Lance toujours aussi strong ? | La prolong' de Patrick Montel. Lance Armstrong jette l’éponge ! Voilà une attitude qui assurément ne lui ressemble pas. Le cycliste américain durant toute sa vie s’est nourri de l’imagerie des guerriers valeureux, des héros encerclés par les hordes ennemies. Blessés, un genou à terre, mais toujours décidés à combattre pour renaître et mériter à la fin la reconnaissance émue de ses pairs. Si l’histoire de ce coursier moderne a touché au cœur tant de personnes de par de la monde, c’est que sa réalité comportait jusqu’ici parfaitement les ingrédients indispensables aux succès des scénarii hollywoodiens. Happy end y compris. Des débuts prometteurs, une maladie mortelle, un mental d’acier, une résurrection miraculeuse et une domination implacable mise au service d’une cause noble.
Un collègue journaliste me racontait l’invraisemblable dévotion dont LA faisait l’objet parmi les malades outre-atlantique. L’entêtement de l’USADA, l’agence américaine anti-dopage modifie considérablement la donne. On ne peut pas plaire à tout le monde - Roue Libre. Billet précédent Billet suivant Si vous ne l'avez pas encore fait, je vous conseille de jeter un oeil à l'interview accordée en début de semaine dernière par Thomas Voeckler au journal L'Equipe. L'Alsacien s'y livre avec franchise. Jamais il n'avait aussi clairement énoncé de façon publique ce qui n'était qu'un secret de polichinelle dans le milieu: adoré par les gens, Voeckler n'est pas aimé de ses collègues. Et c'est un euphémisme. En fait, Voeckler est aussi populaire sur le bord des routes qu'il ne l'est pas à l'intérieur du peloton. C'est dire. Quand il dit que " ", Voeckler n'est en effet probablement pas loin de la vérité, tant cette opinion à son sujet parait effectivement largement répandue.
Mais, plus édifiant encore, il est aussi impopulaire auprès d'une bonne partie des coureurs français, surtout ceux de sa génération. Sauf que personne n'a jamais empêché qui que ce soit de porter 20 fois le maillot jaune ou d'être deux fois champion de France. {*style:<b>Laurent VERGNE </b>*} 21 virages vers l'Alpe d'Huez. Tour de France : des retombées économiques importantes. Tour de France en Lorraine Ca coûte, mais ça rapporte ! Par Arnaud DEMMERLé • Journaliste de La Semaine • 06/07/2012 à 17h26 Ticket d'entrée, aménagements routiers, sécurité… La facture acquittée par les collectivités lorraines pour le passage du Tour de France est lourde.
Mais les retombées économiques, si elles demeurent toujours difficiles à chiffrer, sont sans commune mesure. Il n’y a pas que le Loto qui peut rapporter gros ! Il y a aussi le Tour de France. Et se presse le peloton des élus locaux, ceux qui ne foncent pas tête baissée lorsque l’organisateur de l’épreuve, Amaury Sport Organisation (ASO), donne son feu vert pour un départ d’étape à 55 000 euros, une arrivée à 90 000 euros, voire un grand départ (2,5 millions d’euros pour le Tour 2010 à Rotterdam et 1,2 million pour la Vendée en 2011). 343 euros dépensés par les touristes Cet article est paru le 5 juillet dans l'hebdomadaire La Semaine n° 379 à Metz. Le cyclisme en ligne, votre magazine d'actualité cycliste.
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