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MYTHES

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Kumbh Mela. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Haridwar, 14 avril 2010 : des pèlerins se rassemblent à Haridwar pour le dernier jour de baignade sainte. Arrêt sur image du film documentaire "Amrit nectar d’immortalité"[1]. La Kumbh Mela ou Kumbha Mela (en hindi कुम्भ मेला (kumbh mēlā), littéralement « fête de la cruche ») est un pèlerinage hindou organisé quatre fois tous les douze ans et qui a lieu, à tour de rôle, dans les villes saintes de Prayag (le nom hindou d'Allahabad dans l'Uttar Pradesh), Haridwar (Uttaranchal), Ujjain (Madhya Pradesh) et Nashik (Maharashtra)[2]. Tous les douze ans a lieu la Purna Kumbh Mela, ou grande Kumbh Mela, à Prayag. Plusieurs millions de personnes y prennent part ce qui en fait probablement le plus grand pèlerinage du monde.

Les estimations considèrent que lors de la Purna Kumbh Mela en 2001, 70 millions de personnes se sont succédé sur les rives du Gange en trois semaines. Origines historiques[modifier | modifier le code] Dates des Kumbh Mela : Le Joueur de flûte de Hamelin. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La plus vieille image du joueur de flûte, copiée sur le vitrail d'une église de Goslar Le conte[modifier | modifier le code] En l'année 1280, en la ville d'Hamelin vint un joueur de flûte : un dératiseur. En ce temps là, la ville était envahie par les rats et les habitants mouraient de faim. Le maire de Hamelin promit au joueur de flûte une prime de mille écus pour les débarrasser des rats qui infestaient la ville. L'homme prit sa flûte et, par sa musique, attira les rats qui le suivirent jusqu'à la Weser, la rivière qui arrose la ville, où ils se noyèrent.

Bien que la ville fût ainsi libérée des rongeurs, les habitants revinrent sur leur promesse et refusèrent de payer le joueur de flûte en le chassant à coup de pierres. Il quitta le pays, mais revint quelques semaines plus tard. Origines[modifier | modifier le code] Ce vitrail est généralement considéré comme ayant été créé en mémoire du tragique événement qui serait survenu dans la ville. Thésée. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Héros fondateur, à l'instar de Persée ou Héraclès, Thésée est vénéré par les Ioniens et est considéré par les Athéniens comme leur grand réformateur : roi mythique d'Athènes, il est rendu responsable de l'unification politique de l'Attique sous la domination athénienne[1]. Son règne marque aussi une période de paix avec les Thessaliens et les Béotiens[2]. En tant que roi unificateur, Thésée est censé avoir construit et occupé un palais de la forteresse de l'Acropole, qui peut avoir été semblable au palais excavé de Mycènes.

Le géographe Pausanias rapporte qu'après le synœcisme, Thésée a établi un culte de l'Aphrodite Pandémos (« de tout le peuple ») et Péitho sur le versant sud de l'Acropole. Dans Les Grenouilles, Aristophane lui attribue l'invention de nombreuses traditions athéniennes, dont celle de la consécration de la chevelure des éphèbes. Son exploit le plus célèbre et sa légende donnent lieu à de nombreuses interprétations. Le mythe. Énéide. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’Énéide (en latin : Aeneis, mot de forme grecque, génitif : Aeneidos) est une épopée de Virgile, le plus prestigieux exemple de ce genre littéraire en langue latine, composée en hexamètres dactyliques. De même que l’Iliade et l’Odyssée — dont l’Énéide s'inspire largement —, l’ouvrage a suscité l’admiration de générations de lettrés de l’Antiquité jusqu’à nos jours et fut une source d’inspiration récurrente pour les artistes et les poètes.

Composition et résumé[modifier | modifier le code] L'épopée est composée de douze chants. Son organisation a été analysée de plusieurs manières. Dans la première partie, Virgile raconte les voyages d'Énée après la chute de Troie, jusqu’à son arrivée dans le Latium en Hespérie selon le destin des vœux des dieux pour fonder la nouvelle Troie. Chant I[modifier | modifier le code] Les Troyens mettent alors pied à terre en Libye, et partent chasser. Chant IV : Amours d’Énée et Didon[modifier | modifier le code] Jean Buridan. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean Buridan, en latin Joannes Buridanus (1292 - 1363), philosophe français, docteur scolastique, fut l'instigateur du scepticisme religieux en Europe.

Il fut, en Occident, le redécouvreur de la théorie de l'impetus, vers 1340[1]. Son nom est plus fréquemment connu pour l'expérience de pensée dite de l'âne de Buridan. Une légende, propagée jusqu'au XXIe siècle par la Ballade des dames du temps jadis de François Villon, l'associe à tort à l'affaire de la tour de Nesle.

Biographie[modifier | modifier le code] Né probablement à Béthune, il étudia à l'université de Paris sous la direction du philosophe scolastique Guillaume d'Occam et fut un ardent nominaliste. Il enseigna la philosophie à Paris et fut élu deux fois recteur de l'Université de cette ville en 1328 et 1340. Contrairement au cursus ordinaire pour une carrière en philosophie, il choisit d'étudier les arts libéraux plutôt que la théologie. Chez Buridan[modifier | modifier le code] Dune (roman) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sur les autres projets Wikimedia : Dune, sur Wikiquote L’histoire débute en l’an 10191 après la création de la Guilde spatiale.

L’empereur Shaddam IV exerce son pouvoir féodal[3] sur tout l’univers connu. L’humanité a conquis une grande étendue de l’univers, notamment grâce à une mystérieuse substance dénommée « Épice » ou « Mélange ». On ne trouve l'Épice que sur la planète Arrakis, la planète des sables que ses habitants, les Fremens, appellent « Dune ». Le Duc Leto de la Maison Atréides règne sur Caladan, une planète agricole et océanique. Paul, le fils de Leto et sa concubine, Jessica, est formé par les meilleurs guerriers de l’Empire (Thufir Hawat, Duncan Idaho, Gurney Halleck) à l’art du combat (au couteau car c’est l’arme la plus efficace depuis l’invention du bouclier).

L’Empereur confie la planète Arrakis, jusqu'alors fief de la Maison Harkonnen, à l'ennemi héréditaire de celle-ci, la Maison Atréides. Place dans le cycle de Dune Notes. Silène (mythologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Silène. Dans la mythologie grecque, Silène (ou Papposilène) (en grec ancien Σειληνός / Seilênós) est un satyre, père adoptif et précepteur du dieu Dionysos, qui l'accompagne sans cesse. Il est en outre le dieu personnifiant l'Ivresse, assez proche en ce sens de deux autres divinités mineures faisant l'une et l'autre partie du cortège de Dionysos, Comos (la bonne Chère) et Coros (la Satiété), qu'Hérodote[1] fait naître d'Hybris (la Démesure).

Il est censé avoir participé à la gigantomachie. On lui attribue, de pair avec Marsyas, l'invention de la flûte, ainsi que l'invention d'une danse particulière, qu'on nomme en son honneur la silène. Il est également le héros d'un certain nombre de contes burlesques, où son penchant pour le vin le mène à déambuler, ivre, parmi les mortels. Silène ivre accompagné par deux jeunes gens, stamnosétrusque, vers 300 av. Litra en argent de Sicile représentant un Silène Satyre.