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Neurosciences: que se passe-t-il quand on se souvient ? - 31 août 2014

Neurosciences: que se passe-t-il quand on se souvient ? - 31 août 2014
Tokyo (AFP) - Les émotions associées à des souvenirs peuvent être réécrites, permettant d'adoucir des événéments douloureux du passé et à l'inverse d'assombrir des moments heureux, suggère une étude menée sur des souris au Japon et aux Etats-Unis et publiée mercredi dans la revue scientifique Nature. "Cette propriété (de renversement) de la mémoire est utilisée cliniquement pour traiter" des maladies mentales, "cependant les mécanismes neuronaux et les circuits du cerveau qui autorisent ce changement de registre émotionnel demeurent largement méconnus", soulignent les chercheurs en préambule. L'objet de l'étude est de décrypter ces procédés sous-jacents, ouvrant la voie à de nouvelles pistes pour soigner des pathologies comme la dépression ou les troubles de stress post-traumatique. Pour parvenir à de telles conclusions, les chercheurs ont injecté une protéine d'algue sensible à la lumière à deux groupes de souris mâles. - Transformer une répulsion en attirance - A l'avenir, M. Related:  Neurosciences / Sciences cognitives et éducationNeurosciences

Neurosciences et pédagogie - Publications pédagogiques - Les sites web conseillés par Instit.info La gymnastique du cerveau D'une manière pratique, les applications de la neuropédagogie mènent vers des évolutions dans la manière d'enseigner et d'apprendre et vise in fine à "stimuler de nouvelles zones du cerveau, à créer de nouvelles connexions pour faciliter les apprentissages". Dans un reportage de la chaîne Euronews sur le sujet, on se rend bien compte que cela n'a rien de sorcier. Si vous utilisez de temps à autre la vidéo en classe, si vous enseignez par associations d'idées ou de concepts, si vous faites faire des cartes mentales à vos apprenants, ... vous êtes probablement un praticien de la neuropédagogie qui s'ignore. Mais la neuropédagogie ne s'arrête pas là. On sait par exemple que le cerveau retient sept fois plus d'informations si on les catégorise. On sait aussi que le fonctionnement du cerveau est essentiellement associatif, que dans le cerveau la vérité n'efface pas l'erreur ... En toile de fond, l'apprentissage La motivation du cerveau est stimulée par l'émotion.

untitled Entraine ton cerveau! L’effet de l’activité physique Le lien entre l’activité physique et la prévention de maladies et de troubles comme le diabète, les maladies cardiaques et l’obésité est bien connu. Par ailleurs, les plus récentes recherches mettent en lumière les effets de l’activité physique sur le développement du cerveau de l’enfant. Ces découvertes permettent d’établir d’importants liens entre l’activité physique et l’apprentissage. Dans cet article publié par la Canadian Education Association (CEA), des chercheurs affiliés au Children’s Hospital of Eastern Ontario Research Institute, rapportent les résultats de récentes recherches qui montrent les bienfaits de l’activité physique sur le cerveau. Selon Voss et all., ces bienfaits se situeraient à trois niveaux : L’activité physique entrainerait la formation de nouveaux vaisseaux sanguins (qui sont d’importants « réservoirs » de nutriments et d’oxygène) et de neurones (qui transmettent les influx nerveux) dans le cerveau. Quels types d’activité privilégier? [Consultez l’article]

Neurosciences et apprentissage Interview Pierre Marie Lledo : Neurosciences et apprentissage Pierre Marie Lledo est Directeur de recherche au C.N.R.S, Chef d’unité « Perception et Mémoire » à l’Institut Pasteur, Directeur du laboratoire « Gènes, Synapses et Cognition » du C.N.R.S et Directeur d’Enseignement à l’Institut Pasteur. Sur le même thème 5 neuromythes invalidés par les neurosciences Steeve Masson explique dans cette vidéo qu’il existe beaucoup de fausses croyances sur le cerveau qui sont en fait des neuromythes. 27 mai 2015 Dans "Cognition et Communication" Joël de Rosnay : passons le relais aux jeunes générations ! Joël de Rosnay est docteur ès sciences, chimiste organicien, spécialiste des origines du vivant, écrivain, conseiller de la Présidente d'Universcience, Claudie Haigneré, Président exécutif de Biotics International. 10 juin 2014 Dans "Educavox" Partagez cet article, Choisissez votre Plateforme!

Psychologie cognitive et Neurosciences Neurones miroirs (I) Une découverte monumentale mais ignorée En 1996, Giacomo Rizzolatti, neurologue de l’Université de Parme, fit la surprenante découverte des neurones miroirs. Une découverte qui, bien que très peu connue du grand public, pourrait être à l’origine d’une révolution scientifique majeure dont on ne pressent que quelques contours. 1. Evoquer les neurones miroirs en un seul billet risque de laisser de côté nombre d’implications scientifiques mais aussi philosophiques. Rappel des faits. « Les neurones miroirs constituent une classe particulière de neurones initialement identifiés dans le cortex précentral du macaque. Depuis 1996, la présence des neurones miroirs a été confirmée par nombres d’études ouvrant la voie vers une compréhension des mécanismes perceptifs ainsi que des processus cognitifs essentiels comme l’interprétation des actions perçues. Chez l’homme, on a observé la présence des neurones miroirs dans le cerveau encore immature du jeune enfant. 2. Il existe une sorte de mécanique, voire de dialectique des miroirs.

Cogni-sciences L’activité du groupe Cognisciences porte sur l’étude des processus du développement, d’acquisition et d’apprentissage du nourrisson à l’enfant. Notre approche s’appuie sur les neurosciences et la clinique du normal au pathologique (langage oral, motricité fine et globale, langage écrit, attention, calcul) Les différents travaux menés portent sur : 1) Le développement cognitif de l’enfant de 6 mois à l’adolescence 2) Le langage oral : acquisition, retards et troubles spécifiques du développement du langage (dysphasies...). 3) Le langage écrit : la lecture, le décodage, la fluence et la compréhension, les difficultés, les troubles spécifiques (les types de dyslexies). 4) Les autres troubles d’apprentissage : les troubles d’acquisition de la coordination motrice (dyspraxies), les troubles du calcul (dyscalculies), les troubles de l’attention avec ou sans hyperactivité : THADA... Trois axes directeurs orientent la majeur partie de nos activités :

Computational neuroscience Branch of neuroscience Computational neuroscience (also known as theoretical neuroscience or mathematical neuroscience) is a branch of neuroscience which employs mathematics, computer science, theoretical analysis and abstractions of the brain to understand the principles that govern the development, structure, physiology and cognitive abilities of the nervous system.[1][2][3][4] Computational neuroscience employs computational simulations[5] to validate and solve mathematical models, and so can be seen as a sub-field of theoretical neuroscience; however, the two fields are often synonymous.[6] The term mathematical neuroscience is also used sometimes, to stress the quantitative nature of the field.[7] History[edit] The term 'computational neuroscience' was introduced by Eric L. About 40 years later, Hodgkin and Huxley developed the voltage clamp and created the first biophysical model of the action potential. Major topics[edit] Single-neuron modeling[edit] Sensory processing[edit]

Utiliser les neurosciences pour mieux former La neuroéducation est un domaine de recherche qui étudie les mécanismes cérébraux liés à l’apprentissage et à l’enseignement. C’est une discipline qui est née en 2007, suite à un rapport de l’OCDE (l’Organisation de Coopération et de Développement Economiques). Cette discipline s’inspire des recherches menées en sciences cognitives (psychologie, neurosciences, ergonomie…). Cela est rendu possible notamment grâce aux techniques d’imagerie cérébrale qui permettent d’étudier les réactions du cerveau en train de lire, de mémoriser ou de compter par exemple. Qu’a-t-on appris grâce à la neuroéducation ? – Notre mémoire est influencée par nos émotions : nous retenons plus facilement une information si nous l’associons à quelque chose d’émotionnel car nous ne sommes plus passifs. – Nous pouvons apprendre tout au long de la vie grâce à la plasticité de notre cerveau. – L’attention et la motivation influencent fortement la mémorisation. Qu’est-ce que le projet Neurosup ? Pour aller plus loin :

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