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Bien-être des salariés au travail : chiffres clés et statistiques

Bien-être des salariés au travail : chiffres clés et statistiques
Les sondages sont formels : les conditions de travail se dégradent et le mal-être est grandissant chez les salariés. Le bien-être au travail est pourtant essentiel à la bonne marche de l’entreprise. Le préserver doit donc faire partie des priorités de l’employeur. Bien-être des salariés au travail : chiffres clés et statistiques En France, le bien-être des salariés se dégrade. En 2010, 33% des salariés français déclaraient travailler dans un mauvais environnement de travail, la part la plus élevée au sein des pays européens. Le Désengagement des salariés lié au Mal-Être au Travail a coûté 23% de la Valeur Ajoutée des entreprises, selon l’indice de bien-être au travail (IBET) calculé par le cabinet Mozart Consulting L’IBET est un indice socio-économique variant de 0 à 1 pour sa valeur maximum, traduisant la meilleure performance socio-organisationnelle. Le bien-être au travail pris en considération Les partenaires sociaux ont conclu : Le Gouvernement : Evaluer Passer à l'action Related:  Etudes et Indicateurs Performance Sociale

Qualité de vie au travail : les salariés français en quête de reconnaissance Les principaux leviers de la qualité de vie au travail Les salariés donnent une note de 7/10 à leur niveau de stress. Source principale du stress professionnel : le sentiment de surcharge de travail (urgence, délais, échéances…) pour 57 % d’entre eux, le déséquilibre entre objectifs attendus et moyens consentis (42%), l’absence de reconnaissance et de solidarité des managers et des collègues (32%) ainsi qu’un manque de repères dû à l’imprécision des responsabilités et des rôles de chacun (31%). Fortement plébiscitée, la reconnaissance du travail est considérée comme le principal levier d’influence sur la qualité de vie au travail (76%) et notamment le respect, l’écoute et l’équité alors même que 7 salariés sur 10 déclarent ne pas se sentir reconnus à leur juste valeur. Ce sont ensuite le contenu du travail (47%), le mode de management (46%) et l’équilibre vie privée et vie professionnelle (46%) qui sont considérés comme des facteurs clés du bien-être au travail.

"Le bien-être au travail va devenir une nécessité absolue pour créer de la valeur", prévient le consultant Eric Albert L'Usine Nouvelle - Partager le pouvoir, c’est possible ou nécessaire ? Eric Albert - A mon avis, c’est surtout irrémédiable avec la vague portée par la numérisation que les experts les plus compétents comparent à l’invention de l’imprimerie. Nous allons vers des modèles plus horizontaux, participatifs, où l’autorité qui ne repose pas sur la compétence sera de moins en moins reconnue. A l’avenir, tous les systèmes qui vont créer de la valeur seront basés sur le partage. De quel type de partage parlez-vous ? Pour créer de la valeur, il va falloir encourager la contribution d’acteurs venus de différents horizons. Dans votre livre, vous notez que les dirigeants d’entreprise freinent les évolutions, notamment parce que leurs émotions les y conduisent. Passer d’un modèle de management à un autre, c’est perdre le contrôle d’un modèle rassurant. Est-ce pour cette raison, rassurer en période d’incertitude, que les reporting de toutes sortes se multiplient ? Comment fait-on concrètement ?

Améliorer les conditions de travail pour motiver les salariés L’environnement physique de travail est un des critères fondamentaux de la qualité de vie au travail. Pour motiver les salariés, il est donc important de repenser l’entreprise pour la rendre plus humaine, plus agréable à vivre au quotidien. Vous pouvez agir sur la qualité de vie des salariés de votre organisation en améliorant l’environnement et le cadre de vie au travail. Le programme de la formation 1 Prendre en compte l’influence du cadre de vie et de l’ambiance sur la performance et la motivation Les fondamentaux de la qualité de vie au travail. 2 Agir sur l’environnement et les espaces de vie au travail pour plus de convivialité Repenser les locaux pour plus de confort et de convivialité. 3 Réduire le stress des transports pour améliorer la performance Adopter des horaires de travail plus souples. 4 Mettre en œuvre des animations en interne pour créer une ambiance conviviale Les animations pour fédérer. A qui s'adresse la formation : Pour qui Responsable santé sécurité. Prérequis Niveau

4.3 Travail sur écran. Prévention des risques Pour prévenir et limiter les effets sur la santé du travail sur écran effectué au bureau ou à domicile, il convient d’être vigilant non seulement à l’aménagement et à l’implantation des postes de travail, au choix du matériel, à l’affichage des informations à l’écran, mais aussi au contenu et à l’organisation des tâches de travail. Quelques principes doivent être respectés afin que les recommandations ci-après soient adaptées aux spécificités de l’activité et aux caractéristiques individuelles des salariés : une analyse de l’activité est un préalable indispensable à la sélection des mesures de prévention ; les salariés doivent être consultés et être associés aux choix des équipements (mobilier, matériels informatiques, accessoires…) et à l’aménagement des postes de travail. Aménagement du poste de travail Principes généraux S’il n’existe pas de posture idéale, il existe une posture assise de moindre inconfort pour le travail sur écran, dont les caractéristiques sont les suivantes : Siège

Synthèse d'études sur le Coût des RPS au travail en Europe Les dépressions dues au travail coûtent 617 milliards d’euros par an à l’Europe. L’Agence européenne pour la sécurité et la santé au travail (EU-OSHA) publie une synthèse d’études sur le coût des risques psychosociaux.Les résultats illustrent la nécessité d’agir : la facture du stress au travail est exorbitante au regard des bénéfices que peuvent apporter les politiques de prévention. En Europe, le chiffre le plus récent parmi les données synthétisées par l’EU-OSHA date de 2013 : il estime le coût des dépressions dues au travail à 617 milliards d’euros par an, soit quatre fois le budget de l’Union européenne (151 milliards d’euros en 2014). L’étude, portée par le projet européen Matrix, inclut plusieurs éléments expliquant ce total élevé : le présentéisme et l’absentéisme, qui coûtent 272 milliards d’euros chaque année ;la perte de productivité (242 milliards d’euros) ;les frais de santé (63 milliards d’euros) ;et les allocations pour inaptitudes (39 milliards d’euros).

Stratégies RSE: Les outils pour accompagner l'utilisation de l'ISO 26000 Une entreprise peut se trouver prise au dépourvu lorsqu’elle veut "mettre en place" l'ISO 26000 dans son organisation. Après une première lecture de la norme, il y a fort à parier que vous poserez une des questions suivantes : Maintenant qu'est-ce que je fais ? Par où je commence ? Quels sont les outils et les procédures qui peuvent m'aider ? OUTILS POUR LA RÉALISATION D'UN DIAGNOSTICPour saisir le principe la norme ISO 26000 j'aime bien utiliser l'image de la boite de chocolats. > XP X 30-029 "Méthodologie d’identification des domaines d’action pertinents et importants de la responsabilité sociétale d’une organisation". De nombreuses pratiques liées à la responsabilité sociétale impliquent une certaine forme de communication interne et externe. > XP X 30-027 : Rendre crédible une démarche de responsabilité sociétale basée sur l’ISO 26000

Stress au travail, mal-être, risques psychosociaux ... 7 principes pour améliorer le bien-être au travail "Le bien être en entreprise, c'est possible. Mais il passe par l'application et l'assimilation de principes forts." Tel est le message que le club patronal Entreprise et Progrès (lire l'encadré) veut faire passer. S'inspirant de la grille d'analyse de l'Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail (Anact), il rappelle que le bien-être repose sur 5 piliers : sens qu'on donne au travail, charge de travail, support social, possibilité de développement personnel et reconnaissance des pairs. Il en ajoute un 6è : une "juste rémunération".Entreprise et Progrès fait également remonter de son propre exérience terrain 5 bonnes pratiques à cultiver et 2 sources de tensions négatives qu'il s'agit d'affaiblir. Les voici. 1. Chaque salarié doit sentir que son rôle au sein de l'entreprise et de la chaîne de travail est important. 2. Chaque salarié doit pouvoir bénéficier à la fois d'autonomie mais aussi d'une aide effective de sa hiérarchie quand il en a besoin pour sa mission. 3.

Comment mieux vivre au travail La musique ne fait pas qu'adoucir les moeurs, elle remonte aussi le moral des masses laborieuses. La preuve avec la Sonate en ré majeur KV 448 de Mozart -tout est dans la référence- aux vertus relaxantes démontrées par la science, et diffusée dans certaines entreprises soucieuses de dorloter leurs employés. La zénitude, camarades ! Ces dernières années, l'idée du bien-être au travail s'impose peu à peu comme l'envers constructif des risques psychosociaux. >> Gros plan sur le bonheur au travail avec L'Express et Arte >> Heureux au travail? >> Découvrez dans quels pays vous seriez le plus heureux au travail Depuis les années 2000, la qualité de vie au travail, résumée par les pros sous l'acronyme QVT, est un sujet majeur de discussions entre DRH, syndicats, comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail, et direction des grandes entreprises. Mais il est désormais sérieusement pris en compte par les pouvoirs publics. Le fil à la patte des nouvelles technologies

Burn-out, quand le feu redonne sens à la vie Interview de Pascal Chabot, philosophe et auteur de Global burn-out par Marie Fuks Traduisible métaphoriquement par : « incendie de la personne », le burn-out est devenu le mal professionnel de la société postmoderne. Douloureux, ce syndrome d’épuisement peut toutefois devenir le lit d’une renaissance personnelle, en accord avec ses paysages intérieurs. Marie Fuks : En tant que philosophe, comment en êtes-vous venu à vous intéresser au burn-out ? Pascal Chabot : À l’époque, je travaillais sur la question : « Comment parler de l’âme aujourd’hui ? Voyez-vous un lien direct entre le développement du burn-out et la révolution managériale des années 1980 dont parle le sociologue clinicien Vincent de Gaulejac ? Oui, indiscutablement. Y a-t-il un profil type de personne sujette au burn-out ? Ce sont des personnes zélées, perfectionnistes, exigeantes avec elles-mêmes, scrupuleuses, sensibles à la justice, très investies dans leur travail… Donc l’opposé des tire-au-flanc. Oui.

Comment réussir l’intégration d’un nouveau salarié ? Préparer le poste de travail en amont. Avant l’arrivée de votre nouveau collaborateur, assurez-vous qu’il dispose de tout le matériel nécessaire pour réaliser sa mission dans de bonnes conditions : bureau, ordinateur, identifiants informatiques, tenue de travail etc. Tout doit être prêt le jour J. Informer ses équipes. Rien de plus frustrant que d’apprendre à l’improviste l’arrivée d’un nouveau collègue ! « Vos collaborateurs seront ensuite de précieux relais de proximité pour faciliter son intégration: ils seront plus enclins à lui consacrer du temps et à l’aider en cas de difficulté. » explique Guillaume Daboville, Responsable Pédagogique et Développement Extérieur de Randstad Academy. Faire le tour de l’entreprise. Ne vous précipitez pas pour mettre immédiatement votre nouveau salarié devant son poste de travail. Expliquer la culture de l’entreprise. La réussite du parcours d’intégration passe aussi par de bonnes relations de travail. Désigner un tuteur opérationnel.

13 chiffres surprenants sur l'engagement du salarié L’engagement du salarié en entreprise, une problématique ô combien importante pour les managers et la fonction RH. Il est difficilement quantifiable mais il y a des attitudes qui ne trompent pas: pauses fréquentes, débordement permanent ou irritabilité chronique sont quelques uns des symptômes d’une personne désengagée. Et un salarié désengagé, c’est un manque à gagner à la fois financier mais aussi moral pour l’entreprise. A LIRE ► Bonheur en entreprise: quel impact sur les salariés? A LIRE ► Voici comment les grandes entreprises motivent leurs salariés Dans cette optique, des outils ont vue le jour. 13 chiffres à connaître sur l’engagement du salarié ► 88% des employés n’ont aucune passion pour leur travail ► 80% des managers seniors ne sont pas passionnés par leur travail ► le désengagement des salariés coûte 500 milliards de dollars par an à l’économie américaine ► 57% des interruptions au travail proviennent des réseaux sociaux ou du basculement entre les applications

"Burn-out": le mal professionnel du XXIe siècle | www.francesoir.fr A force de trop tirer sur la corde, les employeurs finissent par épuiser leurs salariés. Stress, fatigue, dépression: le "burn-out", ce sentiment d'épuisement professionnel, ne cesse de se développer et les cas recensés, de se multiplier. En France, un salarié sur quatre aurait été touché par cette "maladie" au cours de sa carrière, selon une enquête du groupe Cegos, publiée le 20 novembre dernier. Ce chiffre alarmant a d'ailleurs poussé 26 députés à réclamer la reconnaissance de ce phénomène comme maladie professionnelle, dans une tribune publiée dimanche 7 par le Journal du Dimanche (JDD). Ce changement de statut permettrait notamment à la collectivité de ne plus indemniser ces conséquences pathologiques. Faire toujours mieux, toujours plus avec moins de moyens est devenu au fil des années une obsession pour certains employeurs. Littéralement, faire un "burn-out", signifie se "brûler de l'intérieur, se consommer".

Guide d'Intégration L’accueil du nouveau salarié est une étape décisive de sa fidélisation, qu’il soit jeune en formation ou professionnel confirmé. Dans un contexte de métiers en tension, il est d’autant plus important que le nouvel arrivant ait rapidement une bonne image de l’entreprise, de son organisation, de la communication entre collègues, etc. En facilitant son intégration, en lui donnant une information complète sur les modes de fonctionnement de l’entreprise, on lui permet également de devenir rapidement opérationnel sur son poste. 1- Préparer l’arrivée du salarié : Connaître les objectifs et les modalités de l’accueil dans l’entreprise (établir avec sa hiérarchie un cahier des charges)Se procurer le livret d’accueil ou constituer une documentation à destination du salariéVérifier les aspects matériels de l’accueil (vêtements, outils…) 2- Accueillir le salarié : 3- Présenter le salarié Les missions du tuteur : Télécharger la fiche de suivi du contrat de professionnalisation

Bien-être au travail et développement des compétencesTransformation digitale des organisations Ipsos a réalisé une étude commandée par Edenred, sur le bien-être au travail. Cette étude, menée auprès de 14 000 salariés dans 15 pays, cherche à préciser ce qu’est le bien-être au travail, quelle en est la perception des salariés et quels leviers RH peuvent être activés. Elle fait nettement apparaitre une attente forte des collaborateurs en matière de développement des compétences. La méthodologie de l’étude : Pour cette étude, Ipsos a retenu 3 piliers : – le cadre de travail, composé de l’équipement, des conditions de travail, du contenu de la mission, de l’équilibre vie privée / vie pro, – l’attention, qui peut se traduire par la considération de la hiérarchie, la qualité du feed back, – l’émotion, qui comprend le plaisir à travailler, l’intérêt du travail, son aspect stimulant. Le pilier « cadre de travail » est essentiel. Quels sont les principaux enseignements ? Pourquoi cette notion de bien-être est importante mais difficile ? Pour retrouver l’intégralité des résultats.

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