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Frédéric Lordon, "Capitalisme, désir et servitude", 1 de 2

Frédéric Lordon, "Capitalisme, désir et servitude", 1 de 2
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Combien gagnent vos artistes préférés par seconde ? Posté le 16 Janvier 2015 à 13h49, par Thirsty Le site américain Skyrange a eu l'idée assez saugrenue de calculer les sommes que perçoivent les artistes...par seconde ! Tous ces résultats sont basés sur les sommes touchées par les artistes en 2014. Et c'est Dr. Dre qui dépassent largement ses compatriotes avec 19.66 dollars par seconde, suivi par Justin Bieber avec 2.54 dollars. Pas mal pour un jeune né en 1994. Dre gagne 19.66 dollars par seconde avec un revenu total de 620 millions de dollars en 2014. Justin Bieber gagne 2.54 dollars par seconde avec un revenu total de 80 millions de dollars en 2014. Jay Z gagne 1.90 dollar par seconde avec un revenu total de 60 millions de dollars en 2014. Diddy gagne 1.90 dollar par seconde avec un revenu total de 60 millions de dollars en 2014. Rihanna gagne 1.52 dollar par seconde avec un revenu total de 48 millions de dollars en 2014. J-Lo gagne 1.17 dollar par seconde avec un revenu total de 37 millions de dollars en 2014.

Le Japon met un terme à sa politique pacifiste vieille de 70 ans Le parlement japonais vient de mettre fin à plus de 70 ans de politique pacifiste en adoptant une série de lois qui ouvrent la possibilité d’une intervention militaire à l’étranger. Le Japon s’ouvre ainsi au risque de devoir intervenir militairement partout dans le monde pour soutenir son principal allié : les États-Unis. Selon l’opposition, les lois fraichement adoptées par le gouvernement japonais entrent en contradiction directe avec leur Constitution fondamentalement pacifiste. En effet, son article 9, votée le 3 novembre 1946 sous l’occupation américaine, interdit au Japon d’user de la force militaire sous aucun prétexte : « Aspirant sincèrement à une paix internationale fondée sur la justice et l’ordre, le peuple japonais renonce à jamais à la guerre en tant que droit souverain de la nation, ou à la menace, ou à l’usage de la force comme moyen de règlement des conflits internationaux. » (source). Photographie : Guillaume Bression pour le Guardian

Les 1 % les plus riches posséderont bientôt la moitié de la richesse mondiale L'ONG Oxfam publie, lundi 19 janvier, une nouvelle étude, consultable en ligne, révélant l'ampleur des inégalités dans le partage des richesses sur la planète. Selon ses calculs, réalisés à partir de données fournies par le Crédit Suisse, la richesse cumulée des 1 % les plus riches de la planète dépassera bientôt celle détenue par les 99 % restants. Selon Oxfam, « la part du patrimoine mondial détenu par les 1 % les plus riches était passée de 44 % en 2009 à 48 % en 2014, et dépasserait les 50 % en 2016 ». Cela signifie que s'ils continuent à s'enrichir, ils posséderont plus que l'ensemble des autres habitants de la planète réunis. La publication de cette étude intervient à quelques jours de l'ouverture, mercredi, du forum économique mondial de Davos (Suisse), coprésidé par la directrice générale d'Oxfam, Winnie Byanyima. « Le fossé entre les grandes fortunes et le reste de la population se creuse rapidement », poursuit-elle.

News I boycott Ils veulent révolutionner le boycott citoyen ! Deux jeunes français développent une plateforme participative pour boycotter collectivement les entreprises qui accumuleraient des responsabilités dans la crise éco-sociale que nous traversons. Ce projet étonnant, c’est : I-boycott. Il ne s’écoule pas une semaine sans qu’une industrie, une marque ou un produit ne fasse la une d’un média pour un scandale quelconque : pollutions, accidents industriels, viol des droits du travail, accaparement des terres, rejets dans les océans, la liste des externalités du développement non-durable est longue. Rendre le boycott efficace ? Le boycott individuel peut être efficace quand il est suivi par un nombre conséquent de personnes. « Les consommateurs peuvent changer le comportement des entreprises car ils sont le cœur du système. » expliquent les porteurs du projet sur kisskissbankbank. L’histoire de deux jeunes français

Thomas Piketty ou le pari d’un capitalisme à visage humain, par Russell Jacoby (Le Monde diplomatique, août 2014) L’ouvrage de Thomas Piketty Le Capital au XXIe siècle (Seuil, 2013) est un phénomène sociologique autant qu’intellectuel. Il cristallise l’esprit de notre époque comme, en son temps, The Closing of the American Mind, d’Allan Bloom (1). Ce livre, qui dénonçait les études sur les femmes, le genre et les minorités dans les universités américaines, opposait la « médiocrité » du relativisme culturel à la « recherche de l’excellence » associée, dans l’esprit de Bloom, aux classiques grecs et romains. Même s’il eut peu de lecteurs (il était particulièrement pompeux), il alimentait le sentiment d’une destruction du système éducatif américain, voire de l’Amérique elle-même, par la faute des progressistes et de la gauche. Ce sentiment n’a rien perdu de sa vigueur. L’ouvrage vient ainsi traduire une inquiétude palpable : la société américaine, comme l’ensemble des sociétés du monde, serait de plus en plus inique. Pour certains à gauche, il n’y a là rien de nouveau.

Starbucks et Subway, l’illusion des fast-foods nouvelle génération, par Benoît Bréville (Le Monde diplomatique, août 2015) Derrière le café éthique et le sandwich diététique Mois après mois, les ventes de McDonald’s s’effondrent. Associée à la malbouffe et à l’obésité, la multinationale pâtit également de la concurrence de marques qui se présentent comme différentes : elles proposeraient des aliments naturels, traiteraient leurs employés avec respect, favoriseraient le commerce équitable, etc. par Benoît Bréville Aperçu Coincé entre une banque et une boutique de prêt-à-porter, le restaurant Subway de la porte d’Orléans à Paris affiche complet en ce lundi de juillet. En remontant l’avenue du Général-Leclerc, après avoir croisé un Buffalo Grill, un autre Subway, un McDonald’s et un Burger King, on tombe sur la vaste baie vitrée et le logo en forme de sirène du Starbucks d’Alésia. Subway et Starbucks. Taille de l’article complet : 4 720 mots. Lycées, bibliothèques, administrations, entreprises, accédez à la base de données en ligne de tous les articles du Monde diplomatique de 1954 à nos jours.

Capitalisme ou démocratie, mais pas les deux à la fois Dans un ouvrage récemment traduit en français (1), Wolfgang Streeck dresse un constat pessimiste des rapports entre le capitalisme et la démocratie. Cette dernière implique que les citoyens aient la possibilité d’imposer au capital des contraintes dont celui-ci, en tant que classe, n’a de cesse de vouloir se libérer. La période que le sociologue allemand appelle le «capitalisme démocratique» - qui débuta après la Seconde Guerre mondiale et se caractérisa par la création d’institutions (comme la protection sociale) ou l’imposition de réglementations sur le marché du travail (protection de l’emploi), les marchés de biens et services (nationalisations, encadrement de la concurrence et du commerce international) ou les marchés monétaires et financiers (restrictions à la circulation des capitaux, taux de change fixes, contrôle de la Banque centrale) - déboucha, dans les années 70, sur une véritable révolte du capital. (1) «Du temps acheté. Bruno AMABLE

Etienne Chouard : Je me suis trompé, en fait on est en démocratie ! - philonews Le blogueur pro-démocratie dite « réelle » Etienne Chouard, connu pour avoir popularisé l’idée des ateliers constituants entre citoyens, a reconnu ce matin sur son blog s’être trompé depuis le début : Pour rappel, Etienne était absolument convaincu que nous n’étions pas en démocratie, sa fameuse intervention TED avait été traduite en 17 langues. Et vous, qu’en pensez-vous ? Etienne Chouard s’était-il trompé pendant plus de 10 ans d’engagement citoyen ?

Quand Nestlé gagne de l'argent... en empruntant Ils sont vraiment trop forts ces Suisses. Nestlé emprunte à taux négatifs, souligne une note de la Royal Bank of Scotland. Concrètement, cela veut dire que le géant suisse est rémunéré quand il augmente sa dette. Cette situation aberrante intellectuellement est le signe du désordre financier qui règne actuellement. Comment en est-on arrivé là? Les taux bas, voire négatifs, sont "le résultat des politiques monétaires ultra-expansionnistes menées ces dernières années et qui se sont accentuées récemment, à la fois dans les économies avancées et émergentes", explique Julien Marcilly, responsable du risque pays chez Coface. De plus, les politiques monétaires se sont montrées encore plus accommodantes que prévu, ajoute Julien Marcilly: "L’an dernier, le consensus anticipait pour 2015 un statu quo monétaire en zone euro et au Japon et une remontée des taux de la Fed et de la Banque d’Angleterre (BoE). Est-ce grave docteur?

Ni capitalisme, ni Etat - la Coopérative intégrale s’épanouit à Barcelone - Barcelone, reportage Au pied de la Sagrada Familia, des cars venant du monde entier déversent chaque jour des marées de touristes qui rendent laborieuse la progression sur les trottoirs. Tous veulent leur selfie avec en arrière plan l’Ovni architectural de Gaudi. Deux pâtés d’immeubles en contrebas, au numéro 263 de la rue Sardenya, se niche une autre curiosité, mais elle n’apparaît sur aucun guide touristique. L’immeuble baptisé Aurea Social a tous les attributs du siège d’une entreprise de service prospère. Un groupe de travail lors d’une assemblée de la CIC. Mais le faste du bâtiment n’est pas la seule chose qui le distingue des lieux alternatifs barcelonais. La CIC s’est donné pour logo une fleur multicolore inspirée de la permaculture. « Nous pouvons vivre sans capitalisme » Un rêve d’adolescents immatures ? Filtre à huile qui permet au camion de rouler sans essence ou presque, 5 litres utilisés l’hiver dernier. L’insoumission fiscale ? Angel dans son fournil coopératif Piquete .

« SwissLeaks » : révélations sur un système international de fraude fiscale Les chiffres donnent le vertige. Le Monde publie le premier volet d’une enquête à la fois spectaculaire et inédite. Fruit d’investigations hors norme, menées entre Paris, Washington, Bruxelles ou Genève, elle dévoile les dessous d’un vaste système d’évasion fiscale accepté, et même encouragé, par l’établissement britannique HSBC, deuxième groupe bancaire mondial, par l’intermédiaire de sa filiale suisse HSBC Private Bank. Le Monde, qui enquête sur l’affaire HSBC depuis son origine, est entré début 2014 en possession de données bancaires mondiales, portant sur la période 2005-2007 et établissant une gigantesque fraude à l’échelle internationale. Nous avons partagé ces données avec une soixantaine de médias internationaux, coordonnés par l’ICIJ, consortium de journalistes d’investigation. En effet, à la fin de l’année 2008, cet informaticien français avait fourni aux agents du fisc français les données volées chez son employeur. Le paravent de structures offshore

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