Top 10 des craintes que l'on peut avoir en faisant l'amour Caiaimage/Trevor Adeline/Getty Images Si faire l'amour avec son ou sa partenaire et en général synonyme d'un bon moment passé à deux (ou plus si affinité), il n'est pas rare que quelques craintes viennent également se mêler aux festivités. Le site onlinedoctor.superdrug.com a donc cherché à savoir ce qui pouvait bien effrayer les gens au moment de faire l'amour, la plupart du temps. Selon l'étude menée auprès de 2000 personnes, la majorité des femmes craignent que leur partenaire refusent un rapport protégé, la plupart des hommes craignent de contracter une MST. Mais de manière générale, les peurs les plus courantes sont... 1 - Contracter une MST via GIPHY 2 - Tomber enceinte / mettre sa partenaire enceinte via GIPHY 3 - Ne pas être assez attirant(e) via GIPHY 4 - Ne pas donner assez de plaisir à son ou sa partenaire via GIPHY 5 - Ne pas bien faire l'amour via GIPHY 6 - Que l'ambiance soit bizarre après avoir fait l'amour via GIPHY 7 - Avoir un problème "technique", quel qu'il soit via GIPHY via GIPHY
Raechl | Herself. Where did you grow up? Holland, Mi. The Bible-beltline of the state. Were you brought up religiously/secularly/other? As much as our peers seemed to demand it, my mother was vigilant in keeping my childhood relatively open when it came to the possibilities of religious belief. Was there turbulence throughout your childhood/adolescence? Growing up in a Southwest Michigan town with a lesbian mother and a childish, mostly-absent father will cause some turbulence, definitely. Were you ever embarrassed about your development/puberty? With a mother as supportive as mine, I tended to dabble in gender-fluidity and sexuality but never felt any embarrassment over it, as I had been raised with the ideal that exploring aspects of ourselves is the greatest adventure we’re able to embark upon. Can you remember any key moments in your formative years that shaped you? Yes. Any that shaped your perspective of women? When did you become aware of your gender? Have you ever struggled with your sexuality? Yes.
Letters From Girls | Ruby Cup For every purchase in our shop, we distribute a Ruby Cup to a schoolgirl from an underprivileged background.With one Ruby Cup, she can go from primary school, through secondary school and finish college without having to worry about her period again. That is amazing. On behalf of the Ruby Cup family, thank you for your support. Être un bon coup : comment bien faire l'amour NB. Devant la difficulté d’écrire "une bonne coup", la majorité de cet article est écrit au masculin. Pourtant, les conseils valent pour toutes et tous ! 1. Variante : on capte les envies de l’autre C’est la base de qui veut être bon amant : écouter l’autre, à tous niveaux. 2. Variante : on aime ça sans contrefaçon Comme on le dit vulgairement entre potes, on est meilleur "quand on a faim". 3. Variante : on n’a peur de rien La position à la papa, le bon coup, ça le gonfle vite. 4. Variante : on maîtrise les mécanismes du corps On ne va pas se leurrer, il y a de croustillants secrets pour faire chauffer cette mystérieuse machine qu’est le corps humain. 5. Variante : on oublie ses complexes Dans le noir, à la lumière du jour, sous les néons de la cuisine… Si l’on commence à se décrypter sous tous les angles et attendre le terrain idéal pour des ébats mythiques, on n’a pas fini de flipper ! 6. 7. Variante : on n’est pas feignant L’ennemie des hommes : l’étoile de mer à l’horizontale. 8.
20 Things I Learned While I Was in North Korea Well that was weird. I was only in North Korea for five days, but that was more than enough to make it clear that North Korea is every bit as weird as I always thought it was. If you merged the Soviet Union under Stalin with an ancient Chinese Empire, mixed in The Truman Show and then made the whole thing Holocaust-esque, you have modern day North Korea. It’s a dictatorship of the most extreme kind, a cult of personality beyond anything Stalin or Mao could have imagined, a country as closed off to the world and as secretive as they come, keeping both the outside world and its own people completely in the dark about one another—a true hermit kingdom. A question, then, is “Why would an American tourist ever be allowed into the country?” Allow me to illustrate what I believe is the reasoning behind my being let in: High Level Government Meeting And so, I was allowed in, along with a small group of other Westerners, accompanied (at all times) by three North Korean guides. 1. 2. 3. This is it.
Buddle and Squeak: My New Favourite Dress/ Body Shaming, Bullying and Reclamation (CW- potentially offensive words such as s**t, b***ch, etc. Also, weird bits of highlighted text that I can't seem to get rid off. FFS. ) Hallo! So this post has a positive but also unfortunately, a negative side. The negative is that I have been the subject of body shaming and bullying recently and I feel like I need to have a good talk with you all about the importance of watching your language and the way you talk to people. Also, I apologise for the super grainy and oddly filtered photos here, I only had access to my camera phone when I took these and sooooo yeah! So. Online I have been called ugly, fat, a slut, a bitch, a "wookie" (my favourite), a feminazi- pretty much all the things. But y'know what- I don't think I want to do that any more. So it wasn't a huge action, but it was a small step in making moves in standing up for myself and standing against things that I have both a personal and broader ethical concern with. Now let me just clarify something here.
Être sexuellement libérée : un droit ou une obligation ? Être libéré sexuellement ou se libérer du sexe ? JOUIR JOUIR JOUIR ! Il semblerait que derrière ce verbe si dynamique se cache le dictateur de notre bonheur. La société le dit : il faut flirter, se lâcher, expérimenter, sucer, baiser, multiplier... mais au fait, elle se mêle de quoi celle-là ? Combien de fois faut-il faire l’amour par mois ? De bonne volonté, on lit, on s’applique, telles de bonnes élèves à essayer d’être un « bon coup », après tout, c’est tout bénef paraît-il : si je fais bien l’amour, non seulement je serais épanouie et en plus l’homme/la femme de ma vie ou de mon lit restera plus longtemps à mes côtés. De la même façon qu’on nous a appris, insidieusement, à nous épiler, à ne pas trop grossir, à sourire (et à rire aux blagues des hommes même quand elles sont aussi sexy qu’un pigeon mal nourri), on nous demande d’être épanouie sexuellement. La science se moque, qu’après 10 ans de couple et un enfant en bas âge, vous n’aspiriez qu’à une chose le soir : DORMIR-PITIÉ-ZUT.
The Political Compass You Don't Need A Dick To Pee Standing Up, As We Learned For Ourselves Hey dis-moi, comment tu jouis? À l’occasion de la sortie de deux ouvrages sur le plaisir féminin –Petit éloge de la jouissance féminine et Volcaniques, une anthologie du plaisir-, nous avons demandé à 4 femmes de nous livrer leur définition de la jouissance. La jouissance féminine a longtemps été ignorée. Du mécanisme physique qui menait les femmes à l’orgasme, on ne savait rien. Snobé par la médecine, le fonctionnement clitoridien a été étudié pour la première fois il y a à peine une dizaine d’années. Et aujourd’hui, si la parole s’est progressivement libérée autour du plaisir féminin, ce dernier reste toutefois tabou. À l’occasion de la sortie deux ouvrages sur le sujet, Petit éloge de la jouissance féminine de la journaliste Adeline Fleury et Volcaniques, une anthologie du plaisir, un ouvrage collectif dirigé par Léonora Miano dans lequel douze auteures du monde noir évoquent le plaisir féminin, nous avons demandé à 4 femmes de nous parler de leur vision de l’orgasme au féminin. 1. Axelle Jah Njiké DR 2. 3. 4.
Food Timeline: food history research service