En temps de crise à quoi sert la culture? Par Michel Duffour. En temps de crise, à quoi sert la culture ? Par Jean-Jacques Aillagon. La question « À quoi sert la culture ? » est paradoxale. Elle pourrait donner à penser que ne servant à rien ou à peu de chose, la culture pourrait, en temps de crise, être délaissée et reléguée dans un recoin de l’attention des sociétés, dans l’attente de jours meilleurs. Cela voudrait bien dire qu’elle est un superflu, une sorte d’ornement, réservé aux temps de tranquillité et de prospérité, un divertissement, un loisir oisif. Quelle erreur ! Que nous donne à constater l’Histoire ? Tout d’abord qu’il n’y a pas d’humanité sans culture, que les temps soient limpides ou obscurs, prospères ou menaçants, paisibles ou agités.
La culture, c’est ce qui distingue justement une société humaine et donc la condition humaine d’états plus sommaires du vivant. La culture peut alors devenir à la fois le symptôme et le moteur du renouveau d’une société. Lire aussi la contribution de Michel Duffour sur le même thème. Entrée libre et gratuite sur inscription. Inscription par téléphone : 04 97 13 46 10. A la tête du Louvre depuis 12 ans, Henri Loyrette quittera le musée en avril - Flash actualité - Culture - 17/12. Culture-acte 2 / Répertoire / Politiques ministérielles / Accueil / www.culturecommunication.gouv.fr / Ministère - Ministère de la culture.
Art & culture.
Peinture. Le budget culturel de l’année 2013 a été annoncé. Paris, le 3 octobre 2012. Art Media Agency (AMA). Le ministère de la culture et de la communication a récemment annoncé son budget alloué pour l’année 2013 : 7,363 milliards d’euros de crédits seront ainsi destinés à la culture et à la communication. 3,55 milliards d’euros serviront aux secteur de la culture (musée, patrimoine, archéologie, etc.) et 3,83 milliards d’euros seront fournis aux acteurs du secteur de l’audiovisuel public.
On constate une baisse de 2,3 % par rapport à l’ensemble du budget de l’année 2012, soit une baisse de 4,3 % pour mission Culture uniquement. Une baisse justifiée et justifiable selon la ministre Aurélie Filippetti qui affirme que le gouvernement s’engage lui aussi directement à lutter contre la crise en redressant les comptes publiques. Le plus gros de ce nouveau budget culturel, ou du moins la partie qui fait le plus de débat et qui diffère clairement des plans de l’ancien gouvernement est le crédit alloué au secteur du patrimoine.
Ce que Disney nous a vraiment appris | madmoiZelle.com. Pondu dans la joie et l'allégresse par Jack Parker le 13 juin 2011 La plupart d’entre nous ont été bercées par les dessins animés Disney. Hé mais maintenant qu’on est grandes, si on se penchait sur les messages qu’ils véhiculent ? Quand on est gamin, toutes les histoires qu’on nous raconte doivent comporter une partie « morale finale », de manière à nous apprendre quelque chose. Que ce soit par le drame ou par l’heureux dénouement, il est quasiment impossible d’échapper à la petite leçon de fin d’histoire qui, dans l’idéal, doit nous hanter toute notre vie et nous aider à nous construire de façon équilibrée. Ça va du simple « soit gentil avec papa-maman » au « si ta vie est pourrie, n’aie crainte, tout finira par s’arranger ». Et chez Disney, ils ont simplement repris toutes les histoires qui ont bercé des millions d’enfants à travers les siècles pour en faire des films fondateurs, que nous citons encore vingt ans plus tard.
Les rêves se réalisent ! L’amour vaincra toujours ! Et si Albrecht Dürer avait eu un Tumblr ? Un détour par la Renaissance, quand les œuvres des artistes étaient recopiées par la gravure : voici ce que nous propose Calimaq dans cette chronique pour mieux éclairer les problèmes actuels du droit d'auteur. Et in fine trouver des pistes de solutions pour réconcilier tous les partis. Imaginons un instant que le peintre et graveur Albrecht Dürer soit soudainement transporté depuis la Renaissance jusqu’à notre époque et que pour diffuser ses œuvres, il décide d’ouvrir un profil sur la plateforme de microbbloging Tumblr… L’hypothèse peut paraître un brin saugrenue, mais une telle manipulation de l’espace-temps constituerait une expérience fascinante. Car Dürer fut l’un des artistes les plus copiés en son temps et il était particulièrement susceptible vis-à-vis des reproductions de ses créations réalisées sans autorisation, notamment ses gravures.
Malheur à toi, voleur du travail et du talent d’autrui. Garde-toi de poser ta main téméraire sur cette œuvre. Monograms of Albrecht Dürer.
Corrida. L’art abstrait a un sens. Saurez-vous le retrouver ? Plusieurs lecteurs de ma chronique Improbablologie, ayant du mal à supporter l'arrêt estival du supplément "Science & Techno" du Monde dans lequel elle est publiée, m'ont fait part de leur détresse et de leur sensation de manque. En attendant que la chronique reprenne, il y aura donc un zeste de science improbable chez le Passeur... L'affaire avait fait du bruit outre-Manche dans le monde de l'art : en 2008, dans une exposition consacrée au peintre américain Mark Rothko à la Tate Modern, deux des œuvres avaient été accrochées dans le mauvais sens.
L'article que le Telegraph avait à l'époque consacré à ce fait divers n'était pas dénué d'un certain comique involontaire, puisqu'il racontait que ces toiles n'avaient cessé, tout au long de leur histoire, d'alterner les orientations, debout ou couchées, au point que le journaliste finissait par se demander si Rothko lui-même avait bien su dans quel sens il préférait les voir... La réponse se trouve ici.
Eurovision 12. Cannes 12 / Y a-t-il vraiment des comédies sur la Croisette ? - Festival de Cannes.