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Jacques Klinger raconte Auschwitz

Jacques Klinger raconte Auschwitz
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Varsovie La ville de Varsovie s'étend des deux côtés de la Vistule. Devenue la capitale du nouvel Etat polonais en 1919, la ville était, avant la Seconde Guerre mondiale, un important centre de la vie et de la culture juives. Il ya vait avant la guerre plus de 350 000 Juifs, qui constituaient environ 25 % de la population de la ville. C'était la plus importante communauté juive de Pologne mais aussi d'Europe. Lors de l'invasion allemande de la Pologne le 1er septembre 1939, Varsovie connut des attaques aériennes et des bombardements d'artillerie. Dès la fin septembre 1939, les Allemands exigèrent des Juifs de Varsovie qu'ils portent des brassards blancs ornés d'une étoile de David bleue. LE GHETTO DE VARSOVIE Le 12 octobre 1940, les Allemands ordonnèrent par décret la création d'un ghetto dans Varsovie. Les bureaux du Conseil juif étaient situés rue Grzybowska, dans le sud du ghetto. Le 1er août 1944, la résistance polonaise se révolta contre les occupants allemands pour libérer Varsovie.

Auschwitz-Birkenau Virtual Tour - Auschwitz-Birkenau - Wirtualne zwiedzanie La mémoire filmée de la Shoah | CNRS le journal Le documentaire «Shoah, les oubliés de l’Histoire» qui sera diffusé sur ARTE présente un point de vue poignant mais parfois insoutenable sur ce que l’on a appelé «la Shoah par balles». Valérie Pozner, spécialiste de l’histoire du cinéma russe et soviétique, nous en explique le caractère inédit. De nombreux documentaires et expositions ont déjà été consacrés à la destruction des juifs d’Europe entre 1940 et 1945. Fac-simile de Clichés des civils et soldats de l'Armée rouge tués, servant de support, sous le slogan "venge-toi !" Pourquoi les Soviétiques possèdaient-ils autant d’images ? Comment ces films s’insèrent-ils dans une tradition du cinéma de guerre soviétique ? Les Soviétiques ont pu filmer la Shoah beaucoup plus et beaucoup plus tôt que tous les alliés Ces opérateurs sont soumis à une double hiérarchie : celle du studio, civile, et celle de la direction politique de l’Armée rouge, car ils sont rattachés à un front et une armée précise. Quels films parviennent à l’Ouest à l’époque ?

Etude de cas : le ghetto de Varsovie (1940-1943) 1/2 Dates clés Automne 1939Début des persécutions antijuives dans le Gouvernement généralMai 1940Le quartier juif de Varsovie déclaré « zone d’épidémie »16 novembre 1940Le ghetto de Varsovie est en partie cerné d’un mur d’enceinte. 22 novembre 1940Création de l'Oyneg ShabbesJuillet 1942Création de l'Organisation Juive de Combat La création du ghetto Dès l’automne 1939, commencent les persécutions antijuives dans le gouvernement général. À partir du 1er décembre 1939, tous les Juifs âgés de plus de douze ans doivent arborer un brassard blanc où figure une étoile de David bleue. D’autres mesures, prises au cours de l’automne et de l’hiver 1939-1940, visent à isoler et à brimer : couvre-feu, interdiction de changer de domicile, de voyager en chemin de fer, confiscation des postes de radio, interruption fréquente de la distribution du courrier, interdiction de fréquenter les jardins publics, etc. Clos le 16 novembre 1940, le ghetto de Varsovie est en partie cerné d’un mur d’enceinte. Chiffres clés

Système de marquage nazi des prisonniers Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les nazis avaient développé un système de symboles d'étiquetage des prisonniers permettant d'identifier la cause de leur incarcération dans les camps de concentration. Dans certains camps, le traitement variait selon le marquage porté par les détenus. Charte des signes distinctifs à Dachau, vers 1938-1942. Exemples de marquage[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Carte interactive des camps de la mort Dachau, the first camp. Auschwitz, where more than 1 million Jews, Roma (Gypsies), Poles, Soviet prisoners of war and others were killed. But as horrific as they were, they were only three camp complexes in a system of more than 850 ghettos, concentration camps, forced-labor camps and extermination camps that the Nazis established during the 12 years Adolf Hitler was in power. By the end of World War II in 1945, the death camp system stretched from France and the Netherlands in the west to Estonia, Lithuania and Poland in the east. There were 20 main concentration camps, many of which had many subcamps, according to Geoffrey Megargee, the editor of the U.S. Holocaust Memorial Museum's Encyclopedia of Camps and Ghettos. Many of them combined the most dehumanizing and degrading characteristics of prison and slave labor camps. There were also four main extermination camps -- Belzec, Chelmno, Sobibor and Treblinka -- devoted solely to killing everyone who passed through their gates.

42-43 : la bataille de Stalingrad et la défaite allemande LES POGROMS Le maire actuel de Jedwabne, Stanislaw Maichalowski, 48 ans, a entendu parler de l'histoire pour la première fois quand il avait 8 ans, mais il n'y a jamais vraiment réfléchi. Et puis il a lu le livre de Gross. «Comprendre ce qui s'est passé ici, confie-t-il, c'est écrasant.» Ses administrés ne sont pas tous du même avis. Le livre de Gross est paru en Pologne au printemps 2000. Débarrassée du régime communiste et de son historiographie officielle et plus critique, aussi, envers l'Eglise, autrefois toute-puissante, la Pologne, longtemps perçue par ses habitants comme un vénérable «Christ parmi les nations», apprend à se regarder dans les yeux, quitte, parfois, à se faire peur. Marc Epstein, publié dans le journal "l'Express" le 12/04/2001. (1) Publié ces jours-ci en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis (indisponible en français). Des témoignages supplémentaires figurent dans un documentaire d'Agnieszka Arnold diffusé les 3 et 4 avril à la télévision polonaise. 1. 2. Retour à la page d'accueil

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