz sarin en Syrie. Le désarmement chimique de la Syrie, "un cas unique dans l'histoire moderne" Mission de l'ONU en Syrie : l'enquête débute, les doutes persistent.

Démanteler l'arsenal chimique syrien ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Olivier Lepick (Chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique) La diplomatie russe vient peut-être de bouleverser l'agenda du dossier chimique syrien.

Démanteler l'arsenal chimique syrien ?

Elle s'est engouffrée, lundi 9 septembre, dans ce que certains qualifient déjà, à Paris et à Washington, de "bourde" de John Kerry, le secrétaire d'Etat américain, qui, répondant à la question d'un journaliste britannique, a affirmé que la Syrie pourrait éviter des frappes en plaçant son arsenal chimique sous contrôle international.

La proposition russe d'engager le désarmement, aussitôt favorablement accueillie par Damas qui, il y a quelques jours encore, ne reconnaissait officiellement pas la possession d'un programme chimique militaire, est particulièrement habile dans la mesure où elle revêt en apparence, mais en apparence seulement, les oripeaux du bon sens et de la raison. Il faudrait tout d'abord que Damas reconnaisse officiellement la possession d'un arsenal chimique militaire. Armes chimiques : Washington salue les propositions "très précises" de la Russie. Syrie : on ne pourra plus dire que l'on ne savait pas. L'édito du "Monde". La preuve en est désormais apportée. De manière scientifique et irréfutable. Des armes chimiques ont bel et bien été employées en Syrie : des agents de la catégorie des substances prohibées par la convention sur l'interdiction des armes chimiques, datant de 1993.

Le régime de Bachar Al-Assad a eu recours, lors d'attaques contre l'opposition armée et la population dans laquelle celle-ci se fond, à des gaz toxiques contenant du sarin, puissant neurotoxique. Syrie : l'opposition parle de "massacre", l'ONU se réunit en urgence. Syrie : "Cela ressemble très fortement à une intoxication par un neurotoxique"

Syrie : l'armée accusée de bombardements massifs et d'attaques chimiques. Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le Des opposants syriens accusent le régime Assad d'avoir utilisé des armes chimiques sur des zones tenues par les rebelles dans l'est de Damas lors de bombardements massifs menés mercredi 21 août.

Syrie : l'armée accusée de bombardements massifs et d'attaques chimiques

Plusieurs quartiers, notamment ceux d'Hammouriya, la Ghouta, Moudamiya, Zamalka et Arbin, sont visés par des tirs d'obus depuis l'aube. Le comité de coordination locale, une ONG présente sur place, affirme que plusieurs dizaines de cadavres présentant des signes de mort par inhalation de gaz toxiques ont été apportés dans des hôpitaux de campagne autour de la capitale.

"De nombreuses victimes sont des femmes et des enfants, a déclaré Bayan Baker, une infirmière d'un centre médical à une dizaine de kilomètres de Damas, citée par Reuters. Ils sont arrivés avec leurs pupilles dilatées, des membres glacés et de la mousse dans leur bouche". Comment "Le Monde" a obtenu des preuves de l'usage d'armes chimiques. Le journaliste Jean-Philippe Rémy et le photographe Laurent Van der Stockt ont passé deux mois sur le front syrien.

Comment "Le Monde" a obtenu des preuves de l'usage d'armes chimiques

Témoins durant leur séjour d'attaques chimiques dans le quartier de Jobar, à Damas, ils ont récolté auprès de médecins syriens des échantillons prélevés sur des victimes de ces attaques. Ces échantillons ont été confiés aux autorités françaises ; le centre de recherche du Bouchet, qui dépend de la Direction générale de l'armement (DGA), étant le seul laboratoire en France capable de réaliser les analyses nécessaires. Mardi 4 juin, le ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, a affirmé que, selon des analyses françaises réalisées sur deux séries de prélèvements, dont ceux du Monde, du gaz sarin a bien été utilisé "avec certitude à plusieurs reprises et de façon localisée" en Syrie. Jean-Philippe Rémy, envoyé spécial du Monde pendant deux mois en Syrie, a répondu à vos questions sur les preuves d'un usage d'armes chimiques sur le front.

Chat modéré par Hélène Sallon. Syrie : l'enquête du "Monde" au cœur de la guerre. Syrie : l'opposition parle de "massacre", l'ONU se réunit en urgence. Syrie : l'armée accusée de bombardements massifs et d'attaques chimiques. Le président iranien reconnaît l'utilisation d'armes chimiques en Syrie. Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le Selon Médecins sans frontières (MSF), 355 patients "présentant des symptômes neurotoxiques" sont morts en Syrie dans des hôpitaux aidés par l'organisation non gouvernementale, où près de 3 600 personnes sont traitées depuis le 21 août.

Le président iranien reconnaît l'utilisation d'armes chimiques en Syrie

"Les symptômes qui nous ont été rapportés, le schéma épidémiologique de cet événement – caractérisé par l'afflux massif de patients dans un laps de temps très court, la provenance des patients et la contamination des secouristes et du personnel ayant fourni les premiers soins – suggèrent fortement l'exposition massive à un agent neurotoxique", a précisé MSF dans un communiqué publié samedi 24 août. Syrie: dans le brouillard de la guerre chimique. Tous les acteurs syriens de premier plan -et tous leurs principaux soutiens- sont désormais d'accord sur un point: des armes chimiques ont bel et bien été utilisées pendant l'actuelle guerre civile.

Syrie: dans le brouillard de la guerre chimique

On parle aujourd'hui d'une série d'attaques au gaz innervant survenues au printemps dernier; et pourtant, à certains égards, le voile de mystère qui entoure ces évènements n'a fait que s'épaissir. Pour les analystes du renseignement américain, ces attaques non conventionnelles demeurent un véritable casse-tête, tant sur le plan du but recherché que sur celui de la tactique employée.

«Je suis vivante»: si vous ne deviez voir qu'une vidéo des attaques chimiques en Syrie. Dans la nuit du mardi 20 au mercredi 21 août, une très violente attaque a été menée par l’armée syrienne dans la banlieue de Damas. Des zones tenues par les rebelles ont été bombardées, en particulier les quartiers d’Hammouriya, la Ghouta, Moudamiya, Zamalka et Arbin. L’opposition avance le chiffre de 1.300 morts, et accuse le régime d’avoir utilisé des armes chimiques.

De nombreuses photos et vidéos nous sont parvenues, montrant des personnes asphyxiées dans des centres médicaux et des dizaines de corps dans des morgues de fortune, sans blessure apparente. publicité Ces images sont d’une violence extrême. Vous n’y trouverez ni explosion ni bain de sang, mais seulement l’insurmontable panique, devenue ordinaire en Syrie, d’une fillette qui vient de perdre ses parents, et qui se touche le visage pour s’assurer qu’elle est encore là, elle. À lire aussi sur Slate.fr. Un médecin à Damas : "Je savais que ces personnes allaient mourir" LE MONDE | • Mis à jour le | Par Hélène Sallon "On entendait des bombardements continus et lointains dans la Ghouta-Est [une zone agricole en bordure orientale de Damas]. A trois heures du matin, une roquette a explosé près de notre hôpital de campagne. Les gens se sont mis à courir dans la rue et à crier "chimique, chimique". Certains gisaient au sol, inanimés.

Des personnes tiraient les corps de leurs proches hors des immeubles. Dans la nuit du mercredi 21 août, il était venu en renfort d'une petite équipe de six permanents, des étudiants en médecine pour la plupart, d'un centre médical clandestin du quartier de Zamalka. Armes chimiques en Syrie : l'ONU va pouvoir enquêter. Syrie : les inspecteurs de l'ONU ont recueilli des échantillons. Avec l'accord donné par le régime de Bachar Al-Assad, dimanche, les inspecteurs de l'ONU ont finalement pu commencer à enquêter et à prélever des échantillons, lundi 26 août, sur l'un des sites touchés par une présumée attaque chimique de grande ampleur mercredi, dans la banlieue de Damas. Cette première journée a failli tourner court quand la première des cinq voitures du convoi escorté par des services de sécurité a été prise pour cible par des tireurs embusqués.

Les autorités syriennes et les rebelles se sont accusés mutuellement d'être à l'origine de ces tirs. Les enquêteurs sont parvenus sains et saufs à un point de contrôle tenu par le gouvernement, puis sont retournés dans la zone après avoir changé de véhicule, selon l'Organisation des Nations unies. Syrie: dans le brouillard de la guerre chimique. Armes chimiques en Syrie: les 4 articles à lire. Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne ont reconnu pour la première fois jeudi 25 avril que le régime syrien avait probablement utilisé des armes chimiques. Voici les quatre articles à lire sur le sujet ce vendredi: 1. L’annonce Le Washington Post revient sur l’annonce faite par le gouvernement américain: publicité «L’administration Obama a déclaré jeudi que le gouvernement syrien a probablement utilisé des armes chimiques à petite échelle contre les forces rebelles, mais il n’a pas menacé d’une action militaire contre le président Bachar el-Assad.

Les nouvelles découvertes, qui ont été faites au cours des 24 heures avant l’annonce selon la Maison Blanche, font écho aux affirmations de la Grande-Bretagne et de la France de la semaine dernière selon lesquelles il y a des preuves de l’utilisation d’armes chimiques à petite échelle à plusieurs reprises au cours des derniers mois.