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- Tendances du marketing relationnel, consommation : le hub

- Tendances du marketing relationnel, consommation : le hub
Les directions marketing et relation client sont en pleine transformation digitale. Un signe illustre la vitesse et l’ampleur des changements en cours : les métiers aujourd’hui en vogue n’existaient pas il y a 5 ans, voire parfois 2 ans ! Etat des lieux des nouvelles compétences qui émergent dans les entreprises. Des recrutements dans un contexte de mutations importantes Pour s’adapter aux nouveaux comportements des consommateurs, les entreprises recherchent de nouvelles compétences. Les 3 métiers les plus recherchés selon Michael Page /le hub de La Poste a demandé à Martin Villelongue, responsable de la division Marketing au sein du cabinet de recrutement Michael Page, quels étaient les métiers qui avaient le vent en poupe auprès des entreprises. L’indispensable formation permanenteLa montée en puissance des entreprises sur le marketing digital ne peut pas relever uniquement de recrutements extérieurs. Related:  marketing digital

Accueil - LE CANAL DES METIERS, tous les métiers, en vidéo HCG dresse le palmarès 2015 de la relation client Entre octobre et décembre 2014, pas moins de 200 entreprises françaises ont été testées sur deux points principaux : l'accueil général de l'entreprise, et l'accueil de leur service clients. Ce sont en tout 2 millions de tests qui ont été réalisés, dont 3 000 tests téléphoniques, 200 tests courriers, 579 tests par e-mail, 1 728 000 tests sur Internet, et 173 tests sur Facebook. Depuis 2014, la moyenne générale des entreprises a chuté de 0,59 points, soit une baisse de 4,59%. Le trio de tête de la relation client 2015 Cette année encore, certaines entreprises se sont distinguées par la qualité de leur standard et de leur service client. Un classement par secteur HCG a également dressé un tableau comprenant les notes obtenues pour chaque secteur. On compte également quelques mauvais élèves. L'accueil de l'entreprise Chaque entreprise est notée sur l'accueil téléphonique, la présence ou non d'un compte Facebook, ainsi que sur l'attractivité de son site Internet. Le palmarès général Méthodologie

L’obfuscation, stratégie de résistance à la surveillance Sur son blog, Ethan Zuckerman (@EthanZ), directeur du Centre pour les médias civiques du MIT, revient sur une conférence donnée au MIT par la chercheuse spécialiste de la vie privée Helen Nissenbaum. L'obfuscation : une technique pour disparaître ? Face à la collecte et à la tyrannie des données ("vous êtes tyrannisés dans la mesure où vous pouvez être contrôlé par la décision arbitraire d'autrui" dit le politologue Michael Walzer), chacun cherche à résister à sa mesure. Pour elle, nous pouvons (et devons) créer des outils pour améliorer le respect de la vie privée, des outils qui permettent d'obscurcir ses données et qui s'inscrivent dans un cadre d'entraide et de résistance. En utilisant son concept d'intégrité contextuelle de la vie privée (voir "La vie privée en contexte ou la vertu de la réciprocité"), elle rappelle que la vie privée ne consiste pas en un contrôle complet de nos renseignements personnels, ni en un secret parfait. L'obfuscation : une solution ?

Formation pour devenir créateur de jeux vidéos carte de fidélité et fidélisation client Aujourd’hui, nos portefeuilles sont remplis de cartes de fidélité de tout type d’enseignes : vêtements, bricolage, restaurants, parfumerie et cosmétique… Ces morceaux de plastiques colorés aux couleurs des marques ont littéralement envahi nos sacs à main (en tout cas, ceux de nous autres chez My Marketing Manager !). Ce phénomène ne concerne pas uniquement les grandes enseignes mais également de nombreux commerces locaux, avec des moyens plus ou moins importants et des services et avantages divers (système informatisé, newsletter, alertes sms, remises, etc.) La raison à cela : tout le monde met en place un « programme de fidélisation client ». Le Saint Graal ? C’est bien et même très bien de valoriser ses clients, les inciter à revenir, créer un lien personnalisé avec ses clients. Nous en avions d’ailleurs parlé lors d’un précédent Tea Time. Quoi de plus parlant qu’un exemple ? C’est ainsi le cas du célèbre distributeur chez qui les envies prennent vie.

Big Data : "Les barbares sont aux frontières et nous jouons à la bergère" - 20 janvier 2014 L'un des 34 plans de "reconquête" pour la nouvelle France industrielle d'Arnaud Montebourg a pour objet les "Big Data". Fondateur d'Exalead, racheté par Dassault Systèmes, François Bourdoncle en est, avec le patron de Capgemini Paul Hermelin, le co-chef de file. Il explique à Challenges le sens de sa mission, qui tient en une large part en l'évangélisation des entreprises sur les risques et les opportunités que promet l'utilisation des données personnelles, mine d'or du 21ème siècle. Challenges. François Bourdoncle. Avec Paul Hermelin, nous rencontrons beaucoup d'acteurs, en vis-à-vis, lors d'ateliers ou de tables rondes. Que voulez-vous dire? Ceux que j'appelle avec provocation les barbares, ce sont les grandes entreprises du numérique comme Google, Apple, LinkedIn, Facebook, Amazon, etc., dont aucune n’est malheureusement française. Mais il n'y a pas que Google. Autrement dit, les entreprises courent un risque sérieux, et grave, de se faire confisquer leur relation clients.

Les cartes de fidélité : avantage ou arnaque 1 - Comment ça marche ? Ces cartes, comme leur nom l'indique, ont pour objectif de récompenser votre fidélité. Un principe simple : à chaque passage en caisse, vous la remettez à l'hôtesse de caisse pour cumuler en fonction de vos achats des points, voire des euros au sein d'une cagnotte. Ces derniers vous permettront au bout d'un certain nombre d'obtenir des bons d'achat ou des cadeaux. Publicité Pour l'obtenir : rien de plus facile ! Cependant : chaque carte a des avantages et des inconvénients. Le « Big » Data Marketing : quels bénéfices pour les annonceurs et pour le consommateur final ? Le Big Data ne doit pas devenir un grand Big BlaBla : les annonceurs doivent être capables d'en tirer un bénéfice business tangible tout en étant utile pour le consommateur final. Le Big Data ne doit pas devenir un grand Big BlaBla : les annonceurs doivent être capables d'en tirer un bénéfice business tangible tout en étant utile pour le consommateur final.Les technologies hyper puissantes du Big Data sont aujourd’hui disponibles et les données à agréger, structurer, segmenter et exploiter ne manquent pas ! Elles foisonnent au travers des différentes sources internes ou externes de l’entreprise (Données clients, Open Data, Données Tierces…).Cependant à quels objectifs opérationnels cette masse de données crunchée répond-elle ? Quelles finalités concrètes pour les annonceurs et les consommateurs ? Du Big Data au Small et Smart Data : pour être utile au consommateur, osons le marketing de l’anticipation Du marketing de masse au marketing one-to-one

Digital : la moitié des distributeurs français ne sont pas prêts La grande distribution française serait-elle à la traine en matière de stratégie digitale ? Il semblerait. Une étude menée par le cabinet Oliver Wyman pour le compte de nos confrères de chez LSA montre en effet que parmi l'ensemble des acteurs de la grande distribution (alimentaire et non-alimentaire) interrogés - points de vente, sièges de sociétés de distribution, centrales d'achat, et e-commerçants - près de la moitié (46%) affirment que leur société n'est pas adaptée aux transformations digitales actuelles. Cependant, il est intéressant de noter que les points de vue diffèrent selon la catégorie de sondés. Plus particulièrement, les sièges des sociétés de distribution paraissent plus optimistes que les opérationnels. Ainsi, si près de 60% des sièges pensent que leur société est adaptée au digital, seuls 47,1% des personnes travaillant en points de vente sont d'accord. Source : La Mutation digitale de la distribution, Oliver Wyman/LSA, novembre 2014

Les Français sont connectés, qu'attendent les magasins ? Toujours plus. Les Français ne sont pas tendres avec les magasins. C'est un comportement certes historique, mais il devient de plus en plus structurel. Ils en attendent donc davantage, quitte à payer un peu plus cher : 1 Français sur 2 fréquente moins les magasins qu'il y a 5 ans, 59% d'entre eux veulent aller à l'essentiel et 65% regrettent de ne pas avoir un conseil plus personnalisé par exemple. C'est ce que révèle une étude consacrée aux relations des Français avec les magasins signée miliboo.com et réalisée avec OpinionWay *. Principaux enseignements (extraits de l'étude) 47% des Français déclarent se rendre moins souvent en magasin qu'il y a 5 ans pour faire leurs achats. Manque de reconnaissance dans la vraie vie - 13% des sondés ont le sentiment que les magasins se souviennent des problèmes qu'ils ont rencontrés lors de leurs derniers achats - 22% pensent que les magasins se souviennent de la dernière fois qu'ils sont venus, Les vendeurs boucs émissaires Toujours plus vite

Twitter, un atout de communication à ne pas négliger Accueil Jusqu'au 1er octobre, Paris vit au rythme de la Fashion Week. Un évènement que 42 % des amateurs de mode ont prévu de suivre sur Twitter. Pour Laurent Buanec, directeur de la stratégie des marques chez Twitter France, le phénomène s'explique : le réseau social est devenu un outil marketing et vecteur d'engagement auprès des consommateurs.(...) Cet article est réservé aux abonnés, pour en profiter abonnez-vous. Et aussi sur les Echos Les articles à la une Social CGT : Lepaon s’accroche à son poste EXCLUSIF + VIDEO Affaibli par les affaires, Thierry Lepaon aurait réussi à convaincre de grosses fédérations de le maintenir à son poste jusqu’au prochain... Aéronautique - Défense Retour sur terre réussi pour la capsule Orion + VIDEO La capsule Orion non-habitée de la NASA a amerri dans le Pacifique après un vol expérimental en orbite terrestre. Banque - Assurances Règlements de compte au sein du Crédit Agricole à lire également sur les echos Recommandé par Les articles les plus lus + VIDEO «?

Le paiement sans contact en magasin : comment ça marche 1 – Facile et pratique Basé sur la technologie "Near Field Communication*" (NFC), ce dispositif permet de régler les achats d'un petit montant en approchant simplement sa carte bancaire ou son Smartphone** (de 3 à 4 cm) du terminal de paiement. Et cela sans composer son code confidentiel. Votre CB est-elle concernée : il suffit de vérifier qu'un petit logo en forme d'ondes radio wifi est apposé à côté de la puce de votre carte. Pour quels montants : cela ne fonctionne qu'avec de petits montants jusqu'à 20 euros. Les avantages : plus de monnaie à chercher pour acheter sa baguette de pain ou son journal, plus de code confidentiel à taper à l'abri des regards indiscrets, et des files d'attente réduites grâce à une rapidité d'encaissement. * Communication en champ proche.

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