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E-commerce: les sept tendances 2015 aux USA

E-commerce: les sept tendances 2015 aux USA
Le e-commerce continue son irrésistible ascension aux Etats-Unis, avec des ventes en croissance de 14% en 2014 (par rapport à l'année précédente), d'après les derniers chiffres de Comscore. Une croissance quatre fois plus rapide que les ventes "off-line". Hors alimentaire, le e-commerce représente 12% des dépenses des consommateurs américains - contre 8% en France, selon les derniers chiffres de la Fevad. 1.Toujours plus de mobile Aux Etats-Unis, les ventes sur mobile représentent 11% du total des ventes en ligne (+17% en un an), d'après Comscore, qui prédit une forte croissance de ce segment en 2015. 2. Permettre au client de passer simplement du site web au mobile et à la boutique physique : l'intégration des différentes interfaces est devenue elle aussi stratégique. 3.Conseils à la demande Live-chats, rendez-vous vidéo avec un vendeur, hotlines ouvertes 24 heures sur 24, réponses rapides aux questions posées sur les réseaux sociaux... 4.Frais de port masqués 5.Des sites épurés Related:  Distribution m-commerce, e-commerce

Le m-commerce en 2015 en 5 chiffres Les dépenses m-commerce devraient augmenter de 89% en 2015 en France si l'on en croit l'étude RetailMeNot (éditeur de ma-reduc.com, bons-de-réduction.com) réalisée par le Centre for Retail Research (CRR) en janvier 2015, au travers de l'analyse de la croissance des ventes en ligne* dans huit pays d'Europe, au Canada et aux Etats-Unis. Même si la plupart des ventes en ligne se font encore sur ordinateur (88% en 2014) et que l'Hexagone est encore loin de ses voisins européens, l'achat sur mobile devrait être tiré par l'essor de solutions technologiques comme la géolocalisation et le paiement mobile. Reste à améliorer l'expérience d'achat du client et adapter l'offre au support, afin que les visites de sites depuis les mobiles se transforment en validation de panier. Voici la tendance et les prévisions du m-commerce en France en cinq chiffres clés. C'est la proportion de transactions internet effectuées sur PC par les Français en 2014. C'est la part de Français possèdant un smartphone.

M-commerce : TF1 lance l'application TF1 Conso TF1 Conso propose une offre large, qui couvre tant les achats du quotidien (avec des offres alimentaires, hygiène, beauté...) que les achats de shopping plaisir (avec des offres mode, high-tech...). Ce mix-produit n'est pas un hasard : s'il permet aux consommateurs d'accéder à un vaste inventaire de produits, il offre à TF1 Conso le meilleur des deux mondes : la régularité des achats alimentaires, et donc une fréquence d'utilisation de l'application, et l'opportunité d'achats d'impulsion et de plaisir pour des produits plus lifestyle. Pensé pour les usages mobiles, la première vocation du service est d'amener les consommateurs en magasin, priorité des retailers. " Nous ne voulons pas tant faire de l'e-commerce que du drive-to-store ", affirme William Faivre, p-dg de Catilina. C'est pourquoi la géolocalisation est au coeur de l'application mobile de TF1 Conso : le mobinaute peut ainsi accéder aux offres disponibles dans les points de vente qui l'entourent.

Autorité de la concurrence Communiqués de 2015 1er avril 2015 : Rapprochements à l'achat dans le secteur de la grande distribution L'Autorité de la concurrence rend son avis dans lequel elle propose une grille d'analyse générale des risques engendrés par les accords de coopération récemment conclus et formule des recommandations L'Autorité a été saisie pour avis par le ministre de l'Economie, de l'Industrie et du Numérique et par la Commission des affaires économiques du Sénat concernant la question de l'impact concurrentiel des rapprochements de centrales d'achat et de référencement dans le secteur de la grande distribution à dominante alimentaire. Dans le cadre de l'instruction de ce dossier, l'Autorité a interrogé un nombre important d'acteurs économiques (distributeurs et fournisseurs) et procédé à de nombreuses auditions (20 dont 3 associations professionnelles et le Médiateur des relations commerciales agricoles).CONTEXTE Les accords de coopération Système U/ Auchan ITM/Casino Carrefour/Cora

Spartoo, Zalando, Sarenza : c'est la guerre entre les vendeurs de chaussures en ligne Près de 10% des ventes de souliers sont désormais réalisées par une poignée de sites Internet. Grâce à un choix incroyable et à un efficace harcèlement marketing. C'est devenu un rituel. Face à des concurrents de plus en plus agressifs, Stéphane Treppoz ne veut rien laisser au hasard. A se demander si les trois cadors de la semelle sur Internet, qui représentent aujourd'hui plus de 40% des ventes online en France, pourront longtemps coexister. A priori, vendre des chaussures sur la Toile est pourtant bien plus compliqué que proposer un livre, un ordinateur ou même un vêtement ! Car, une fois n'est pas coutume s'agissant de commerce en ligne, nos cordonniers se battent peu sur les prix, proches de ceux pratiqués dans les magasins de centre-ville, mais plus sur la profondeur de l'offre. Mais comment les «fashionistas» (la majorité des utilisateurs sont des femmes) peuvent-elles s'y retrouver devant cette profusion de marchandises ? La hantise ? Jean Botella Zalando : le site le plus visité

NRF 2015 : 5 nouvelles technologies qui vont... - Grande Distribution et consommation Plus qu’un salon dédié au commerce, le Retail’s Big Show est une vitrine technologique où les sociétés high-tech les plus en pointe viennent présenter leur savoir-faire en matière de retail. Si nombre d’entre elles ne dépasseront pas le stade du prototype, car n’apportant pas un grand intérêt, certaines, en revanche, préfigurent le magasin du futur. Petit tour d’horizon de cinq technologies repérées par LSA dans les allées du salon new-yorkais à l'occasion de l'édition 2015. 1 - Le miroir tactile d’eBay L’avenir n’est pas aux pure players de l’e-commerce ? 2 - Des beacons pour voir un jeu vidéo sur son smartphone Le distributeur de jeux vidéo GameStop était très présent sur le salon de la NRF 2015. 3 - L’étonnante vitre 3D d’Epson Un petit côté Minority Report chez Epson. 4 - Un drone pour faire l’inventaire en magasin Beaucoup de drones aussi sur le salon. 5 - Reconnaissance faciale et personnalisation chez IBM Le client est triste?

Steak’n Shake installe à Marseille sa première franchise européenne, Actualité des PME La chaîne cotée au New York Exchange compte 530 restaurants aux Etats-Unis. Après la France, elle prévoit de se développer en Europe et au Moyen-Orient. Après la pose de la première pierre en Europe de l’hôtel japonais Toyoko Inn dont la livraison est prévue en mai 2016, et l’inauguration l’an passé du premier magasin de mode à prix cassé Primark en France, Marseille sert à nouveau de test pour le lancement d’une enseigne : la chaîne américaine de burgers Steak’n Shake qui vient de choisir la capitale phocéenne pour démarrer son offensive contre McDonald’s et Quick en Europe. Pour s’imposer face aux géants du fast-food, la chaîne mise sur son positionnement premium : ses steaks 100 % bœuf sont préparés devant les clients et les frites, non congelées, sont découpées sur place. 530 restaurants aux Etats-Unis Aux Etats-Unis où l’enseigne a vu le jour en 1934, la formule fait mouche.

lsa-conso : marketplace Les consommateurs français connaissent-ils les places de marché? Alors que de plus en plus d’enseignes ouvrent désormais leur site aux vendeurs tiers (les cinq sites les plus visités en France en possèdent une), une étude Toluna pour Webloyalty prend le pouls des consommateurs sur le sujet. Premier constat : malgré leur fort développement, elles restent encore ignorées par 40% des consommateurs qui n’en ont jamais entendu parler. Une minorité certes, mais une minorité importante. Et qu’en pensent les 60% de Français qui en ont déjà entendu parler ? Appréhendent-ils le fait de ne pas connaitre le vendeur qui leur vendra le produit désiré ? « Pour les consommateurs, ce dispositif est plutôt transparent. 20% d'entre eux y voient même un aspect positif, la mise en concurrence de plusieurs marchands sur le même site pouvant jouer un effet rassurant sur le prix des articles proposés », explique Rodolphe Oulmi, le directeur développement et partenariat pour Webloyalty France.

Amap ou Ruche qui dit oui : quel système vous correspond Qualité, proximité et pied de nez à l’industrie agroalimentaire : d’un système de distribution en circuit court à l’autre, les mots d’ordre se font écho. Pourtant, depuis la diffusion, en mars dernier sur Internet, d’une lettre dans laquelle un apiculteur explique son refus d’approvisionner la Ruche qui dit oui, les partisans de la vie sans supermarché sont divisés. Entre ripostes, rumeurs et amalgames, la saveur retrouvée des produits fermiers a pris un arrière-goût amer. En deux mots, pouvez-vous rappeler le principe de votre système ? Léo Coutellec : Les Amap sont des Associations de maintien de l’agriculture paysanne. Guilhem Chéron : La Ruche qui dit oui est un système de vente directe qui s’organise via Internet. Chez vous, on dit plutôt « clients », « consommateurs responsables » ou « militants » ? Léo Coutellec : Certainement pas « clients » ! Quel degré d’engagement votre système demande-t-il ? Léo Coutellec : Dans les Amap, l’engagement est central. Guilhem Chéron : La qualité.

Loi Macron : les 2 articles pour le commerce... Le texte sur l'urbanisme commercial prévu dans Loi Macron compoici comporte trois articles. Pas ordonnances prévues ! Ils peuvent donc faire l'objet d'amendements. Au sommaire, notamment, le fameux pouvoir donné à l'Autorité de la concurrence de revendre des magasins. Voici les trois articles : Loi Macron : Chapitre II - Commerce Article 10 Après l’article L. 752-5 du code de commerce, il est inséré un article L. 752-5-1 ainsi rédigé : "Art. "Les conditions d’application du présent article sont fixées par décret en Conseil d’Etat". Article 11 L’article L. 752-26 du code de commerce est remplacé par les dispositions suivantes : "Art. "La part de marché mentionnée à l’alinéa précédent est évaluée selon le chiffre d’affaires réalisé dans le secteur d’activité et sur la zone de chalandise concernés ou selon les surfaces commerciales exploitées dans la zone de chalandise concernée."

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