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Le selfie chez les adolescents et les jeunes adultes

Le selfie chez les adolescents et les jeunes adultes
Sommaire Qu'est-ce que le selfie ?Existe-t-il une typologie ?A qui s'adresse le selfie ?Comment expliquer ce phénomène ? ​Quels changements dans la manière de communiquer ? Qu’est-ce que le selfie ? Le mot selfie (de l'anglais self, « soi ») serait apparu en 2002 en Australie sur le site de média ABC Online et en 2004 sur des sites comme Flickr ou Myspace, avant d'être théorisé, un an plus tard, par un certain Jim Krause, dans un manuel pratique de photographie. Un peu d'histoire L’autoportrait n’est pas un phénomène nouveau, nombre de peintres et photographes se sont prêtés à cet exercice. Les chiffres Instagram compte plus de 60 millions de publications taguées “selfies” et plus de 170 millions avec le tag “me”. Selon une étude parallèle menée par Ipsos, parmi les 14-18 ans, neuf adolescents sur dix utilisent leur smartphone en guise de boîtier photographique, d'où une pratique exponentielle du selfie (62 %). Existe-t-il une typologie ? Le corps du photographe A qui s'adressent- ils ?

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Identité numérique en image par les adolescents : 7 types de traces en ligne Julie Pascau (Professeur certifié en documentation – ‎ESPE d’Aquitaine) et Bruno Vergnes (Prof de Lettres et formateur en Education numérique – CLEMI) publient : L’identité numérique en image, un dossier d’analyse sur l’image de soi sur les réseaux sociaux ; un travail de qualité présenté le 15 janvier 2014 à Mourenx (64) dans le cadre du Forum des pratiques numériques pour l’éducation. Objectif de ce dossier : « Comprendre la viralité propre à l’image sur les réseaux sociaux et les usages des adolescents des applications existantes en 2013. Apprendre à intégrer ces nouvelles problématiques liées à l’identité numérique des jeunes dans l’éducation aux médias ».

Les jeunes et l’information : une étude du ministère de la Culture vient éclairer les comportements des jeunes en matière d’accès à l’information Dans un contexte de profondes transformations des modes de production, de diffusion et de consommation de l’information, la Direction générale des médias et des industries culturelles (DGMIC) du ministère de la Culture a souhaité disposer d’un diagnostic approfondi sur les pratiques de consommation de l’information par les jeunes générations (15-34 ans). Pour ce faire, elle a confié le soin à Médiamétrie de produire une analyse de ces pratiques. L’étude constate que les jeunes sont plus équipés en terminaux mobiles que la moyenne (les 15-34 ans sont 89,9 % à détenir un smartphone, contre 69,2 % des 15 ans et plus)[1] et davantage connectés (97 % des 15-34 ans ont accès à Internet, contre 93% de l’ensemble de la population).[2] Les jeunes sont d’importants consommateurs de contenus d’information en mobilité.

Un projet interdisciplinaire autour du portrait : l'apport de la photo numérique Un projet culturel et éducatif : travail d’écriture, de mise en voix, d’analyse d’images et travail de la photographie avec les professeures du lycée et des intervenants extérieurs. Armelle Chéenne, professeur-documentaliste au lycée professionnel Auguste-Perret , à Evry (91), a emprunté une mallette d’appareils photo numérique, dans le cadre d’un projet pédagogique interdisciplinaire, en équipe avec Stéphanie Gahinet et Carmele Bonnet, professeures de lettres-histoire, et Pauline Claude, médiatrice culturelle de la Région Ile de France. Voici leur témoignage. Twitch : comment les gamers révolutionnent la manière de faire de la pub ? Plus engagés que partout ailleurs, les gamers sont désormais pris très au sérieux par les marques. Elles ont raison ! Retour sur le succès fulgurant de Twitch, la plateforme sociale dédiée au streaming live de jeux vidéo. Par Fabien Gaetan, planneur stratégique chez We Are Social. En septembre 2015, le célèbre présentateur TV américain Jimmy Kimmel donnait son point de vue sur Twitch, une plateforme sociale dédiée au streaming live de jeux vidéo, expliquant son incompréhension devant ce phénomène décrit comme le « paroxysme de l’inactivité, la solitude et la perte de temps ».

Le portrait numérique Au milieu du XIXe siècle, le poète Charles Baudelaire dénonçait en public le narcissisme photographique de ses contemporains – et demandait en privé à sa mère d’aller se faire tirer le portrait. La France du XXIe siècle vit une contradiction semblable. Le discours officiel véhiculé par les représentants du régime conservateur ou par les chaînes de télévision publiques recommande d’éviter les réseaux sociaux, et qualifie volontiers le web de repaire pour «les psychopathes, les violeurs, les racistes et les voleurs». Pendant ce temps, les Français téléchargent chaque mois 130 millions de photos sur Facebook, l’équivalent de dix fois le nombre d’images du département de la photographie de la BNF. Chacun a lu ou entendu l’histoire du pauvre bougre qui a perdu son travail parce qu’une photo révélait une activité festive, ou dont la candidature n’a pas été retenue en raison de contenus en ligne fâcheux. On ignore le nombre d’emplois trouvés grâce aux réseaux sociaux.

Quand je serai grand, je serai youtubeur LE MONDE | • Mis à jour le | Par Agathe Charnet « L’univers des grandes écoles étant très particulier, j’ai décidé de faire une vidéo pour tout vous expliquer. » Kevin Tran, 24 ans, est étudiant ingénieur à Telecom SudParis, mais son quotidien est loin d’être uniquement consacré aux études et révisions. Depuis 2012, aux côtés de son jeune frère Henry, élève en classe préparatoire de commerce, il anime sur YouTube la chaîne humoristique Le Rire jaune, suivie par 2,9 millions d’abonnés et qui totalise 322 millions de vues. Dans de courtes vidéos, le tandem fait vibrer la Toile de ses sketchs consacrés au bac ou aux « pires techniques de drague ». « Je passe mes journées à écrire, monter et filmer mes vidéos, explique le jeune homme qui est une semaine par mois à l’école et achève sa formation en alternance au sein de sa propre société. Je développe également des projets parallèles à YouTube, donc on peut dire que ça me prend tout mon temps. »

“Vous n’avez rien compris aux selfies” André Gunthert occupe la chaire d’histoire visuelle à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS). Le chercheur, par ses travaux et avec ses élèves, est le premier à avoir fait de l’image numérique un objet d’étude à part entière. Une image qui s’est démocratisée, démultipliée, socialisée au mitan des années 2000, avec l’apparition des réseaux sociaux. “La photographie est devenue une pratique de niche au sein d’un univers plus vaste, celui de la communication électronique”, écrit André Gunthert dans son dernier ouvrage, “L’Image partagée” (éditions Textuel) qui vient de paraître. Le chercheur, classé à gauche, y offre une lecture radicalement nouvelle de ce phénomène, au-delà des idées reçues. Le selfie, cet autoportrait au smartphone, est parfois regardé avec mépris du haut du balcon de la société.

Les dangers du web pour les jeunes : fake news ou vrais risques ? Cet article est publié dans le cadre de la deuxième édition du Festival des idées, qui a pour thème « L’amour du risque ». L’événement, organisé par USPC, se tient du 14 au 18 novembre 2017. The Conversation France est partenaire de la journée du 16 novembre intitulée « La journée du risque » qui se déroule à l’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco).

Centre de Liaison de l'Enseignement et Médias d'Information - Le selfie : un portrait de soi narcissique ou une nouvelle construction identitaire ? Le « selfie » Le « selfie » a été élu mot de l’année, le 18 novembre 2013, dans le cadre du travail sur le dictionnaire d’Oxford. Quelle en est la définition ? : Enquête sur les pratiques numériques des étudiants de 18 – 25 ans – PLATEFORM Enquête sur le niveau de culture numérique des étudiants à l’Université A chaque rentrée universitaire à ‘lUCO de Nantes, je propose aux étudiants de 1ere année en Information-Communication un questionnaire sur leurs pratiques numériques et leurs connaissances en culture numérique, que je compare aux récentes enquêtes et statistiques sur les usages du numérique par les jeunes de 18 à 25 ans. Il existe encore malheureusement assez peu d’études sur les pratiques et les usages du numérique par les étudiants, alors que paradoxalement, ils sont censés l’utiliser au quotidien dans leurs études, pour la recherche d’information, suivre l’actualité, rédiger des dossiers, collaborer entre eux, communiquer avec l’université et avec les enseignants, rechercher des ressources, un stage, une formation, etc. Dans cette enquête, nous avons ciblé des étudiants, entre 17 et 25 ans de l’UCO de Nantes, pour qui j’enseigne la culture numérique et la préparation à la certification PIX. La mobilité en priorité

Antoine d’Agata Antoine d’Agata © « Jamais de sommeil et plus de veille, une épouvantable continuité ». (Artaud, OC, XXII, p.157) Il faut penser sonore. Une photographie qui grince. Elle ne craque pas, elle ne crie pas: elle gémit. Pourquoi les jeunes ne regardent plus la TV (ou si peu) ?  - France 3 Centre-Val de Loire Ils ont une vingtaine d'années et habitent la région Centre-Val de Loire. Pour ce nouveau rendez-vous de "T'en penses quoi ?", nous les avons réunis à Tours pour leur poser des questions sur la télévision et comprendre leur consommation des écrans. Ont-ils été déjà scotchés devant l'écran du salon ? Pourquoi ont-ils déserté ?

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